Christian Hofer: Article qui est démontre à quel point Erdogan a bien compris la stratégie du politiquement correct européen qui oblige les Européens à se taire: il suffit d'incriminer le populisme pour être déjà gagnant dans le débat.
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La Turquie veut poursuivre les négociations d'adhésion avec l'Union européenne. Etre membre de l'UE reste "un objectif stratégique", a indiqué mardi le président turc Recep Tayyip Erdogan à l'occasion de la Journée de l'Europe.
"Notre pays, qui fait partie, sur les plans historique, géographique et culturel, depuis des siècles de l'Europe, a la volonté de poursuivre le processus en vue de l'adhésion à l'Europe, qui est vue comme un objectif strtégique", écrit M. Erdogan dans une déclaration. Il évoque "un respect mutuel, une égalité et une approche gagnant-gagnant" et ne veut pas entendre parler de l'extrême-droite, du populisme et du sentiment anti-islam en Europe.
Après le coup d'Etat manqué du 15 juillet 2016, les relations entre l'UE et la Turquie se sont détériorées, avec en point d'orgue la campagne extrêmement polarisée en vue du référendum turc sur le renforcement des pouvoirs du président.
Les négociations d'adhésion, lancées officiellement en 2005, sont de facto "suspendues". Plusieurs voix s'élèvent en Europe pour mettre fin, purement et simplement, aux négociations en raison de la façon dont la Turquie aborde désormais les droits de l'homme et l'Etat de droit. M. Erdogan veut par exemple rétablir la peine de mort - ce qui signifierait sans aucun doute la fin des négociations d'adhésion. Le Premier ministre belge, Charles Michel, avait indiqué vendredi que les négociations étaient "au point mort" et que l'Europe devrait plutôt conclure "un partenariat stratégique" avec la Turquie.
la Turquie est d origine Arabe Mahométans , de quelle culture il parle cet idiot de tyran , dictateur , assassin de kurde , exterminateur , il vit encore sur Mars , la culture arabe et Européenne sont 2 cultures différentes comme le jour et la nuit
Ce pays est sur le continent Asiatique , en voie d’intégrisme musulman ; de ce faite il est hors de question qu’il intègre un jour fusse dans 1000ans l’ Europe.
En fait, il y a deux Turquies. Celle d’Europe est contiguë à la Bulgarie et à la Grèce, l’autre correspond à l’antique Lydie d’Asie Mineure. Deux mondes fort différents, le second ayant été tôt subverti par les mahométans. Deux détroits, les Dardanelles et le Bosphore, séparent physiquement ces deux mondes. Seule la partie occidentale, donc, pourrait prétendre à être européenne. L’autre n’est pas asiatique, à proprement parler. Mais elle est peuplée de musulmans (j’allais écrire “arriérés”, mais évitons le pléonasme) qui fournissent à l’Erdogan ses forces, et contient Ankara, là où siège le pouvoir Ottoman. L’Erdogan joue sur du velours, entre les États-Unis qui, jadis, eurent la mauvaise idée d’incorporer la Turquie dans l’OTAN (c’est la première armée otanienne du continent !) et la Russie qui n’a de débouché direct sur la Méditerranée que par les détroits (regardez sur la carte où se trouve Sébastopol), il peut jouer une puissance contre une autre, à sa guise. Il possède en sus l’arme des “migrants”. Arme factice, car avec un peu de volonté politique, l’Europe pourrait barrer efficacement la route de l’ouest . Mais, hélas, il y a en Europe monopoliste la religion des “droits-de-l’homme”, perversion stupide et sordide des Droits initiaux, qui visaient à protéger les personnes contre la tyrannie et affirmaient avec raison, que “le principe de toute souveraineté réside essentiellement en la Nation”. Ce sida intellectuel des pseudo-élites européennes est une arme absolue… Aux mains de l’Erdogan, diable intelligent.
On ne cessera jamais assez de dire que la Turquie ne fait pas partie de l’Europe, mais de l’Asie mineure. Un point, c’est tout.
Géographiquement, la Turquie est un pays d’Asie. Depuis l’arrivée au pouvoir d’Hitlerogan, elle n’a plus rien d’une démocratie, donc elle n’a rien à faire dans l’UE.
J’attends avec une certaine impatience qu’Erdogan fasse réintroduire la peine capitale en Turquie, ce qui mettrait de facto un terme au danger turc pour le monde occidental.