Communiqué de presse / 28 juin 2016
ARGUMENTAIRE DU REFERENDUM :
● Oui à la famille naturelle avec une mère, un père et un (des) enfant(s)
Un enfant ne peut être conçu, conformément à la loi de la nature, que par un homme et une femme et ce, même s’il se considère comme appartenant aux deux genres. Les familles monoparentales et arc-en ciel ne sont pas voulues à l’origine comme telles, mais sont le résultat d’événements tragiques et douloureux. L’adoption de l’enfant d’un partenaire de même sexe consacre le principe d’une séparation d’avec au moins l’un des deux parents biologiques. Un droit de l’adoption fondé sur le principe de l’intérêt de l’enfant doit exclure toute adoption par un couple de même sexe.
● Oui au droit de l’enfant d’avoir une mère et à un père
Le nouveau droit rompt avec le principe selon lequel l’enfant adoptif a, lui aussi, le droit d’avoir une mère et un père, conformément à son origine naturelle. La nouvelle loi porte ainsi atteinte au bien de l’enfant et viole l’art. 11 de la constitution fédérale qui le garantit. L’adoption de l’enfant du partenaire enregistré consacre dans une certaine mesure le risque que l’un des parents de l’enfant soit éradiqué de la vie de ce dernier. Après un divorce éventuel de ses parents biologiques, l’enfant est donc exposé à vivre une séparation plus radicale encore d’avec son autre parent.
● Oui à la différence de la mère et du père comme condition naturelle
Il est prouvé que le développement de l’enfant est particulièrement favorisé quand il peut s’identifier par rapport à sa mère et à son père. L’enfant élevé dans une famille monoparentale peut souffrir du manque tragique de père ou de mère et chercher à le compenser de manière positive. Si l’on affirme que la famille composée de deux parents de même sexe est une famille complète simplement d’une forme différente, le manque (ou la perte) du père ou de la mère peut influencer négativement le développement psychosocial de l’enfant.
● Oui au lien avec la mère biologique et le père biologique
La nouvelle loi favorise la dissimulation de l’identité d’un des parents. Elle encourage le don d’ovules et le trafic indigne des mères porteuses à l’étranger. Elle trace en outre une voie royale à la reconnaissance, encore refusée par le Tribunal Fédéral en mai 2015, d’un enfant « né sans mère mais de deux pères ». Le recours à une mère porteuse représente une vente d’enfants et doit être combattu conformément à l’art. 35 de la Convention de l’ONU sur les droits de l’enfant. Selon l’art. 7 de la même convention, l’enfant a, dans la mesure du possible, « le droit de connaître ses parents et d’être élevé par eux ».
Référendum contre la révision du droit de l’adoption – Début de la récolte de signatures
Avec la publication de la nouvelle loi sur l'adoption dans la feuille fédérale débute aujourd'hui le délai référendaire. Le comité interpartis et non confessionnel « Non à ce droit de l'adoption » lance aujourd’hui la récolte de signatures avec les arguments suivants :
Oui à la famille naturelle avec une mère, un père et un (des) enfant(s)
Une femme et un homme sont nécessaires à la conception naturelle d’un enfant. Les personnes de même sexe doivent aussi leur vie à une mère biologique et un père biologique.
Oui au droit de l’enfant à une mère et à un père
La loi viole le principe du droit qu’ont les enfants à avoir également un père et une mère, car cela traduit leur origine naturelle. Ainsi cela est contre le bien de l’enfant et l’article 11 de la Constitution Fédérale.
Oui à la différence de la mère et du père en tant que condition naturelle
Il est prouvé, que les enfants ont besoin d’un père et d’une mère pour un développement et identité idéale.
Oui au lien avec la mère biologique et le père biologique
La modification de la loi permet la suppression de la part d‘identité d‘un des parents. Elle offre la possibilité du don d‘ovocytes et est un encouragement à la vente inhumain de mères porteuses étrangères. De surcroît, le Tribunal Fédéral a refusé en mai 2015 d‘ouvrir la voie à la reconnaissance de „deux pères/aucune mère“.
