La haine des journalistes français contre Trump

Michel Garroté
Politologue, blogueur

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Michel Garroté  --  La haine, car c’est bien de cela qu’il s’agit, de la quasi totalité des journalistes français contre Donald Trump atteint des sommets (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : à un tel niveau, elle relève de la pathologie. Il suffit de suivre les comptes twitter des correspondants des différents médias français pour s’en rendre compte. Ici, il n’est plus question de journalisme, mais bel et bien de militantisme. Un militantisme qui vire au fanatisme. Haro sur Donald Trump (Note de Michel Garroté - les journalistes sont haineux, certes, et, ils sont également médiocres et incultes ; c'est bel et bien la haine, la médiocrité et l'inculture qui les caractérise ; ils ricanent, ils grincent des dents, ils voudraient que Trump n'existe pas).
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Un journaliste de ABC a prétendu que l’ancien conseiller de Donald Trump à la sécurité nationale, Michael Flynn, inculpé pour avoir menti au FBI sur la Russie, avait passé un accord pour donner au procureur spécial des éléments sur une collusion entre Trump et la Russie avant son élection. Cette "information" a immédiatement été reprise par tous les médias français et tous les correspondants français aux Etats-Unis sans aucune précaution, ni aucune vérification. Tous se réjouissant sur l’air du "Cette fois on le tient. L’étau se resserre. La destitution est proche etc. Hélas pour eux, cette "information" s’est révélée totalement fausse et le journaliste en question a été mis à pied par sa chaîne.
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En réalité, Michael Flynn a téléphoné à l’ambassadeur de Russie sur demande de Jared Kushner, après l’élection de Donald Trump, et, cerise sur le gâteau, avec l’autorisation préalable de l’administration de Barack Hussein Obama. Si quelques journalistes français, comme Jean-Eric Branaa‏, ont sauvé l’honneur de leur profession en faisant preuve de prudence et d’une neutralité dans les commentaires, l’immense majorité a relayé ce mauvais canular en laissant poindre une délectation indécente.
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Si les journalistes français éprouvent une telle haine envers Donald Trump c’est que leur vision du monde est aux antipodes de celle du président américain. Pour schématiser, s'ils sont mondialistes, le locataire de la Maison Blanche, lui, est nationaliste et/ou identitaire. Cette division agite l’ensemble de l’Occident. On peut parler, sans exagération, d’une lutte à mort entre les deux camps. Ce qui explique le degré d’acrimonie et de haine. Si une partie des journalistes agissent par conviction idéologique, le plus grand nombre sont des opportunistes qui se conforment à l’idéologie défendue par ceux qui les emploient et les rémunèrent. Cela ne les rend pas moins mauvais et agressifs que les idéologues.
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Cependant, si la haine envers Donald Trump atteint des sommets depuis quelques semaines c’est que les mondialistes commencent à comprendre que le président américain tient parole et qu’il compte bien faire ce qu’il a promis. Dans un premier temps ils ont voulu nous faire croire qu’il n’était qu’un fanfaron qui, une fois installé, se verrait rappeler à leur réalité. Ils se sont rassurés en pensant qu’il n’était qu’un charlatan supplémentaire qui s’empresserait de trahir ses électeurs comme cela c’est si souvent produit dans le passé.
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Puis, dans une seconde phase, ils se sont réjouis de voir que les premières décisions du président américain rencontraient une résistance institutionnelle qui l’empêchait d’agir. Nos journalistes se réjouissaient quotidiennement devant les échecs rencontrés par Donald Trump pour appliquer son programme : les juges démocrates et une partie de la majorité parlementaire républicaine qui haïssent Trump, le forçant à mettre plusieurs projets en "stand by".
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Sauf que le vent a tourné. L’économie américaine ne s’est jamais aussi bien portée que depuis l’élection de Donald Trump. La croissance s’envole, tout comme la bourse d’ailleurs. La confiance des consommateurs américains est au plus haut depuis 17 ans. Le chômage est au plus bas depuis décembre 2000. Le nombre des pauvres diminue et le marché immobilier retrouve enfin des couleurs. Sa réforme fiscale, dont beaucoup prédisaient l’échec au Congrès, a été adoptée.
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L’immigration clandestine, qui a été l’un de ses chevaux de bataille durant la campagne présidentielle, a chuté de 70%. En matière de criminalité, des gangs dangereux tels le MS 13 ont été presque détruits. Les assassinats de policiers sont également en chute libre. En diplomatie étrangère, le président américain a fait un sans faute durant sa tournée asiatique. Enfin, en matière de justice, il remplace systématiquement les sièges laissés vacants tenus par d’anciens juges démocrates par des juges conservateurs qui ne chercheront pas à entraver sa politique comme cela est le cas depuis son investiture en janvier. Il a déjà nommé 58 juges. D’autres suivront. Et cela aura un impact majeur dans les années qui viennent.
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Mais c’est surtout en attaquant systématiquement leurs symboles que Donald Trump fait trembler les mondialistes. Il avait promis que les Etats-Unis ne seraient plus les gendarmes du monde et il tient parole. Il s’est entendu avec Vladimir Poutine pour confier à la Russie la gestion de l’après-guerre en Syrie. Il s’est retiré des accords de Paris sur le climat. Il a retiré les Etats-Unis de l’Unesco. Il a retiré les Etats-Unis du traité de libre-échange trans-pacifique, traité mondialiste si il en est.
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Il menace de faire de même pour l’ALENA qui est le marché de libre-échange entre les USA, le Canada et le Mexique. Et enfin, il vient de retirer les États-Unis du Pacte mondial sur la migration de l’ONU signé par son prédécesseur. "Nos décisions sur les politiques d’immigration doivent toujours être prises par les Américains et les seuls Américains", comme l’a dit l’ambassadrice des Etats-Unis aux Nations Unies selon le principe de Donald Trump "l’Amérique d’abord".
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Les mondialistes ne rigolent plus du tout. Ils commencent seulement à comprendre que le président américain va bel et bien mener une politique qui va radicalement à l’encontre de leur stratégie. Et si par chance, lors des élections législatives de novembre 2018, Trump arrive à conserver la majorité au Congrès en plaçant des élus républicains qui lui seront plus dévoués, alors plus rien ne pourra s’opposer à ce qu'il transforme la société américaine en profondeur. Voilà pourquoi, depuis quelques semaines, les chiens de garde du mondialisme se comportent d’une manière indigne envers Donald Trump. Mais c’est plutôt bon signe (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Adaptation & Mise en Page de Michel Garroté pour LesObservateurs.ch, 6.12.2017
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https://civilwarineurope.com/2017/12/04/la-haine-des-journalistes-francais-contre-trump-vient-du-fait-quil-tient-parole/
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13 commentaires

