Branle-bas de combat mercredi matin dans la riante ville de Trappes (Yvelines), « bastion » du djihadisme et fief du candidat socialiste Benoît Hamon renvoyé dans les cordes et plus cabossé qu’une pomme de terre bio au terme du premier tour de l’élection présidentielle.
Branle-bas de combat, donc, avec une opération antiterroriste menée par la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) dans le cadre d’une enquête ouverte en février dernier par la section du parquet antiterroriste de Paris à la suite d’un renseignement parvenu à la DGSI. Renseignement selon lequel des « personnes » radicalisées auraient cherché à se procurer des armes. D’où cette descente des hommes du Raid avec, à la clé, l’interpellation et la mise en garde à vue de quatre individus – aucune précision sur les noms et les origines de ces personnes semble-t-il âgées de 28, 37, 39 et 40 ans, et ayant un lien avec des « Trappistes » combattant en Syrie dans les rangs de Daesh – pour vérifier le bien-fondé du renseignement.
Selon les premières informations, ces arrestations n’auraient aucun lien avec l’attaque terroriste ayant causé la mort du policier Xavier Jugelé, jeudi dernier sur les Champs-Elysées ni avec l’attentat déjoué à Marseille. Par ailleurs, il est également précisé que cette opération n’a pas de rapport avec une menace imminente d’attentat pendant le dernier tour de l’élection présidentielle.
Pas d’inquiétude, donc. Il est vrai que dans une France en état d’urgence où les nids de djihadistes en puissance pullulent, le seul danger est la montée du Front national et le risque, façon alerte rouge, de voir Marine Le Pen accéder à la présidence.
Une Marine Le Pen qui, contrairement aux propositions faiblardes de son adversaire Emmanuel Macron pour lutter contre le terrorisme qui menace chaque jour le pays, propose des mesures radicales, à savoir : expulser les fichés « S » étrangers, déchoir de leur nationalité française les fichés « S » binationaux, poursuivre pour « intelligence avec l’ennemi » les fichés « S » français, rétablir la peine d’indignité nationale pour les individus coupables d’infractions en lien avec le terrorisme, créer une agence de lutte antiterroriste rattachée au Premier ministre et fermer les mosquées extrémistes recensées par le ministère de l’Intérieur.
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Extrait de: Source et auteur
Emmanuel macron de la facon dont il traite les Français a mon avis devrait recevoir un surnom
Le Macron-phage
Pourquoi le risque de la montée du Front national
Le français moyen en a marre de se faire monter sur les pieds par une mouvence qui risque …ELLE d’inquiéter notre liberté
C’est la réalité