Madame, Monsieur, bonsoir !
Tout de suite pour commencer, retrouvez Elise Blaise pour votre rendez-vous politique quotidien : Cap sur l’Elysée !
Madame, Monsieur, Bonsoir, bienvenue dans Cap sur l’Elysée !
Premier débat des socialistes. Ils se rapprochent enfin de leurs électeurs ! Eh oui, ils partagent le même désespoir. Le premier débat de la primaire a été sans surprise, sans saveur, ni ferveur. Le bilan du quinquennat Hollande a occupé une grande partie des échanges et tous ont lancé leur lot de critiques, mis à part Manuel Valls, pour qui c’eût été trop gros !
Pas d’audience, pas de débat, et pas d’idées, voilà en somme comment résumer le premier débat entre les candidats de la Belle Alliance Populaire. Alors que la première joute oratoire de la primaire de la droite réunissait 5,6 millions de téléspectateurs, seuls 3,8 millions se sont infligés celui de la gauche. Il faut dire que les rares attentes des potentiels électeurs de la primaire n’ont pas été comblées. Si l’on attendait d’avoir une idée précise de chaque candidat et de son programme, il faut bien l’avouer, c’est râté !
Un quasi consensus était toutefois à relever quand il s’est agi de revenir sur le bilan de François Hollande. Dans ce cadre, seul Manuel Valls a tenté de sauver les meubles, et pour cause, il était celui qui avait majoritairement participé à la déconfiture. On l’attendait offensif et autoritaire face à ses camarades mais il semblait éteint et ne nous a même pas gratifié d’un “merde, alors !”.
En réalité, les socialistes n’ont même pas offert de véritable spectacle aux Français. Aseptisés et courtois, les candidats avaient à cœur de maintenir l’illusion d’une grande famille avec des points de discordes, mais qui s’aime et s’accepte comme elle est. On attendait des coups, on n’a finalement eu que des mous.
Arnaud Montebourg, favori dans les sondages, n’a pas fait montre de la grandiloquence décalée à laquelle il nous habitue… A croire que le débat était aussi soporifique pour les acteurs que pour le public. Heureusement, Jean-Luc Bennhamias qui jouait son va-tout pour se faire connaître a capitalisé sur l’humour. Des internautes lui ont d’ailleurs retrouvé une ressemblance avec Bourvil… Il peut être considéré comme l’un des gagnants de ce premier débat car, contrairement à ses camarades, lui en a retiré quelque chose… En effet, grâce à cette prestation, il en sait un peu plus sur ce que contient son programme… après l’avoir découvert au fil de la soirée grâce aux questions des journalistes.
Vincent Peillon s’est sans doute le moins mal tiré du guêpier. Il a affiché une certaine prestance et s’est révélé assez offensif, même si les raisons de sa présence dans ce match sans enjeu sont toujours inconnues. Benoît Hamon a quant à lui fait un flop’. En effet, le frondeur qui parvenait à sortir du lot en début de campagne a été relégué très vite au rang de figurant. Dépourvu d’autorité, celui que Martine Aubry nommait affectueusement le petit Benoît n’a pas montré qu’il avait grandi.
A 9 jours du premier tour de la Belle Alliance Populaire, l’enjeu n’est plus la présidence de la République. Les socialistes ont compris qu’ils pourraient à peine se hisser à la 4e place du 1er tour de la présidentielle. L’enjeu de chacun était sans doute de s’afficher en mentor socialiste pour récupérer le Parti à la dérive et tenter de le redresser pour 2022… mais même cette entreprise apparaît poussive au vu d’une inévitable participation fébrile à la primaire.
A l’issue du débat et d’un constat d’échec, beaucoup ont regretté que Macron ne figure pas parmi les candidats… Mais l’ancien ministre de l’économie n’était pas suicidaire et sa route en marge des socialistes est bien plus profitable. D’ailleurs, certains se demandaient dès hier soir s’il n’allait pas être plus raisonnable de se mettre en marche avec lui. L’ancien banquier Rothschild a en effet réalisé une prouesse jeudi soir, sortir grand vainqueur d’un débat auquel il ne participait pas.