Vous pouvez dès à présent télécharger les feuilles de signatures sur le site www.non-ce-droit-
adoption.ch ou les commander auprès de notre secrétariat, ainsi que d'autres moyens de documentation écrite.
Le comité est convaincu que ces investissements pour le bien de l'enfant et de la société dans son ensemble en valent la peine.
Jean-Philippe Gay-Fraret, Coprésident
Fritz Kohler, Coprésident
Pressesprecherin: Lisa Leisi
http://www.lenouvelliste.ch/articles/valais/canton/l-udc-valaisanne-monte-au-front-contre-l-adoption-pour-les-couples-de-meme-sexe-560637
La nature a très bien fait les choses : un homme et une femme peuvent procréer ensemble. Non par personnes interposées et non par adoption etc. La loi doit consolider le fait que seul un homme et une femme peuvent créer une famille. C’est dénaturer la nature que de vouloir adopter l’enfant du concubin etc. Sans parler des adoptés qui n’ont jamais connu leurs vrais parents biologiques et qui, malgré leurs recherches, ne sont pas parvenus à les retrouver parce qu’on leur cache la vérité. Chaque bébé a le droit de rester dans son pays ou continent d’origine où il sera “chez lui”. Combien y a-t-il déjà eu de témoignages d’enfants adoptés qui ne se sentent chez eux ni en Suisse ni en Asie ou en Afrique, car ils ont été “importés” ? Qu’on aide les pays sur place, mais qu’on n’autorise plus les gens à importer des enfants. Si on excluait l’avortement, il y aurait des enfants européens à adopter. Déjà dans les pays de l’est où il y a plein d’orphelinats mais où, à cause de l’orgueil du gouvernement, on ne veut pas l’admettre ni permettre aux autres pays d’europe de les adopter. Enfin, il faut rappeler que chaque humain a un destin : tel ou tel aura des enfants, tel autre n’en aura pas. Mais on ne veut plus accepter cette notion de destin, donc on cherche constamment à contourner cela. Il y a encore les couples qui font et refont des fécondations in vitro. Quand enfin enfin cela réussit (et pas toujours) que font-ils ? Ils se dépêchent de mettre l’enfant en crèche ! Donc tout cela était juste pour la frime : ils voulaient être parents comme tout le monde, mais aucun sacrifice ne se fait pour l’enfant si longtemps attendu.
Il y a une grave confusion dans l’argumentaire du référendum, voire une concession à l’homosexualisation de la société prônée par les militants LGBT et autres homosexualistes:
un couple d’homosexuels ne peut pas fonder ou former une famille, car une famille est une structure sociale au sein de laquelle des enfants peuvent être conçus (par le processus biologique millénaire de la sexualité naturelle) par les parents de ladite famille. Un couple homosexuel peut tout au plus procurer un foyer (qui sera défectueux) à un enfant, mais jamais ce foyer ne sera une famille. La famille est à distinguer rigoureusement du foyer.
NB: L’homosexualisation de la société va au-delà des revendications légitimes et raisonnables des homosexuels: ceux qui militent pour elle visent à une transformation de la société par la production d’êtres dont la sexualité serait indifférenciée, serait réduite au “même” (le mot grec ‘homo’ veut dire ‘même’).
La promotion de plus en plus aggressive de foyers homosexuels dans toute l’Europe occidentale par les apparatchiks mondialistes de l’Union européenne est une des stratégies mises en oeuvre pour réaliser cette homosexualisation. Il y en a d’autres, telle la production d’individus “trans-genres” qui bénéficie aussi d’encouragements de toute une série de gouvernants et de groupes de pression (on remarquera en passant que le “maquillage” trans-genre ne modifie aucunement la structure chromosomique des individus soumis à ces procédures chirurgicales et autres: ces êtres demeurent des hommes et des femmes au sens biologique du terme). Une autre stratégie s’observe par exemple en Allemagne avec la mise en circulation dans les écoles d’un manuel de théorie et de pratique sodomistes: il s’agit d’une tentative de généralisation de la sodomie afin de dresser la jeunesse vers le nouvel Etat homosexualiste. Le stratégie la plus radicale se situera au niveau des interventions transhumanistes, si nous n’intervenons pas à temps.