Les « vieux », principal défi financier de la Suisse. (Si seulement !)

Les «vieux», principal défi financier de la Suisse

Finances publiques – Les 4 enseignements à tirer du document sur les finances publiques à long terme que Berne vient d'éditer.

Résumé brutalement, les vieux sont le principal risque financier que doit affronter la Suisse ces prochaines années. C’est en tout cas la conclusion à laquelle on arrive en refermant le fascicule de 80 pages, édité par le Département fédéral des finances.

Ce document, qui vient de sortir, n’émane pas d’un obscur service de la Confédération. Il a reçu l’imprimatur du nouveau ministre des Finances, Ueli Maurer. Ce dernier annonce d’emblée la couleur dans la préface: «Le vieillissement croissant de la population va peser considérablement sur les budgets de l’Etat au cours des trente prochaines années.» Voici les 4 principaux défis que pose l’évolution démographique jusqu’en 2045.

Mélange explosif du baby-boom et de l’espérance de vie (…)

Un âge de départ à la retraite jusqu’à 69 ans (…)

Des dépenses de santé en forte hausse (…)

Confédération bien placée, cantons à la peine (…)

Source : 24 heures

Publication «Perspectives à long terme des finances publiques en Suisse»

 

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Cenator: Ueli Maurer vit sur un petit nuage. Il est persuadé que le nombre des migrants va baisser à 30'000 et même à 10'000. En plus, il croit que le vieillissement de la population sera notre plus gros souci. Que le prophète parle en lui… Mais, hélas, il est à prévoir que ce sera le cadet de nos soucis !

 

4 commentaires

  1. Posté par RealrecognizeReal le

    La meilleure solution serait de limiter fortement l’immigration, en acceptant que ce que l’économie a besoin (pas de parasites sociaux qui ne créent aucune richesse) puis de favoriser une politique nataliste pour les Suisses. Ainsi notre population sera plus homogène, le niveau remontera dans nos écoles, la criminalité baissera, on se sentira de nouveau chez nous : plus de déprime et de crise identitaires,…etc que du bonheur!

  2. Posté par conrad.hausmann le

    Pour Berne et notre belle presse “libre et indépendante” c’est simple : Les vieux c’est le passé mais les envahisseurs et réfugiés économiques…c’est l’avenir! Les vieux ça coute, mais les migrants ça rapporte. Chaque jour il y a des articles sur la crise de l ‘AVS…et quasi rien sur le prix des zouzous à casquettes qui se promènent toute la sainte journée grace à l’Hospice des générosités…..

  3. Posté par Jack le

    De toute façon le système actuel de la retraite est une utopie. Le système est à revoir, dans le sens qu’il faut changer de paradigme, parce que ce n’est qu’une fuite en avant que l’on nous propose. Et il faudra toujours plus de monde, pour faire fonctionner le système actuel. Déjà maintenant on s’aperçoit que la Suisse n’a pas la place pour beaucoup plus de monde, et avec ce que l’on nous propose, pas loin de 11 millions d’habitant en 2045, cela veut dire qu’il en faudra 14-15 millions pour 2070, et ainsi de suite.
    Non Non, c’est tout le système qu’il faut revoir, et la première pierre à poser, c’est de dégraisser, et revenir à moins de 5 millions d’habitant à l’horizon 2060-70, pour commencer. Parce que de toute façon, le reste de la planète y arrivera à un moment ou à un autre, puisque que nous sommes sur une planète finie, dans le sens que l’on ne peut pas l’agrandir, et que les ressources sont finie et ne peuvent subvenir à plus de 1 voir 2 millards d’habitants qui vivent bien, et pas comme à l’heure actuel, ou des millions de gens souffrent, crèvent de faim, se font la guerre souvent par manque de ressource, etc, etc… QUEL INTERET !!! CE N’EST PAS UNE REVOLUTION QU’IL FAUT ENGAGER, MAIS UNE EVOLUTION DE LA CONSCIENCE DE L’HOMME, ET DE SA PRESENCE SUR CETTE PLANETE.

  4. Posté par Tommy le

    En effet, c’est sans compter avec la démographie explosive des migrants, les nouveaux arrivants n’étant pas à comparer avec ceux que nous avons accueillis il y a plusieurs dizaines d’années .
    Assistanat à vie, criminalité , cours de ” formation” dont ils n’ont rien à battre, psychologues et autre spécialistes du vivre-ensemble.

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