Alors qu'il s'exprimait depuis la Maison Blanche à l'occasion d'une conférence de presse avec le Premier ministre libanais Saad Hariri, le président des Etats-Unis Donald Trump a déclaré ce 25 juillet qu'il n'était pas un «fan» de Bachar el-Assad et qu'il entendait bien le faire répondre de ses actes.
«Je pense évidemment que ce qu'il a fait à ce pays et à l'humanité est horrible», a déclaré Donald Trump. Le président des Etats-Unis a assuré qu'il n'était pas «quelqu'un qui [allait] regarder et le laisser s'en sortir après ce qu'il a essayé de faire et ce qu'il a fait à de nombreuses reprises».
Cette déclaration intervient quatre jours après que Tom Bossert, conseiller en sécurité intérieure de Donald Trump, a expliqué la nouvelle stratégie des Etats-Unis en Syrie, lors d'une réunion annuelle d'acteurs de la sécurité nationale et du renseignement à Aspen, dans le Colorado. «Je ne crois pas qu'il soit important, pour nous, de dire qu'Assad doit d'abord partir», avait déclaré le dignitaire américain.
Au gré des déclarations émanant des autorités américaines au sujet du président syrien, les Etats-Unis laissent apparaître une politique américaine pour le moins changeante. Alors que Donald Trump avait qualifié Bachar el-Assad de «boucher» le 12 avril dernier, estimant qu'il devait quitter le pouvoir, l'ambassadrice américaine à l'ONU, Nikki Haley, avait affirmé en mars que Washington ne considérait plus le départ du président syrien Bachar al-Assad comme une priorité.
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Extrait de: Source et auteur
Je pense sincèrement que l’armée américaine devrait se prendre une énorme rouste, ça fait longtemps. Quand à Trump, il a le même QI que 25 millions d’Américains qui imaginent que le lait chocolaté provient de vaches brunes…(d’où la couleur).
C’est l’hôpital qui se fout de la charité !
Ce sont quand-même les Etats-Unis, aidés par leurs laquais anglais et français, qui ont été les principaux instigateurs de la guerre civile qui a tué des centaines de milliers de gens. (qu’ils soient ou civils et militaires, ce sont des êtres humains).
Certes, Bachar est loin d’être un saint, c’est un dictateur acceptable, pas pire dans un autre genre, que Juncker et sa clique.