Baisse du QI national liée à l’immigration.
Différence dans les résultats de PISA 2015 (moyenne de mathématiques, lecture et sciences) entre la moyenne nationale, immigrants compris, et la moyenne sans les immigrants.
Echelle PISA (moyenne 500, écart-type 100) convertie dans l’échelle standard du QI (moyenne 100, écart-type 15).
Gains en vert, pertes en rouge ou en noir.
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Western Europe is a complete disaster zone, getting a harder cognitive hit even though the immigrant share of their population is considerably smaller than the US, where they constitute almost a quarter of the PISA-taking population. The German national average takes an astounding 2.4 IQ point hit due to immigrants. Moreover, there is no full convergence between first and second generation immigrants. Although one can hope the children of all those Syrian “doctors and engineers” will go on to become productive and loyal citizens, past experience suggests that they will merely bolster the sullen ranks of a permanent, growing, ethnically distinct, and highly criminalized underclass.
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Given the strong dependence between national IQ and economic prosperity, the globalist open borders project presents a serious challenge to the long-term viability of the First World cognitive engines that drive the vast bulk of technological progress – progress that is already threatened by the dysgenic trends embedded in post-Malthusian society and the banal fact that problems tend to get harder, not easier, as you ascend the technological ladder. This is not to even mention the risk of “institutional contagion” from newcomers who are culturally and perhaps biologically incompatible with that unique blend of individualism and commitment to the commonweal that facilitated the rise of European civilization.
As the neoreactionaries have argued, to cultivate a garden, you first need to build a wall. We needed to have started building it yesterday, but late is better than never.
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Tableau 1 (voir source)
Changement du QI lié à l’immigration, par pays.
Tableau 2 (voir source)
QI de la population indigène, par pays.
Source : unz.com
Cela me fait penser à l’expérience d’un ami ingénieur qui avait été envoyé dans les années ’80 dans le Maghreb pour y installer un réseau de pipelines.
Arrivé la-bas, il avait trois semaines pour recruter de la main d’oeuvre locale sans qualification.
Il a parcouru quelques villages pour exposer ses besoins et les conditions.
On lui a répondu qu les chefs des villages lui auraient fourni le personnel.
Un beau matin, il se lève et, devant le chantier, il voit une cinquantaine d’hommes.
Une fois au travail, il constate que la motivation des ouvrier n’est pas là.
Il va voir les chef de village et leur demande comment il a choisi les candidat.
La réponse fut la suivante: “Nous avons organisé des jeux et tout ce qui ont perdu on vous les a envoyés…”
A Sergio@
Si! Le prix Nobel de tam-tam ou celui de vendeuse de tresses!
Ben oui, il suffit de compter les prix Nobel provenant de ces merveilleux pays. L’un d’eux aurait-il inventé quelque chose ?