Steven Morrissey, le célèbre chanteur de rock britannique, dit tout haut ce que beaucoup pensent tout bas :
« Célébrant mon anniversaire à Manchester alors que la nouvelle de l’attentat à la bombe de Manchester a éclaté. La colère est monumentale.Pour quelle raison cela s’arrêtera-t-il ?
Theresa May dit que de telles attaques «ne nous briseront pas», mais sa propre vie est vécue dans une bulle à l’épreuve des balles et, évidemment, ce n’est pas elle qui identifiera les jeunes corps dans les morgues de Manchester. En outre, « ne nous briser » signifie que la tragédie ne la brisera pas, ni ses politiques en matière d’immigration. Les jeunes de Manchester sont déjà brisés – merci tout de même, Theresa.
Sadiq Khan dit que « Londres est unie à Manchester », mais il ne condamne pas l’Etat islamique – qui a revendiqué la responsabilité de la bombe. La reine reçoit des éloges absurdes pour ses «mots forts» contre l’attaque, mais elle n’annule pas la fête de jardin d’aujourd’hui au palais de Buckingham – pour laquelle aucune critique n’est autorisée en Grande-Bretagne dans la presse. Le maire de Manchester, Andy Burnham, dit que l’attaque est le travail d’un «extrémiste». Un extrême quoi ? Un lapin extrême ?
Dans la Grande Bretagne, tout le monde semble pétrifié de dire officiellement ce que nous disons tous en privé. Les politiciens nous disent qu’ils n’ont pas peur, mais ils ne sont jamais les victimes. Quelle est la facilité de ne pas avoir peur lorsque l’on est protégé de la ligne de tir. Les gens n’ont pas de telles protections. »
Une chose est vraie, c'est que beaucoup de dirigeants européens ne risquent pas de perdre un enfant dans un concert...
Source: LeSalonBeige
Via CivilWarInEurope
Je comprends le sentiment de l’auteur mais son argumentation n’est pas entièrement honnête, ou peu réfléchie. Individuellement, les politiciens courent des risques bien plus grands d’être victimes d’extrémistes que nous autres particuliers. Je pense à l’assassinat de la députée britannique Jo Cox, des politiciens hollandais Pim Fortuyn et Theo van Gogh…
Face à la folie des tueurs aveuglés par la haine, il est important de garder notre sang-froid et de trouver les mots justes.
POUR EN ARRIVER A ETRE “PETRIFIES”,
c’est que le politiquement correct est chevillé au corps des anglais depuis très longtemps, peut-être depuis ce terrible ROI qui devait se nommer HENRI VIII., celui qui assassina tant d’épouses. Peut-être que les envahisseurs actuels, font remonter ce tyran dans leur mémoire.
Qu’ils leur rappellent du déjà vu????
Eh bien, comme mercredi, aujourd’hui vendredi, est… jour de tirs sportif. Vous voyez messieurs dames de l’UE, nous sommes assidus et de plus en plus nombreux! Vous avez peur de nous? Oh la la, faut pas, on sait tous que vous avez les “mouilles” et que vous vous trompez de cibles à chaque fois, comme d’habitude.
La chape de plomb du politiquement correct et de la bien-pensance empêche, depuis au moins 40 ans, de nommer l’ennemi. Pas un seul politique ou journaliste qui parle de terrorisme “islamiste”, a fortiori encore moins “islamique”. Et pourtant, tout ce qui se passe depuis des décennies est bien inscrit dans le coran. Nos pseudo-élites sont en train de nous tuer parce que soumises à l’islam ou vendues à lui.
Imaginerait-on Churchill ou de Gaulle tenir des discours aussi stupides et lâches que “ils n’auront pas ma haine” ou “ne confondons pas nazis et nazisme”? Non, ils sont entrés en résistance et, par leur action et leur courage, ont mené leurs peuples à la victoire.
Les politiciens actuels les mènent à la soumission, donc à leur propre destruction.
@ Tommy, j’ajoute que le fait de préciser que le suisse est adepte de tir sportif vise à justifier le projet de l’UE de désarmer sa population…
C’est comme pour “le type” qui a descendu un autre “type” au sud de la France.
20 Minutes déclare ” Un Suisse, adepte de tir sportif, tue un voleur ” , de manière à accuser a priori le Suisse.
Au lieu de dire ” Un propriétaire descend un voleur maghrébin “.
A force de refuser de nommer son adversaire….
Comme à Manchester.
Il y a bien des années déjà, Morrissey avait déploré qu’il ne reconnaissait plus Londres, et bien des bonnes âmes vivre-ensemblistes n’ont pas du tout apprécié cette critique de Londonistan. Cela vous étonne?