Il y a quelque temps, le discours très humaniste du Roi Harald, ouvrant généreusement, les portes du pays aux migrants, était devenu viral sur le web.
« Musulmans, homosexuels et migrants contribuent pleinement à l’identité de la Norvège. »
« Les Norvégiens croient en Dieu, en Allah »
« Les Norvégiens sont aussi des immigrés originaires de l’Afghanistan, du Pakistan, de la Pologne, de la Suède, de la Somalie et de la Syrie », a martelé le roi, avant d’ajouter, laissant peu d’ambiguïté quant à son parti-pris en faveur de l’ouverture du pays aux migrants : « Notre chez-soi est là où notre cœur est. Il ne peut pas toujours se situer à l’intérieur des frontières d’un pays. »
Toutefois, pour Erna Solberg, Première ministre de ce beau pays aux Fjords majestueux, accueil n’est pas synonyme de « Dolce Far Niente » chez les ex-Vikings. Et la Cheffe du gouvernement norvégien vient de le répéter dans un discours qui barre la route aux fainéants se servant de la religion comme prétexte bien pratique pour refuser un travail.
« Les migrants doivent travailler pour vivre de manière digne, dans notre pays. La Norvège n’accordera aucune aide financière à quiconque refusera un emploi pour des motifs religieux. »
Erna Solberg s’exprime très clairement et ne laisse aucune place à la confusion.
« Si la Norvège est prête à intégrer des réfugiés et des migrants, ces derniers ne doivent pas croire qu’Oslo changera sa façon de vivre. »
Et d’ajouter sur Twitter :
« Ici nous mangeons du porc, nous buvons de l’alcool et nous sortons dans les rue le visage découvert. Celui qui souhaite migrer en Norvège doit savoir qu’il devra respecter nos lois et nos coutumes. »
L’argument choc, toutefois, fut donné lors d’une interview récente.
« Je ne pense pas qu’il y ait quoi que ce soit de compliqué dans l’analyse de la question religieuse. Quand on décide de migrer vers un autre pays, mais aussi en général, on doit travailler pour vivre. On ne peut refuser une proposition de travail, un emploi dans un restaurant, sous prétexte que là on sert du porc et de l’alcool aux clients. Dès lors, a conclu Solberg, on ne peut s’imaginer que la société norvégienne peut payer des allocations sociales à ceux qui refusent de travailler pour des motifs religieux. »
Erna Solberg, membre influente du parti conservateur norvégien, est cheffe de l’exécutif depuis octobre 2013. En février, elle s’était énergiquement opposée à l’arrivée pratiquement indiscriminée de migrants, de réfugiés et de demandeurs d’asile de nombreux pays du tiers monde.
« La Norvège est prête à abandonner la Convention de Genève si la Suède s’effondre sous le poids de l’immigration afro-musulmane. La frontière sera fermée par la force et les migrants clandestins seront repoussés sans exception. Nous sommes préparés pour le pire » avait déclaré le Premier ministre Erna Solberg.
Elle s’était aussi clairement exprimée sur CNN à ce sujet :
« Il y a de nombreuses personnes qui arrivent en Europe de zones qui ne sont pas précisément des théâtres de guerre, et nous demandons qu’elles soient renvoyées. La Norvège veut lancer un signal fort et incontestable aux pays comme le Bangladesh, le Pakistan et l’Afghanistan : l’Europe n’est pas un continent à entrée libre. »
Hélas oui, Madame Solberg, pour les fossoyeurs de l’Europe à la tête de l’UE, soutenue par l’ONU, organisation de plus en plus sous influence islamique, notre continent doit rester un « continent à entrée libre », jusqu’à ce que les peuples autochtones se soient complètement dilués dans l’Europe multiculturelle de rêve, voulue et orchestrée par les criminels idéologues utopistes d’Eurabia. Être blanc et chrétien en Europe, c’est laid, dépassé et offensant ! L’Européen du futur sera métissé et musulman !
Bye Bye !
Et ce n’est pas le futur secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, qui suggérera le contraire…
Il s’est déjà clairement exprimé en matière de migrations, mardi 22 novembre, à l’occasion du sommet « Europe vision Summit » organisé à Lisbonne par huit laboratoires d’idées européens. L’ancien haut-commissaire aux réfugiés de l’ONU n’a pas mâché ses mots.
Il a insisté sur l’importance de « bâtir des frontières sensibles au besoin de protection des personnes », et de « partager le fardeau » de la crise migratoire. Pour lui, « il faut convaincre que la migration est inévitable et que les sociétés multiethniques, multiculturelles, multi-religieuses qui se construisent sont une richesse ». Il a également mis en garde contre la montée du populisme !
Ah, ce populisme qui effraye tellement nos bien pensants, ce perturbateur du merveilleux projet destructeur de nos nations, Eurabia, ce grain de sel qui empêchera le crime parfait, celui du suicide planifié des peuples européens par une « élite » atteinte d’une haine schizophrénique de soi, de sa culture, de son histoire, de ses racines, de sa foi.
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Source : « Nessun aiuto ai migranti che rifiutano lavoro per motivi religiosi »
Expulser ces parasites qui conspirent afin de détruire notre civilisation est une évidence. Les Droits de l’Homme doivent être mis entre parenthèses, au profit d’expulsions massives et unilatérales. C’est le prix à payer si l’on ne veut pas qu’une troisième guerre mondiale ne commence en Europe.
C’est une réaction saine et normale. Espérons qu’ils appliqueront ce qu’ils déclarent, ce qui n’est pas, au sein de l’UE, toujours le cas.