Simonetta Sommaruga était ce vendredi à Aarhus. La deuxième ville du Danemark fait référence dans la lutte contre le djihadisme.
Lancé il y a dix ans en marge des attentats de Londres, le modèle Aarhus fait aujourd’hui figure de référence dans toute l’Europe. Il est basé sur la coopération entre la police et les services sociaux de la mairie afin de dissuader les jeunes de partir faire le djihad.
Le programme est axé sur le dialogue. Policiers et travailleurs sociaux sont à l’écoute des jeunes qui acceptent de venir discuter de leur situation. Un mentor les aide à réintégrer l’école, à suivre une formation, à trouver un emploi, un logement; bref, à retrouver une vie normale de citoyen ordinaire. Cela sans contrainte, car le programme repose sur une base volontaire.
«Avec les jeunes, on parle de football autour d’un café, ou bien de musique, pour détendre l’atmosphère. Mais on aborde aussi leurs problèmes et leurs motivations pour faire le djihad.
Approche douce
Le modèle d’Aarhus passe donc par une approche douce. «Traiter les djihadistes de terroristes et les mettre en prison n’est pas la solution. L’alternative serait de les laisser s’évaporer dans la nature avec le risque de se radicaliser encore plus», confie Joergen Ilum, l’ancien directeur de police de la région. «Mais nous ne les accueillons pas avec des fleurs, et s’ils ont commis des actes répréhensibles, ils seront poursuivis en justice», assure-t-il, tout en reconnaissant la difficulté d’obtenir des preuves pour leur participation active au conflit afin de les amener devant les tribunaux.
Pour de nombreux experts, le modèle d’Aarhus est le meilleur et devrait donc être étendu à d’autres villes. Pourtant, le programme connaît des échecs. Ainsi, des participants au programme de déradicalisation sont repartis en Syrie. C’est le cas de Mohammed Dirawi, un élève danois modèle de 19 ans, d’origine palestinienne, tué en 2015 au combat en Syrie dans les rangs de Daech. «Le modèle d’Aarhus a des failles, reconnaît Allan Aarslev. Il n’est qu’une partie de la solution.»
L'alternative, c'est la prison
A Copenhague, d’ailleurs, l’enthousiasme pour ce programme n’est pas partagé. Naser Khader, porte-parole du parti conservateur de la coalition au pouvoir, n’hésite pas à parler d’échec. «Lorsque 15 jeunes reviennent de Syrie après avoir combattu avec l’Etat islamique, on ne doit pas leur offrir des entretiens avec des psychologues ou un emploi. Ils doivent être poursuivis pour avoir combattu avec une organisation terroriste», martèle-t-il. L’ancien ministre de la Justice Soeren Pind a également des doutes. «Nous ne savons pas si ce modèle fonctionne, d’autant qu’Aarhus a fourni les djihadistes les plus radicalisés du pays.»
Le meilleur moyen de se prémunir de cette engeance est de leur barrer l’accès à l’Occident.
Comme le Antibrumm contre les moustiques. Ne pas attendre d’avoir été piqué.
Un stage tout frais payé par ces cons de dhimmis, pour s’entrainer à parler Taqiya.
RealrecognizeReal 2017 (nouvelle mode sur les observateurs)
Et pendant ce temps, sa consœur Torracinta milite à Genève et ne veut pas d’exclusion dans les écoles et prône l’intégration des migrants et des handicapés…elle mélange les handicapés avec les migrants ? L’article vaut le détour…
Elle continue…, épisode 88?, après l’accueil, l’entretien, l’intégration, il faut la déradicalisation… ça coûte les yeux de la tête…pour des gens qui ont enlevé des têtes… et tout cela avec l’argent des contribuables alors qu’elle ne s’inquiète pas des laissers pour comptes chez nous, des chômeurs suisses qui ont perdu leurs emplois grâce aux frontaliers qu’elle prône… en France, ils ont fait le constat amer de l’échec de cette déradicalisation et de l’argent détourné par ceux qui s’en occupaient… l’article dans le Matin est resté quelques heures et a été mis aux archives…pour ne pas créer de polémiques…
Parait que Carlos a mis un Like sur les déclarations de Sommaruga…
La réalité du monde préparée par nos “élites”:
https://twitter.com/TRobinsonNewEra/status/850435107370536960
Une réalité qui nous laissera en morceaux.
Littéralement !
“…le programme connaît des échecs. Ainsi, des participants au programme de déradicalisation sont repartis en Syrie. C’est le cas de Mohammed Dirawi, un élève danois modèle de 19 ans, d’origine palestinienne, tué en 2015 au combat en Syrie dans les rangs de Daech…”
Questions de perspectives. Personnellement j’appelle ça une splendide réussite. Un connard est allé crever là-bas. Il ne reviendra pas commettre des actes terroristes et ne coûtera rien à la société, ni en suivi psychologique, ni en incarcération, on ne peut espérer mieux. Si seulement tous ces abrutis endoctrinés pouvaient suivre ce merveilleux exemple!
Il n’y a que Stalinovna Pipiruga pour toujours vouloir défendre l’indéfendable. Mais qu’elle se méfie: le jour où un de ses petits protégés foncera dans la foule au volant d’un camion volé, ce sera sa mort politique.
Toutes les tentatives pour lui greffer un cerveau ayant lamentablement échoué, elle ne comprendra jamais pourquoi.
Jeferson 2017
Mme Sommaruga a l’idéologie de la gauche, nous devons accepter cette invasion de migrants dont la majeure partie est musulmane. Il faut simplement se référer à ce que dit le coran: tout musulman a le devoir de propager sa religion par la persuasion ou la violence. Tout est dit et ce n’est pourtant pas compliqué à comprendre!!!