Christian Hofer: A comparer avec ce Français qui a été condamné à 6 mois de prison avec sursis pour avoir déposé des lardons devant une mosquée. Visiblement, la France n'a pas retenu les leçons et la "justice" sait se montrer laxiste au possible lorsqu'il s'agit de certaines ethnies, même devant des menaces de mort très claires.
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A Bayonne, un homme a été remis en liberté après avoir écopé d'un mois de prison avec sursis et de 70 heures de travaux d'intérêt général. Pas de bracelet électronique non plus pour ce sans-domicile fixe. Le 27 juillet, dans le bus, il avait lancé, parfaitement sobre : "À Nice, ce n'est pas 200 à 300 morts qu'il fallait, mais 2000 à 3000 Français qu'il fallait égorger. Je vais les égorger moi-même".
Des propos de "déséquilibré" mais des propos "extrêmement graves" selon le parquet, qui demandait 18 mois de prison dont 10 avec sursis. Au lieu de cela, l'homme d'origine guadeloupéenne est donc remis en liberté, malgré son casier judiciaire bien rempli : cinq condamnations pour des faits de violence et port d'arme notamment.
Bien vu Le Taz ! cf “La révolution n’est pas terminée” (Editions du Seuil 2008 ) de l’ex-Sinistre de la rééducation nationale Vincent Peillon, interchangeable au demeurant d’avec son homologue des Ripouxpblicains , Luc Châtel, ci-devant “grand-praître ” du gender à l’école.
Il faut bien lui laisser faire le travail pour lequel on l’a laissé entrer en France, sinon cela n’a aucun sens ! Pour une fois, le gouvernement est cohérent.