Les tueurs du vendredi 13 novembre 2015 sont installés sous les ors de la république.
Par Hildegard von Hessen am Rhein
C’est intentionnellement que désormais j’écris république avec un « r » minuscule. En effet, lorsqu’il nous est révélé par le parlementaire belge, Georges Dallemagne, qu’ils se trouvent sous les ors de la république, les tueurs du 13 novembre, non, nous n’avons plus de république, plus d’honneur et nous avons la guerre.
Au moment du carnage, nous révèle le parlementaire belge sur RTL Belgique, la gendarmerie était sur place, ainsi que 6 soldats de la force « Sentinelle » qui assistaient à la tuerie sans bouger. Dalemagne affirme que la réglementation de la force « Sentinelle » ne prévoyait que leur autoprotection. J’ajoute que tous les soldats de cette force que vous voyez patrouiller dans Paris, armés de leur fusil d’assaut Famas sont vides de munitions … Ils ne sont que des pantins destinés à rassurer le populo, loin d’être en état de nous protéger :
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"Au moment de la tuerie, il y avait 6 militaires postés devant le Bataclan"
Un échange « badin », lors de la commission d’enquête à l’Assemblée Nationale confirme les allégations du parlementaire belge. Je n’imagine pas l’effarement des familles des victimes du Bataclan, du Carillon, du Petit Cambodge, de Casa Nostra, du Café Bonne Bière, de la Belle Equipe et du Comptoir Voltaire. 413 blessés, dont 99 grièvement. Le roi des bisounours qui déclarait : « Vous n’aurez pas ma haine » s’adressant aux islamistes, déclarera-t-il aux caciques, vrais responsables de la mort de sa compagne cette même phrase ? Est-il prêt à tendre une seconde fois sa très chrétienne autre joue ?
Voilà comment l’Obs tente de justifier l’injustifiable ; « La doctrine qui encadre l’action des militaires sur le sol français est très stricte. Elle prévoit notamment que les militaires ne peuvent agir dans l’hexagone que sous l’autorité policière. Par ailleurs, aucune unité mixte, composée à la fois de policiers et de militaires, ne peut passer à l’action ensemble. Il était donc impensable, pour les militaires de la force Sentinelle présents ce soir là dans le 11ème arrondissement de Paris, de pénétrer dans le Bataclan avant les hommes de la BRI ou encore à leurs côtés. » Et l’Obs de continuer : « Outre, ces attaques islamiques ont révélé des vieilles rivalités parmi les forces de sécurité, qui se livrent en coulisses un conflit larvé, dont l’enjeu est leur territoire respectif. »
Jusqu’à preuve du contraire, c’est le chef de l’Etat qui est le chef des armées, qui a pour premier devoir de nous protéger. Le massacre du vendredi 13 novembre 2015 a démontré qu’il est indigne de la fonction, pire, il ambitionne de se représenter. Un immense dégoût me submerge, plus encore à la pensée qu’il n’y a pas d’opposition politique pour dénoncer l’ignominie du vendredi 13 novembre 2015 et davantage encore, mon écoeurement s’adresse aux français, lobotomisés par les jeux et les vacances, indifférents, alors qu’ils devraient aller déloger cette fange qui s’incruste sous les ors de la république.
Hildegard von Hessen am Rhein
Non, je ne crois pas que des militaires se trouvaient devant le Bataclan le 13 novembre, sauf mieux informé et tout en sachant que cette salle de concert, propriété d’israélites pro-Israël avaient été menacées par des “beurs” pro palestiniens.
En revanche, Boulevard Richard Lenoir, rue Amelot ou autres sites très proches du Bataclan sont des écoles, commerces ou autres lieux communautaires où se postèrent policiers ou (et) militaires dès le lendemain du massacre de Charlie Hebdo dans ce même quartier !
Certains ont sorti des théories assez fantaisistes après ces attentats, je n’y ai jamais cru mais ils ont été commis par des jeunes musulmans radicaux tous repris de justice, trafiquants de drogue ou autres, bien connus de la police et facile à manipuler, sans parler de “complot”.
CE SONT DES FAITS !
“Devant” le Bataclan?
Cela a-t-il été vérifié?
Certes, de drôles de choses ont lieu ces jours en Hollandie, mais, là, est-on sûr de cette nouvelle?
Cas type de non assistance à personnes en danger et que nos 6 pleutres ne se cachent pas derrière l’absence d’ordres ; c’est choquant ; il faut saisir la justice d’une plainte pénale et qu’une enquête judiciaire ( et non pas parlementaire) permette d’établir quelle autorité était habilitée à donner des ordres ou celle qui a empêché toute intervention. Ces médiocres ont même refusé de fournir leur arme à un policier de la BAC manifestement plus courageux ou humain. Quant à ces 6 sentinelles (ou plutôt ces poteaux) payées à surveiller pour rien, elles doivent être sanctionnés administrativement et être révoquées de l’armée. Les militaires ne sont pas des robots et doivent conserver une part d’humanité, comme on l’enseigne en droit pénal, être des baïonnettes intelligentes. Lorsque la justice vient juger les autorités, sachez que d’une part leurs instances les lâchent et que d’autre part le prétexte facile de l’absence d’ordre ne suffit pas à justifier leur incurie.
“la gendarmerie était sur place, ainsi que 6 soldats de la force « Sentinelle » qui assistaient à la tuerie sans bouger.”
Comment peut-on écrire pareille fadaise ? Une insulte gigantesque qui démontre encore une fois les pulsions incontrôlées de nombreux intervenants.
Que faites vous donc personnellement pour lutter contre notre ennemi ? Surement pas grand chose, pire même, vous mettez de l’huile sur le feu en discréditant nos forces armées…
Il serait utile de bien réfléchir AVANT d’écrire de pareils logorrhées.
Juste une petite question ? Si les armes des militaires de l’opération sentinelle sont vides de toutes munition comment expliquez vous que certains d’entre eux se soient suicidés avec leurs armes de dotation ???? Les politiciens cherchent un lampiste pour camoufler leurs erreurs alors pourquoi pas l’armée qui ne se défendra pas faute de syndicat ?