Voilà à peu près ce que l’on pouvait retenir du premier débat de la primaire de la gauche. Le prochain aura lieu dimanche 15 janvier, sur les chaînes d’info en continu… on s’attend donc à une audience encore plus faible !
C’est à présent le moment de retrouver notre rubrique Enjeux Sécurité 2017. Alors que l’on apprenait il y a peu que 22 000 personnes étaient sur écoute en France, le criminologue Xavier Raufer revient sur la surveillance.
Voilà, Cap sur l’Elysée, c’est fini. Je vous retrouve lundi pour une nouvelle édition. Tout de suite, le reste de l’actualité avec Pierre Bergerault. Bonsoir.
Merci Elise ! Et maintenant, retour sur les titres de l’actualité !
Société/ La vignette Crit’air débarque
La machine écologiste Hidalgo est en marche. Les vignettes anti-pollution “Crit’air” seront obligatoires dès lundi à Paris. Tous les véhicules motorisés devront arborer la petite pastille sous peine d’amende. Thibault Bastide
Anne Hidalgo à la chasse aux automobilistes ! Dès lundi, la vignette anti-pollution Crit’air sera obligatoire dans les rues parisiennes. Ainsi, 6 pastilles différentes seront visibles sur les pare-brises de tous les véhicules motorisés. Une initiative du maire de Paris afin de lutter contre la pollution. Cependant, cela s’apparente davantage à une chasse afin de supprimer progressivement les véhicules dans la capitale française. En effet, Anne Hidalgo ne s’en cache pas et l’a répété lors de ses vœux pour 2017 en déclarant plus de voitures égale plus de pollution, moins de voitures égale moins de pollution. Ce processus a pourtant débuté en septembre 2015 avec l’interdiction de circulation appliquée aux poids lourds datant d’avant 2001. Première mesure qui a fait de Paris la première zone à circulation restreinte de France.
Et les interdictions se poursuivent. Les véhicules particuliers immatriculés pour la première fois avant le 1er janvier 1997, les véhicules utilitaires légers d’avant le 1er octobre 1997 et les deux-roues d’avant le 1er juin 2000 sont désormais priés de ne plus rouler dans Paris. Souhaitant diviser par 2 le nombre de voitures circulant dans Paris d’ici 2020, Anne Hidalgo s’attaque surtout aux portefeuilles des automobilistes. L’absence de vignette fera l’objet d’une amende s’élevant à 68 euros pour les voitures et 135 euros pour les poids-lourds et les autocars. Dans le même temps, si l’amende n’est pas réglée dans un délai de 45 jours, elle sera majorée respectivement à hauteur de 180 et 375 euros.
De plus, avec ces petites vignettes colorées d’un montant de 4,18 euros, finie la circulation alternée, place à la circulation différenciée. Seuls les véhicules les moins polluants pourront circuler lors des pics de pollution, les autres devront rester au garage. Les automobilistes seront donc invités à prendre les transports en communs qui ne seront plus gratuits. En effet, le président de la Région Ile-de-France,Valérie Pécresse, a fait voter mercredi un forfait spécial anti-pollution à 3,80 euros soit le prix 2 tickets de métro. Et peu importe le nombre de trajets effectués dans la journée. Ainsi les caisses du Syndicat des transports d’Ile-de-France seront renflouées. En désaccord régulier concernant la piétonisation des voies sur berges parisiennes, Anne Hidalgo et Valérie Pécresse arrivent pourtant à trouver un terrain d’entente quand il s’agit de faire payer les Français.
