L'Union européenne (UE) a, selon des informations de la NZZ am Sonntag, un nouveau moyen de pression pour amener la Suisse à signer un accord institutionnel.
Les entreprises suisses d'exportation telles que les entreprises de techniques médicales ou les fabricants d'instruments de mesure devraient non seulement faire examiner leurs produits en Suisse, mais également au sein de l'UE. Ces mesures coûteuses renchériraient les produits.
Nos remerciements à Info
http://www.laliberte.ch/news/suisse/une-visite-tendue-a-bruxelles-382574
On devrait pouvoir, par rétorsion, leur ré-expédier tous les migrants-chômeurs devenus subitement inutiles puisque les entreprises ne pourront plus produire pour l’UE.
Vous m’avez enlevé les mots de la bouche Aldo.
Ca, c’est un premier atout que pourraient jouer nos représentants à Bruxelles
Le 2è, c’est que notre balance commerciale avec l’UE est déficitaire à huateur de 11, 53 milliards de CHF (chiffres de 2015 ) ce qui veut dire que l’UE fait son beure avec ses exportations vers la Suisse avec un excédent de 11, 53 milliards de CHF.
Alors, si l’UE continue à nous chercher des poux, cherchons à exporter le plus possible vers le reste du monde qui,comme dit Nic Hayeck: “Le monde est bien plus grand que l’UE”
Malheureusement , nous envoyons à Bruxelles des traitres et des incapables qui ne savent pas jouer aux cartes!
L’UE c’est l’asservissement des états libres et indépendants du continent européen non pas par les armes mais économiquement et financièrement.Les grecs en sont les premières victimes!Les italiens et les espagnols sont les suivants et,finalement les français!Nous suisses essayons de préserver notre indépendance dans ce qui n’est qu’une guerre dont seule l’Allemagne tire un quelconque profit.Bis repetita!
La classe politique suisse s’accroche à son agenda mondialiste comme un morpion sur son poil. Mais, cette dernière va vite déchanter quand elle se rendra compte que le peuple et les cantons ne la suivront pas.
Vive l’ASIN! A bas les bilatérales et Schengen…
Nos élus n’ont pas encore compris que membre ou pas de l’UE, la Suisse devra à l’avenir appliquer toutes les directives de la commission de Bruxelles. Cela s’appelait le servage au moyen âge. Jusqu’où irons-nous dans la bassesse ? Ne somme-nous vraiment que les paillassons de l’UE et des USA ? Et tout cela pour un pseudo-bien-être passager. Quand nous aurons perdu notre liberté et notre souveraineté, il sera trop tard. Arrêtons de faire confiance à des myopes.
Voilà, l’UERSS nous menace encore une fois ! Il y en a marre de cette dictature mondialiste.
Mieux vaut des ennemis plutôt que des soit disant amis comme l ‘ UE
Et après on nous parle de bilatérales.
J’étais pour voter à la RIEIII mais maintenant, vue la pression de l’UE je suis complètement contre!!!
Et bien faisons de même et proposons une taxe élevée pou tout ce qui est européen, qui entre ou simplement traverse notre sol. On verra bien qui rira le dernier!
Sauf que pour agir ainsi, dans ce genre de poker menteur, il faut du courage et de la détermination. Ce que ne possèdent plus depuis longtemps nos veules élites politiques quand il s’agit de l’UERSS!
La Confédération a une chance unique de pouvoir quitter cette dictature centralisée à Bruxelles. Il ne faut pas se laisser impressionner par cette entité qui est condamnée, mais qui ne le sait pas encore. C’est une simple question de temps pour que survienne son effondrement. Comme une bête blessée, elle menace alors qu’elle est perdue. La Confédération doit s’en écarter le plus vite possible. la Suisse n’a jamais été aussi forte que lorsqu’elle était totalement indépendante.
Nous sommes le troisième (!!!!) partenaire économique de l’UE. Contrairement à ce que nous font croire les gauchos et les traîtres du PLR/PDC, nous sommes un partenaire économique vital pour l’UE.
La balance commerciale nette est d’environ 60 milliards, au profit de l’UE.
Il faut donc faire pression et systématiquement appliquer la réciprocité: ainsi chaque produit provenant de l’UE devra être contrôlé et testé en Suisse, avec des procédés méticuleux dont nous seuls avons le secret.
On devrait pouvoir, par rétorsion, leur ré-expédier tous les migrants-chômeurs devenus subitement inutiles puisque les entreprises ne pourront plus produire pour l’UE. Et en plus comme on achète à l’Europe plus qu’on lui vend, c’est une démonstration de l’imbécilité de ses dirigeants bolchéviques totalitaires et ignares. S’opposer à toutes les propositions du C.F. pour les prochaines votation c’est faire barrage à ce type de chantage. Avec un NON partout, on les obligera à reconsidérer tôt ou tard la mise en oeuvre de la votation sur l’immigration de masse , en respectant la Constitution et le résultat du vote. Et toutes ces balivernes sur ces votations seront inutiles, puisque ces nouveaux impôts et nouvelles taxes totalement liées à la surpopulation, disparaîtront d’eux-mêmes.
Considérons la Suisse sur le long terme. Vouloir continuer de pousser la machine économique pour servir les intérêts des totalitaires bolchéviques de l’U€RSS, dans une surchauffe généralisée de surpopulation due à l’immigration de masse, c’est faire croître exponentiellement les coûts que de tels débordements ne manquent pas d’imposer. Rien n’oblige ces entreprises à rester en Suisse, sinon de faire du fric avec la surpopulation et de faire supporter l’ensemble de ses coûts exponentiels directement aux contribuables travailleurs. C’est rouler en permanence à 200 km/heure sur l’autoroute en croyant que la machine ne se grippera pas comme si on roulait à 120 km/heure.
A ce jeu perpétuel de la menace et du chantage, il faut être deux : l’UE et notre gouvernement trop souvent prêt à faire la révérence. Empêtrée dans ses multiples disfonctionnements et ses incohérences, l’UE se permet néanmoins le luxe de se focaliser sur notre pays qui a l’air de ne demander que cela…
Cela veut déjà dire que quelque soit le résultat des votations elles ne seront une fois de plus pas respectées… C’est quand même assez incroyable, on n’est pas au Rwanda mais ça y ressemble de plus en plus.
Bien sûr, nos larves de Berne vont s’empresser d’approuver le chantage de l’oligarchie bruxelloise avec enthousiasme et le sourire béat aux lèvres…