Les directives officielles du gouvernement britannique indiquent que le délit pénal d’incitation à la haine doit être motivé par «l’hostilité».
Mais de nombreuses forces britanniques sont incapables de donner une définition de ce qu’elles entendent par «hostilité» dans le contexte de l’incitation à la haine.
Breitbart London a contacté des douzaines de membres des forces de l’ordre pour leur demander la définition pratique du terme «hostilité» afin de comprendre l’étendue de la nouvelle réglementation qui frappe la liberté d’expression en Grande-Bretagne.
Certains ont renvoyé les journalistes du site conservateur à la «définition du dictionnaire» qui inclut «l’antipathie» et «l’aversion».
D’autres ont référé Breitbart Londres à des organismes nationaux, notamment le Collège de Police (the College of Policing, CoP) et le Crown Prosecution Service (CPS), qui reconnaissent tous les deux «l’absence d’une définition juridique précise de l’hostilité».
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Les définitions du dictionnaire incluent un large éventail de comportements humains et d’émotions normales, et pour surveiller les messages sur les médias sociaux, les agents de police ont pour instruction de rechercher «l’hostilité» en tant que signe d’une incitation à la haine.
Le CPS mentionne aussi «la malveillance, la haine, la rancune, le mépris, les préjugés, l’antipathie, l’antagonisme, le ressentiment et l’aversion» comme exemples d’hostilité que l’on pourrait tirer d’un dictionnaire.
Bon nombre de ces réactions émotionnelles sont subjectives, ce qui soulève des inquiétudes que la police pourrait cibler les gens de manière incohérente et injuste, ou en raison de malentendus ou d’incompréhensions. D’autres ont fait remarquer que « l’aversion » pour les choses immorales est souvent honorable.
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La police du Cheshire a déjà prévenu les utilisateurs des médias sociaux de ne pas publier de commentaires « offensants » ou « vous pourriez faire face à une grosse amende ou jusqu’à deux ans de prison » et la police de Glasgow a exigé que les gens soient « gentils ».
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L’hostilité peut viser «le handicap, la race, la religion, l’orientation sexuelle ou l’identité transgenre» mais ne se limite pas à ces catégories protégées.
«Pendant l’enquête, la perception de la victime et de toute autre personne est le facteur décisif pour déterminer si un incident est une incitation à la haine ou pour reconnaître l’élément d’hostilité d’une incitation.
La victime n’a pas à justifier ou à fournir des preuves de sa perception, et le personnel de police ne doit pas directement remettre en question cette perception. La preuve de l’hostilité n’est pas requise pour qu’un incident soit enregistré comme un crime de haine ou un incident haineux.»
[Ndlr : on parle ici du signalement des incidents, qui n’implique pas nécessairement la mise en accusation des auteurs présumés ou leur condamnation.]
En août, le CPS a annoncé qu’il poursuivrait les «crimes d’incitations à la haine» commis en ligne aussi vigoureusement que ceux qui se déroulent face à face […].
Les autorités poursuivent leurs efforts pour encourager encore plus les rapports sur les «délits de haine» et leurs poursuites, tout en annonçant la création d’une unité de police nationale dédiée à la capture des «trolls» d’Internet et une initiative de la police londonienne dans les mosquées ce mois-ci.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : traduction © Oksana Zvirynska pour Dreuz.info.
Source : Breitbart via Dreuz.info
De Gaulle avait dit à juste titre que si une communauté de personnes n’arrivait pas à se faire accepter par la population d’accueil AU BOUT D’UN CERTAIN TEMPS, c’est que les fruits qu’elle produisait étaient mauvais.
De ce fait les mesures susnommées mises en place pour éradiquer toute forme de “négativité” dans le vivre-ensemble sont, comme le dit la sagesse populaire, un cautère sur une jambe de bois.
Et plus une société devient multiculturelle, plus elle devient multiconflictuelle. De toute évidence, les autorités britanniques se refusent à comprendre cela. Leur aveuglement est aussi grave qu’il est dangereux.
“Les directives officielles du gouvernement britannique indiquent que le délit pénal d’incitation à la haine doit être motivé par «l’hostilité».”
PARFAIT.
Le coran étant un véritable manuel d’hostilité appliquée sous toutes ses formes, que ce soit «l’antipathie» et «l’aversion» ou même l’appel au crime . Il comprend tous les éléments constitutifs du délit pénal d’incitation à la haine . Il doit donc être interdit et les musulmans appliquant les préceptes coraniques doivent donc finir en taule . CQFD
Es-ce que refuser une cigarette , une aumône a une personne parce que sa tête ne vous revient pas entre dans ces catégories ? Parce qu’alors la c’est beaucoup de personnes qui iront grossir les prisons rien que pour avoir dit NON .
Je ne suis pas hostile je les méprise et j’en ai dédain. Avec cette loi tout le monde va dénoncer tout le monde. On est pas sorti de l’auberge.
J’imagine le petit Nantermod prendre des notes en tirant la langue pour s’appliquer, “dé-non-cer l’antipathie à la Licra…”
On peut en tirer la leçon suivante:
Ce n’est que dans une collectivité suffisamment homogène que l’on peut se dire les choses en face ou émettre des critiques.
Dans les sociétés inhomogènes, la susceptibilité reste à fleur de peau et même la non obtention d’un emploi, d’un logement ou une place en garderie est régulièrement mis sur le compte du racisme!
J’ai une profonde aversion pour les cons, ceux qu’on reconnaît à ce qu’ils osent tout (CF Audiard, pour ceux qui auraient des doutes). Tombé-je dans la catégorie sus-nommée?
Moi qui croyais que le Brexit indiquait que les Britanniques étaient intelligents ! Manifestement, leurs vauriens gauchistes se comportent comme des tyrans et ils les laissent faire. Il y a a big problem !
Comme ce genre de tyrannie est contagieuse, tout l’ouest européen va être contaminé. Haro et bastonnade contre les “bien-pensants” traîtres !