Politique / Les socialistes bradent l’île de Tromelin
Les socialistes démantèlent le territoire français ! Par un vote le 18 janvier prochain, les députés de la majorité vont céder l’île française de Tromelin et son immense territoire maritime à la République de Maurice. Le projet est contesté de droite à gauche… Olivier Frèrejacques
L’île de Tromelin bientôt perdue ! Si rien n’est fait avant le 18 janvier, la majorité socialiste cédera l’île de Tromelin aux autorités mauriciennes et ce sans aucune contrepartie. L’île mesure seulement un km² mais possède un domaine maritime très riche de 280 000 km² situé en Zone économique exclusive entre Madagascar et la côte africaine. En effet, plusieurs études scientifiques démontrent qu’il contient entre 6 et 12 milliards de barils de pétrole ainsi que 3 à 5 milliards de m3 de réserves de gaz. L’île n’est actuellement habitée que par 3 agents des Terres Australes et Antarctiques Françaises. Appartenant au district des îles Éparses de l’océan Indien, elle est une possession française depuis sa découverte en 1722.
Un traité signé discrètement sous le quinquennat de Nicolas Sarkozy le en juin 2010 devait entériner la cession mais la levée de boucliers au sujet du statut dit de cogestion avait empêché son adoption en avril 2013. Le député UDI Philippe Folliot, le député Les républicains Laurent Furst et le député PS Gilbert Le Bris, s’étaient opposés au projet et avaient même reçu le soutien de Marine Le Pen et du ministre de l’outre-mer de l’époque, le socialiste Victorin Lurel. Mardi, la présidente du Front national a dénoncé un projet “inconstitutionnel” dont l’objectif est de “brader une parcelle du territoire national”. Elle a également demandé à François Hollande d’enlever le projet de loi de l’ordre du jour de l’Assemblée nationale. Concernant le vote de mercredi prochain, le député Les Républicains du Bas-Rhin, Laurent Furst, dénonce un traité inique.
Si l’île de Tromelin devait être cédée, le député craint un effet domino et le détricotage du territoire français.
Economie / Electricité : ça va couper
– 5 à – 15 degrés la semaine prochaine sur une large partie de la France, soit 5 à 10 degrés en dessous des normales saisonnières… La consommation électrique va atteindre des sommets. Le problème, c’est qu’EDF risque de ne pas pouvoir suivre. Natasha Koenigsberg
C’est en 2012 que la France a dû affronter, conjointement, sa dernière grande vague de froid, et, dans le même temps, son dernier pic de consommation historique… Ce pic dépassait de peu les 100 gigawatts, mardi 7 février 2012, à 18H30. C’est le scénario du pire pour EDF et Enedis, qui gère le réseau électrique en France… Le maximum d’électricité qu’EDF peut en effet produire, à un instant T, est en effet de 85 gigawatts. Or, avec les températures polaires qui vont s’abattre sur la France la semaine prochaine, les Français, qui sont 1 sur 3 à se chauffer à l’électricité, une anomalie en Europe et dans le monde provoquée par notre parc nucléaire et notre électricité bon marché, vont faire exploser la consommation… 1 degré de température en moins, dehors, en dessous de 0 degré, c’est l’équivalent d’une ville comme Paris en consommation en plus.
Il va donc falloir appliquer un plan d’urgence pour tenter de limiter le risque de coupures accidentelles, voire, de black-out : le black-out, c’est l’effondrement d’un réseau électrique, soumis à une trop grande demande d’électricité à un instant donné. Les industriels gros consommateurs d’électricité, qui ont signé des contrats de délestage avec EDF, vont devoir se débrancher du réseau la semaine prochaine, sans doute tous les soirs à partir de mercredi, pendant plusieurs heures. EDF espère encore pouvoir acheter l’équivalent de 7 gigawatts en Europe… mais cela ne sera possible que si nos voisins ne souffrent pas eux aussi, trop, de la vague de froid…
Enfin, une baisse de la tension sur le réseau électrique, de 5 %, permettra encore de faire quelques économies, l’équivalent de Paris et de sa banlieue. Mais au moment fatidique, mardi, ou mercredi soir, quand la vague de froid sera installée, que les Français rentreront chez eux et allumeront chauffages électriques, lumières, et chauffe eau, sans parler des micro-ondes et autres appareils électroménagers gourmands en électricité… il faudra sans doute prier pour que ca passe… Il risque de manquer quelques gigawatts, 4, 5, 7, peut être 10, pendant quelques heures, ce qui signifiera forcément, des coupures d’électricité dans certaines régions, par roulements de 2 heures… Il risque d’y avoir une razzia ce week-end sur les poêles à pétrole et les bougies dans les grandes surfaces et les magasins de bricolage…
International / Chypre : vers une réunification ?