  1. Posté par hausmann. conrad le

    Pourquoi ils sont opposés à Trump ? C’est l’un des seuls chef d’états qui n’est pas du groupe Bilderberg !

  2. Posté par coocool le

    La quasi-totalité des journaleux occidentaux est de gauche. La bonne vieille technique marxiste vise en effet à infiltrer tous les leaders d’opinion, médias, université, école, justice…

  3. Posté par jsg le

    Des journalistes, quels journalistes ? Ces individus qui rajoutent des commentaires après l’info ? de deux choses,
    l’une, c’est leur rédaction qui leur impose et ils n’ont pas les couilles de refuser
    l’autre, ça vient d’eux, où la rédaction, c’est eux.
    dans tous les cas, ils sont discrédités, on n’écoute que la partie info et on se bouche les oreilles.

  4. Posté par Aude le

    Très bonne analyse, sauf, «  le chômage est au plus bas depuis 2000 » (aux USA)
    Ne vous êtes-vous pas trompé de date M.Garroté où est-ce une erreur de transcription?

  5. Posté par Hochon le

    Vous avez dit journalistes ??Ce ne sont que des étrons non degradables !!! ” les chiens aboient mais la caravane passe ! !!

  6. Posté par Cri-cri le

    Jouissif de les voir vomir leur haine et leur mal-être tandis que Trump avance avec la force tranquille d’un éléphant. Quelle chance ils ont nos amis américains d’avoir un tel président, qui aime son peuple et son pays au point de se mettre à dos le monde entier pour les sauver !

  7. Posté par glamourboy le

    Et ce n’est que le début: selon mes sources à Washington le 4ème off-set stratégique est sur le point d’être lancé, d’où l’assurance de Trump en politique étrangère.

  8. Posté par elsaesser le

    Il n y a plus de journalistes, a part quelques exceptions comme Ivan Rioufol, Eric Zeymmour ou Elisabeth Levy, les autres n etant que des commissaires politiques et autres propagandistes soumis aux despotes islamo-bolcheviques de brussels.
    C est toute cette engeance repondant au sobriquet d’ue, enorme et hideux
    furoncle rempli de pus salafiste, que Donald Trump et Vladimir Poutine
    devraient eradiquer d urgence. Et ils en ont largement les moyens…

  9. Posté par bigjames le

    D. Trump fait partie des cibles privilégiée de toute la clique des journaleux en Suisse également.
    Ils n’en loupent jamais une pour le dénigrer, tout y passe !
    NO BILLAG, OUI à NO BILLAG !!!
    Rauss cette bande de noeuds !!!
    On en a marre !

  10. Posté par My Suisse le

    Les “journalistes” et gouvernements sont totalement soumis au nouvel ordre mondial, au plan Kalergi. Le Président Trump, peu de gens comprennent, y est totalement opposé. Il est grand temps de finir avec le gauchissme qui nous conduit dans l’abîme! No Billag est un début mais largement insuffisant.

  11. Posté par Nicolas le

    Pour passer un joyeux Noël et un bon réveillon, le docteur conseille de savourer les succès de Trump et de ne pas penser au minable syndicaliste qui va présider la Suisse durant toute l’année prochaine.

  12. Posté par barakat le

    Et les journalistes de la RSR n’ont rien a envier aux journalistes français.
    Le Trumbashing, c’est tous les jours.
    Non à la propagande de la RSR. Oui à “No Billag” !

  13. Posté par Jacques le

    J’avais fait sauter le champagne – mis au frais parce que j’y croyais. – lors de l’élection de Donald Trump. Je constate avec plaisir qu’il ne nous a pas déçu.

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