La présence de demandeurs d'asile albanais à provoqué la fermeture des deux parcs du quartier Villette-Paul Bert dans le 3ème arrondissement de Lyon. Un a rouvert, lundi 12 juin au soir, l'autre, le parc jugan, est fermé depuis trois mois. Les habitants du quartier dénoncent ce choix politique.
ll ne reste rien du passage de ces familles albanaises expulsées du Parc Jugan voilà plusieurs semaines.
Plusieurs familles de migrants avaient trouvé refuge sur ce petit espace végétalisé.
Quelques heures après leur évacuation, les lieux étaient déserts et très vite vérouillés et placés sous la surveillance de vigiles. Plus de tentes, plus d’exilés, plus de bénévoles distribuant cafés et sandwiches… et plus de riverains non plus: les parcs Jugan et du sacré coeur sont désormais condamnés par des grillage cadenacés.
Ultime rempart contre un phénomène migratoire qui a pris de court les pouvoirs publics.
Le maire de cet arrondissement lyonnais, n’est pas la seule à opter pour ce dispositif destiné à empêcher les migrants de se réinstaller.
Nos remerciements à Jeune Athéna
A Chens sur Léman, il y a maintenant plus de 20 ans , Feu le Marquis Henri Costa de Beauregard a donné, pour 1 franc symbolique à la commune de Chens le bout de sa propriété qui jouxte le débarcadère. Pendant des années la mairie à entretenu ce parc et, à un certain moment, y a installé des barbecues qui faisaient la joies des familles pendant les weekends et le bohneur des touristes l’été. Puis sont arrivés les musulmans qui ont commencés à faire des histoires parce que les gens grillaient du porc etc. Tant est si bien qu’on en est venus aux mains et que pour éviter d’autres désordres la mairie a démoli les barbecues
ET OUI, VIVE L’EUROPE DU MOUVEMENT. DE LA TRANS”H”UMANCE
SHENGEN a ouvert toutes les portes, mais un autre shengen est tout aussi grave,
et que l’on glorifie : ” l’ouverture d’esprit” qui, naïvement entraîne à croire
que l’autre nous ressemble tellement puisqu’il est “physiquement” semblable
à nous.
Les bobos sont les maîtres en cette croyance, mais en sachant tenir
l’autre-différent à distance des quartiers où il vivent.
Mais ils considèrent qu’il en revient aux autres classes sociales
de prendre la responsabilité de côtoyer les “réfugiés, faux ou vrais”
avec leurs composantes culturelles.