Va-t-on vers une conciliation sur l’île de Chypre ? De nouvelles négociations se déroulent actuellement à Genève entre les différentes parties prenantes du conflit. En cas d’accord avec la Turquie, l’île pourrait voir disparaître une partition qui dure depuis 42 ans. Floriane Jeannin
La conférence des nations unies sur la réunification de l’île de Chypre sera-t-elle historique ? Réunis à Genève, les dirigeants chypriotes grecs et chypriotes turques ont ouvert les négociations pour mettre fin à un conflit qui dure depuis 42 ans. Le territoire avait été divisé en deux parties en 1974 à la faveur d’une tentative de coup d’Etat par des officiers grecs provoquant une intervention armée de la Turquie pour protéger ses minorités présentes sur l’île. Aujourd’hui le Nord de l’île sous contrôle turque se nomme la République Turque de Chypre du Nord et n’est reconnue que par la Turquie, sa voisine : la République de Chypre, hellénophone, est membre de l’Union Européenne.
En 2003 les relations s’étaient déjà apaisées avec l’ouverture d’un point de passage entre les deux pays. Un référendum sur un Etat confédéral avait en revanche été rejeté par la partie sud de l’île alors que la partie nord y était favorable. Mais cette fois-ci les choses pourraient changer et l’enjeu principal du sommet : la sécurité, pourrait déboucher sur un accord. Le retrait des troupes turques du nord de l’île pourrait aboutir même si cela pourrait prendre plusieurs années. Les puissances garantes de la sécurité de l’île et autorisées à intervenir : la Grèce, la Grande-Bretagne et la Turquie se disent prêtes à abandonner ce rôle même si Ankara reste sur ses gardes.
Les observateurs demeurent néanmoins optimistes. Le coup d’état raté de juillet 2016 contre le chef d’Etat turc Recep Tayyip Erdogan et la répression qui a suivit pourrait tenter le dirigeant de lâcher du lest sur ce dossier pour améliorer ses relations avec Bruxelles, qui dénigre son autoritarisme. Erdogan pourrait ainsi concentrer ses forces sur les menaces intérieures qu’il s’agisse des kurdes ou de Daesh. Autre élément en faveur d’une issue favorable : les champs gaziers découverts au large de l’île, des territoires israéliens et de l’Egypte. En réglant le problème chypriote, Ankara pourra faciliter sa coopération avec les pays de l’Est méditerranéen et faire passer des gazoducs sur son territoire.
En revanche le rapprochement d’Erdogan avec les ultranationalistes turcs pourrait jouer contre cet accord, le président ayant besoin de leur soutien dans la perspective d’un référendum national au printemps visant à instaurer un régime présidentiel. Quoi qu’il en soit, si les négociations aboutissent, c’est aux habitants de l’île qu’il reviendra de trancher par référendum sur la création d’une fédération bi-zonale et bi-communautaire.
Et pour aller plus loin sur la question, vous pouvez consulter notre émission d’histoire Passé Présent n°62 consacrée à Chypre et son histoire.
