Tribune d’Aydan Özoğuz parue le 14 mai dans le Tagesspiegel]
L’Allemagne est diverse et, pour bien des gens, c’est trop compliqué. Aussi réclame-t-on au rythme des saisons une culture de référence censée assurer ordre et repères. Mais dès que l’on doit donner un contenu à cette culture de référence, le débat tourne au ridicule et à l’absurde, les propositions se réduisent à un cliché : être allemand. Ce n’est pas étonnant, car, au-delà de la langue, une culture spécifiquement allemande n’est tout simplement pas identifiable. Déjà, d’un point de vue historique, ce sont plutôt les cultures régionales, ce sont l’immigration et la diversité qui ont façonné notre histoire. La mondialisation et la pluralisation des modes de vie conduisent à un accroissement supplémentaire de la diversité.
Cette diversité culturelle n’est pas non plus facile, mais elle constitue la force de notre nation en tant que société ouverte. Par contre, l’invocation d’une culture de référence ne crée pas de points communs, bien au contraire, elle exclut. […]
On ne peut pas décréter en soi que les immigrés doivent s’adapter à une culture majoritaire prétendument traditionnelle, ni insinuer qu’ils ont besoin de cours de rattrapage parce qu’ils se situeraient en dehors de notre système de valeurs.[…]
[…]
Reste naturellement la question de savoir quelle forme nous allons donner à la diversité et comment nous pouvons créer un « nous » commun. Ma proposition : un contrat social basé sur les valeurs de la Constitution et se fixant comme objectif l’égalité des chances pour participer à la vie sociale. Sous ma présidence et avec la participation de larges couches de la société, la Fondation Friedrich Ebert a fait des propositions concrètes en ce sens : une loi d’immigration avec des règles claires, une ouverture interculturelle dans tous les domaines, un accès équitable à l’éducation et au marché du travail pour tous, développement massif des cours d’intégration, facilitation des naturalisations.[…]
(Traduction Fdesouche)
Macron et cette tourte ont un discours de 20 ans d’avance. Effectivement dans le futur, il n’y aura plus de culture française, allemande, romande,…etc.
Je suppose qu’il n’y a donc pas de culture turque ?
Mdr !
Quelle idiote !
C’est aussi l’opinion de Macron pour la culture française. Mais au moins elle, qui est turque, n’est pas traître à son pays comme le misérable produit de marketing qui a réussi à macroniser les Français.
Une c…. parfaite.
COMME C’EST ETRANGE, ILS ONT TOUS LA MEME FORMULE OU PRESQUE
A quel cours du “SOIR” vont-ils pour nous resservir cette formule avec autant de conviction.
QUELS SONT LEURS ENSEIGNANTS. ILS SONT LES BONS ELEVES DE QUI DANS CETTE EUROPE EN VOIE DE TRANSFORMATION TOTALITAIRE???
Honte à elle (comme pour Macron) pour de telles inepties !
Aydan Özoguz (SPD) devient ministre déléguée chargée des migrations, des réfugiés et de l’intégration. Elle est la première personne ayant des racines turques à entrer dans un gouvernement allemand.
Que penser de cette “élue” qui dénie la culture allemande, ses écrivains, philosophes et compositeurs qui ont tant enrichi la réflexion et le savoir, et qu’elle veut enterrer dans la nuit de l’histoire?
On dirait bien que Macron fait des émules. C’est vrai qu’il n’y a aucune différence entre aller se pinter la tronche à la Fête de la bière à Munich, et aller se mettre à quatre pattes le cul en l’air lors d’un pèlerinage à La Mecque.
Macron nous dit qu’il n’y a pas de culture française. Maintenant, c’est au tour de l’Allemagne de l’inculquer à son peuple. Imaginons un instant ce petit pays qu’est la Suisse. Dans l’esprit des mondialistes, nous n’avons simplement pas d’existence légale.
A force de dire nous n’avons pas de culture ce sont les immigrés qui impose la leur. Pourtant, même entre européens, allemands, français, suisses, belges etc…. nous avons tous des manières de vivre différentes: c’est quand même culturel, non.
Ah bon ? Gœthe, Schelling, Fichte et une multitude d’autres, devaient probablement être de culture “arabo-musulmane”, je suppose ?
Décidément, la démence des pseudo-élites européâstres est si profonde qu’elle ne connaît aucun remède.
Pauvres peuples d’Europe !
On ne remonte pas la pente abrupte de la décadence, mais avec une volonté de fer on peut tracer des routes escarpées vers la renaissance. Avis !
Par définition, une société “ouverte” ne peut être une société.
Alors celle-là, elle parle pour sa paroisse…heu pardon… sa mosquée !
Le futur Eurocalife Iznogoud va lui mettre un bon point !