Cette année, les camps nautiques s’ouvrent aux mineurs non accompagnés.
Le premier d’entre eux aura lieu du 17 au 29 juillet et le second du 31 juillet au 12 août. Ces camps se situent au bord du Léman dans la région de Gland, sur un terrain près de la plage de la Lignière. Ils accueillent une cinquantaine de jeunes qui sont initiés à divers sports nautiques. L’association dispose d’une flotte de quatre catamarans Twincat (voiliers à deux coques), un dériveur Booxy, cinq planches à voile, quatre stand up paddle boards ainsi que deux canots à moteur pour la sécurité.
Durant deux semaines, les jeunes âgés de 14 à 17 ans dorment dans trois petits chalets en bois près du lac. S’il fait beau, ils passent leurs journées sur le Léman, s’il fait mauvais d’autres activités sont proposées. «L’arrivée cet été de jeunes requérants d’asile sera un plus en termes de partage et d’échanges, explique Juliette Papaloïzos. Le fait de vivre quinze jours ensemble, en communauté, crée des liens.»
Source Via PNS - Parti Nationaliste Suisse
Rappels:
"La classe moyenne inférieure est menacée par la pauvreté" en Suisse
28% des Suisses n’ont pas d’économies
J`aimerais beaucoup partir quelques jours avec ma famille ,malheureusement nous n`avons pas les moyens ,help Celsa ,Ada ,Simonetta ,pouvez vous faire quelque chose pour nous : j`oubliais nous sommes que des Suisses …………
Palador,
Par ce biais ils peuvent même demander d’avoir un regroupement familial car ils sont en droit d’avoir des parents selon les Droits de l’Enfant:
http://www.ohchr.org/FR/ProfessionalInterest/Pages/CRC.aspx
Des mineurs non accompagnés envoyés par leur parents. Pourquoi les autorités suisses n’essaient pas de contacter leur parents afin qu’ils viennent les chercher. Un mineur ou un enfant même ne fait pas ce qu’il veut. En plus avec cette politique, ça va à nouveau faire un immense appel d’air et les pleureuses habituelles vont faire tout un scandale si on décide de les renvoyer chez leurs parents, car dans la majorité des cas. ils ne viennent pas de pays en guerre, Au cas où vous l’auriez pas remarqué ce sont en majorité des garçons. les jeunes filles restent dans les pays en guerre ? ou est-ce une façon de se réserver les futures femmes européennes ?
Dégueulasse ! Il y a combien de gosses en Suisse qui ne partent pas en vacances car leurs parents n’ont pas les moyens ? Beaucoup…. Quant à pouvoir leur offrir un camp nautique, impossible vu le prix que ça coûte. Le PS dans son immense générosité pourrait offrir cette opportunité aux enfants défavorisés de chez nous plutôt qu’à ces requérants futurs parasites…. Les Nôtres avant les autres SVP!!
Totalement révoltée ! J’ai 54 ans, je travaille depuis l’âge de 13 ans, je souffre d’une maladie depuis 1 ans, je ne touche ni chômage, ni allocations perte de gain, rien. Mes dernières vacances je ne m’e souviens plus. Et les migrants a peine arrivés touchent argent poche, assurance maladie, cours de formation, appartement etc. . Et on leur offre des vacances !!!!!!! Je cauchemarde en lisant cela. Mais au secours !!!! Mais qu’est ce que l’on doit faire pour stopper cette anomalie que nous sommes en train de subir avec cette invasion ??? Que font nos politiques ???
Je propose des cours de plongée en apnée à poids constant.
Des “mineurs non accompagnés […] âgés de 14 à 17 ans”, j’en ai pas vu un seul jusqu’à présent.
En fait, ils ont minimum 24 – 27 ans.
Les autres avant les nôtres, y’en a marre.
A Yves @
Merci pour le commentaire !
Avouons que, souvent, l’humour inoxydable n’est que ce qu’il nous reste dans l’existence.
Bof… ça ne me choque pas puisque, de toute façon, ils seront en vacances toute leur vie à nos frais en Suisse.
Combien de Suisses à l’heure actuelle ne peuvent pas aller chez le médecin ou le dentiste alors que tout est payé pour ces “réfugiés”?
Et on ose encore leur donner ce que les autochtones n’ont pas?
@Gérald. Oui, mais attention, c’est bien à Gland qu’ils passent leurs vacances, la ville des Glandois, qui leur va comme un gant, à ces glandus…
Déjà que dans leur pays, il n’y a pas de culture du travail qui est la seule ressource de la Suisse!
Ces irresponsables de l’accueil veulent-ils construire la réputation que ce pays est une villégiature, un centre universitaire de soins, un hospice général qui distribue l’argent, un centre de bien-être, un lieu de festivités, alors que de plus en plus actifs accumulent stress et heures de travail, que des paysans en viennent à se suicider.
Et en plus, la communauté suisse est de plus en plus sous le feu de la critique, des insultes, coupable même de ne pas en faire assez ! Marre de devoir bosser pour ces gens qui traînent en ville avec leur marmaille et font du shopping!
@Tommy j’ai suivi le même parcours que vous il y a 50 ans et je trouve proprement scandaleux que ces glandeurs prennent des vacances sur le dos des Suisses qui ont bossés toute leur vie et à qui le CF refuse 70 frs d’augmentation aux AVS.
Déjà qu’ils sont en vacances 12 mois par année !
Tout en ayant pris une ” retraite anticipée ” dès leur premier pas sur sol européen !
Il est évident que des vacances sont très représentatives de ce qui attend des jeunes dans un pays d’accueil…..une sorte de devoir envers cette chance, non???
Pendant ce temps là, je suis en fin de droit, n’arrive pas trouver du travail malgré un très bon CV (diplôme ES+13 certifs et 13 ans d’exp) et doit vivre sur mes économies car je n’ai droit à rien… Ca fait 5 ans que je n’ai pas eu de vacances… Si je disais ce que je pense des gauchistes/mondialistes, je serais mis en prison…
Ils apprennent à faire du bateau pour retourner chez eux ?
@Tommy : Excellent jeu de mot 🙂 Attention que ça ne dérive pas 😉
Ils ne sont pas traumatisés de leur traversée de la Méditerranée ?
Ils vont s’éclater à faire du bateau ???
On croit rêver !
Bravo, faut tout de suite les initier à la dolce vita, comme la plupart ne sont pas là pour bosser mais pour se la couler douce sur le dos des travailleurs suisses !
On verra bien les commentaires une fois le camp terminé.
Vols, bagarres, viols……
Moi, quand j’étais jeune , on ne partait pas en vacances et je bossais pour me faire des sous.
L’Etat ne faisait pas de collectes pour les jeunes comme moi.
Je bossais à la Poste, je faisais le tri des colis.
Et, à défaut de trimaran, je ne trouvais pas le ” tri marrant”.
Mais c’était comme ça il y a 40 ans.