L’actualité en bref
22 ans de prison pour un vol de télécommande ! Un américain de 35 ans a écopé de cette peine pour avoir subtilisé une simple commande de télévision dans un hôtel à Wheaton dans l’Illinois. Si la peine paraît un brin disproportionnée par rapport au délit, elle s’explique en réalité par le fait que le voleur est un multirécidiviste du fait. Déjà condamné à de multiples reprises pour des vols de télévision et de télécommandes, il a cette fois-ci été trahi par un test ADN ! L’histoire ne dit pas s’il sera dans une cellule avec télévision, en revanche lorsqu’il sera libéré à l’âge de 57 ans les télécommandes n’existeront probablement plus…
Plus c’est gros, plus ça passe ! L’association lilloise SAFFIA pour Solidarité aux femmes et familles d’ici et d’ailleurs est suspectée d’avoir détourné plusieurs centaines de milliers de d’euros d’argent public. Selon Tracfin, l’organisme de lutte contre le blanchiment, la directrice recevait 5 000 euros net par mois et n’était pratiquement jamais au bureau. Les enquêteurs estiment qu’elle aurait perçu indûment 148 000 euros depuis 2010. Son frère aurait également reçu un salaire de 1 000 euros mensuels depuis 2011 dans le cadre d’un emploi fictif. L’association aurait par ailleurs réalisé des demandes de subventions pour des actions dont on ne retrouve pas la trace. L’État, la mairie, le Département et le Conseil régional ont porté plainte et cessé leurs financements. La présidente, la directrice et son frère seront jugés le 3 février par le tribunal correctionnel.
La tempête hivernale Egon a fait des dégâts. Selon les chiffres, 237 000 foyers ont été privés d’électricité en raison des vents violents qui ont soufflé sur la France. Une femme a perdu la vie dans les Alpes Maritimes après la chute d’un arbre déraciné par le vent. 4 452 interventions ont été nécessaires et plus de 1 000 personnes ont dû être évacuées. L’alerte rouge aux vents violents a été levée ce vendredi mais 8 départements ont été placés en alerte orange neige et verglas.
Anne Hidalgo opposée au rapatriement des cendres de l’académicien Michel Déon ! Le maire de Paris affirme que sa famille ne possède pas de sépulture dans la Capitale et qu’il lui revient le droit de lui en attribuer une ou pas. L’appartenance politique à la droite et plus spécifiquement aux Camelots du roi de l’Action française de Michel Déon pourraient expliquer le blocage d’Anne Hidalgo. Le célèbre romancier est pourtant né à Paris et a écrit de nombreuses pages sur la ville lumière. Ses cendres risquent donc de rester à Galway en Irlande, son dernier lieu de résidence.
Le 22 janvier les pro-famille retournent dans la rue ! Comme tous les ans depuis 2005, à l’exception de 2016 du fait des attentats, des milliers de personnes vont manifester leur volonté de défendre la vie depuis sa conception. Dans un climat législatif hostile, avec le vote récent de la loi créant le délit d’entrave à l’avortement, les organisateurs espèrent une large mobilisation. Cécile Edel, présidente l’association Choisir la vie nous en dit plus sur cet événement.
C’est la fin de notre édition. Comme chaque vendredi, nous vous conseillons la lecture du quotidien “Présent” de fin de semaine. A la Une : un entretien avec Jean-Lin Lacapelle sur son tour de France des fédérations FN, l’effet négatif du pape François sur l’Eglise italienne et les menaces nucléaires nord-coréennes.
Ce soir, retrouvez “IMedia”. Jean-Yves Le Gallou évoquera l’histoire de la pseudo sextape de Donald Trump, l’entretien occulté du président syrien Bachar al-Assad avec une journaliste de Boulevard Voltaire et les rapports incestueux entre Macron et les médias.
Egalement au programme de votre fin de semaine : Bistro Libertés. Martial Bild et les sociétaires de l’émission reçoivent le géopolitologue spécialiste du Moyen-Orient , Alexandre Del Valle. Parmi les thèmes abordés : quelle riposte au terrorisme de Daech, la primaire de gauche qui fait pschitt et le revenu universel.
Dimanche, Jean-Pierre Maugendre vous donne rendez-vous avec son émission Terres de Missions à partir de midi. Et tout de suite, une nouvelle chronique de la France de Campagnol. Quant à nous, on se retrouve lundi. Bonne fin de semaine à tous. Merci de votre fidélité, bonsoir !
Cet article Journal du vendredi 13 janvier 2017 – Société / La vignette Crit’air débarque est apparu en premier sur TVLibertés - Nous, c'est vous.
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