Suisse. Asile: 10 ans après leur arrivée, seuls 25% des personnes admises travaillent

Faire travailler les requérants d’asile et réfugiés est devenu une priorité pour la Confédération.

Les chiffres sont accablants. Dix ans après leur arrivée en Suisse, seuls 25% des personnes admises provisoirement travaillent.

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Rappel: 

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15 commentaires

  1. Posté par Marie le

    @ un observateur, je suis entièrement d’accord avec vous. Je me rends aussi chaque année aux USA, ces derniers temps plus particulièrement à NY, j’observe le changement… à mes yeux ce n’est plus une ville majoritairement blanche, un noir dans un quartier blanc n’a aucun risque, le contraire est dangereux, je dirais presque impossible…

  2. Posté par un observateur le

    A Conrad Hausman…
    J’ai la même inquiétude…
    Visitant les Usa régulièrement , j’ai été frappé par la séparation entre noirs et blancs. Beaucoup de villes comme Jacksonville ( Floride), Fergusson etc.. que je connais bien, où il est stupéfiant de voir un processus qui peut durer 30 ans …la ville au départ à 99% blanche devient à 100% noire . Les blancs quittent les quartiers qui se dégradent ( délinquance, criminalité, drogue, insécurité etc…) pour aller dans des quartiers plus chers. Au bout de quelques années, ils doivent encore déménager pour aller vivre dans des quartiers résidentiels pavillonaires sécurisés loin des villes.
    C’est stupéfiant !!!!! Jacksonville comme tant de villes deviennent black et les blancs quittent la ville pour vivrent entre eux à la campagne.
    Si les Américains n’ont pas réussi a vivre depuis plusieurs siècles, en harmonie avec les populations noires Afro-Américaine, ferons nous mieux qu’eux le jour où les populations d’afrique noire qui sont en train de se déverser sur l’Europe atteindront un certain pourcentage par rapport aux populations Européennes ?
    Je pense que ce n’est qu’une question de temps et de nombre . Je pense aussi que les politiques le savent car j’ai lu quelques rapports très alarmants disant que dans l’immigration actuelle, c’est la population d’afrique noire qui augmente le plus. Le politiquement correct et la peur de ne plus étre réélu ( associations portant plainte pour racisme etc…contre tout politique qui oserai soulever le problème) fera que la situation ira à terme pour l’explosion.
    Quel dommage ! si on a le courage de limiter l’immigration afin qu’une minorité reste une minorité, les choses se passeront bien car il n’y aura pas de séparation, d’appartheid comme dirait Valls. Si personne n’a le courage parmis les politiques de prévenir, nous aurons la situation Américaine. Une société où les gens se séparent, une société violente, ségrégative, racial avec tous les problèmes que connaissent les Usa actuellement …sans solution.

  3. Posté par pierre frankenhauser le

    Mais qu’on dégage ces boulets et ces profiteurs de mon pays une fois pour toutes! Même s’il y avait suffisamment de boulot pour eux, la majorité d’entre eux se mettrait à l’assurance. Raus!

  4. Posté par Hérodote le

    Quand on invite ce genre de personnes, voilà qu’elle est le résultat. La solution s’appelle remigration.

  5. Posté par conrad.hausmann le

    Qui veut encore nous faire croire que ces Zouzous viennent en Suisse pour travailler ?A ce propos le Figaro et d’autres journaux nous parlent d’une éventuelles guerres des races aux USA…Mais personne n’a le courage d’admettre que cette éventuelle guerre pourrait se déclarer en Europe ou en Suisse. Pourtant c’est comme aux Stats les Africains sont nombreux et sont au chômage et vont certainement nous accuser un jour de pratiquer la discrimination….Puis un jour il aura des émeutes… Le résultat est facile à imaginer!

  6. Posté par hubert le

    S’intégrer,c’est un sacré boulot!Les seuls qui ont réussi à s’intégrer en Suisse sont nos voisins directs ou indirects du bon temps “lorsque qu’il y avait encore du travail pour tous,même pour les gens qui avaient des difficultés!Cette époque est terminée!Amen!C’est plus que de l’immigration sociale!A suivre…………

  7. Posté par Tommy le

    Et n’oubliez pas qu’un ” réfugié politique” est scotché au social pour des DECENNIES, à savoir pendant 60 ans s’il a débarqué à l’âge de 20 ans, soit nettement plus longtemps qu’un retraité qui a cotisé toute sa vie et se retrouve démuni durant ses dernières années de vie.
    Et de plus, il finira en EMS chez nous, ( home médicalisé pour nos voisins francais) , et vous devrez partager votre chambre avec des quérulents, incultes et agressifs, qui, bien sûr, verront leurs revendications exaucées avant les vôtres!
    Tout ceci au nom du ” Pchuuuut, pas d’amalgame! “

  8. Posté par Bilou le

    10 ans après… seuls 25% travaillent. L’asile accordé n’est donc pas provisoire, comme certains veulent le faire croire. Et les 75% restants sont entretenus par nos soins (mais tout cela, on le savait depuis longtemps…). Le foutage de g.. total, quoi !!!

  9. Posté par Chouette le

    La colère ne monte plus M. Hofer, elle a atteint sa limite du tolérable depuis les années 90 déjà!
    Vu la remarque de M. Berset, il serait peut-être temps que lui-même, les parlementaires actifs et retraités montrent enfin leur vrai grand coeur en contribuant, comme une bonne partie de la population, à une diminution de leurs revenus!
    Il serait également judicieux de revoir totalement les compétences du personnel administratif apte à accorder les différentes aides, car il semblerait qu’en matière de belles économies elles ne seraient pas anodines!

    “Pas d’argent pour les retraités”……c’est selon les priorités!

  10. Posté par bigjames le

    Et tous ces “requérants ” bénéficient également de nos soins médicaux et hôpitaux, sans participer à son financement, n’est-ce pas M. Berset !
    Tout ceci payé par le bon contribuable helvétique avec des primes maladies qui prennent chaque année l’ascenseur, et on se demande pourquoi ?
    Comment le peuple Suisse se laisse-t-il pareillement rouler dans la farine ?

  11. Posté par Chouette le

    Ce qui est vraiment accablant c’est que nos politiciens ne se rendent pas compte qu’il n’y a déjà pas de travail pour les Suisses, alors ne parlons même pas de requérants et migrants, dont une grande partie n’a même pas envie de travailler!
    C’est cependant certain que dans le secteur de “l’exploitation” de personnes les postes fusent autant pour les Suisses que pour les autres!

  12. Posté par Bussy le

    75 % de 35’000, c’est-à-dire plus de 26’000 personnes à 20’000.- par année, ce qui fait plus de 500 mios de charges.
    De plus 120’000 migrants en procédure d’asile, à 20’000.- par année (sans compter tous les frais induits…), ça fait 2.4 milliards.
    Donc pour ces deux catégories un peu moins de 3 milliards sans les frais induits (hausse de la criminalité par exemple).
    Et en plus, combien définitivement sortie de la procédure d’asile et à notre charge depuis leur arrivée, à certainement plus que 20’000 par année, ceci depuis des dizaines d’années pour certains ?
    Imaginez-vous tout le bien qu’on pourrait faire dans leurs pays d’origine avec cet argent, pour aider les vrais misérables qui ne peuvent fuir n’ayant rien pour payer les passeurs ?

  13. Posté par piche le

    c’est quand même fou que tous ces réfugiés “chances” pour la Suisse, ces ingénieurs, architectes, médecins ne trouvent pas de travail. je me demande quand même si en lieu et place des Nobel annoncés ce ne sont que des analphabètes…

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