Dans son éditorial du journal le Matin dimanche du 14 février la rédactrice en chef illustre une fois de plus la profondeur de ses analyses qui indiquent que son poste est plus que mérité.
Il y est question de la recherche des nouveaux présidents par plusieurs partis politiques dits bourgeois : UDC, PLR et PDC.
Du haut de son évidente supériorité, elle parle des refus de beaucoup de personnalités d’accepter un tel poste et souligne que si « l’on se penche sur les candidats qui restent …ça fait flop ». « Ne sont plus en lice que des gens qu’on connaît mal ou peu…avec des profils toujours à la marge du parti, et des parcours sans relief. Si braves qu’ils vous fichent une panne de désir » !
Rien que ce respect-là pour ceux qui sont prêts à se dévouer pour leur parti ! Mais qu’ont-ils donc tous ces candidats qui déplaisent à la rédactrice en chef ? J’ai bien lu : rédactrice en chef. Pas assez « moderne ». C’est quoi être moderne ? En l’occurrence ce serait de vouloir changer le monde ! En réalité beaucoup sont plus à droite que les journalistes.
Le tournant politique actuel vers la droite se reflète tout simplement dans ces candidatures. Quelle horreur pour des journalistes bien-pensants qui aimeraient retrouver des clones d’eux-mêmes partout.
Imaginons qu’un de ces candidas fasse partie de la minorité très active, en agitations et revendications permanentes, des LGBT, relayés en permanence par les médias. Il deviendrait à coup sûr le candidat idéal, porté aux nues par le monde médiatique qui ne se rend pas compte que le public en a plus qu’assez de ce parti pris idéologique imposé de jour en jour et qui n’est idéalisé plus que par ce monde médiatique, de plus en plus hors sol, coupé des réalités nouvelles mais qui veut continuer à imposer sa vision du monde.
Le décalage est en effet aussi important qu’entre les « élites » et la population. Espérons que ce fossé s’illustrera une nouvelle fois lors des votations du 28.2.2016. Si cela devait être le cas, bien des médias continueront néanmoins à nous imposer leur vision dépassée du monde et à fouetter le peuple qui ne vote pas comme l’aimerait la nébuleuse enfumée des médias.
L’image de la famille encore. Etrangement on retrouve ici la même moquerie envers la famille traditionnelle que dans l’univers LGBT qui pense qu’un mariage entre homosexuels est de même nature que le vrai mariage entre un homme et une femme. Oui nous défendons une image de la famille traditionnelle et pointons l’inacceptable moquerie et volonté de détruire la famille qui seule en est une. Ce qui n’est pas une famille doit être appelé autrement.
Ainsi, les candidats désirés par le monde médiatique mais qui refusent et qui invoquent la famille sont-ils moqués et ridiculisés : « Les regains de passion pour la vie de famille toujours aussi amusants : c’est fou ce qu’on se souvient soudain qu’on a une épouse et des enfants lorsque ça nous arrange ».
Ne retrouve-t-on pas là un parallèle avec l’exigence des homosexuels de se marier comme les hétérosexuels, de former le même type de famille, tout en dénigrant cette famille traditionnelle ? Cette vision gauchisante, bien-pensante, « moderne » semble avoir affecté un monde bien plus large que les premiers concernés.
Au final, où sont les nullités ? Chez les candidats-présidents qui ne plaisent pas au monde médiatique où chez les journalistes eux-mêmes ? Je vais chercher la réponse dans le dictionnaire « Le Journalisme pour les nuls », s’il a déjà été écrit.
Quelle que soit la réponse, il faut espérer que le monopole du journal Le Matin Dimanche (le dimanche étant en plus un jour de grande lecture, lecture est peut-être un grand mot) trouve enfin un concurrent.
En attendant, il y a quand même un remède pour ne pas mourir idiot, journalistiquement parlant s’entend, les sites de Réinformation !
Uli Windisch, 15 février2016
Le lavage de cervau gauchiste commence tôt le matin…..
Ce matin la RTS dans Le goût des autres de Pierre-Etienne Joye montre la haine du connard de service pour notre armée et surtout des trouffions, ces crétins à qui on donne de la merde à manger. Ce petit journaleux de caniveau payé par nos soins insulte des jeunes hommes qui font leur devoir. Assez de payer cette racaille gauchiste.
Qui sont les nullités ?? Les deux mon commandant !!
“Ce qui n’est pas une famille doit être appelé autrement”.
Je le crois aussi, Monsieur.
Il m’apparaît deux possibilités:
—ou l’on se montre inventif et trouve un néologisme pour nommer l’innommable fausse famille.
—ou bien l’on profite de la période de carnaval ( que nous vivons, présentement), avec toutes les licences que cela suppose, les inversions: permises, pour autoriser , pendant quelques jours, l’expression des fantasmes et aspirations LGBT.
Le fait que vous soulignez, Monsieur, que la presse vendue aux lubies et lobbys progressistes , ne se vende que de plus en plus mal , (tant en Suisse qu’en France, du reste) est un signe très encourageant de la santé mentale de la population qui, majoritairement, continue à croire, platement, que la famille traditionnelle :– où mari et femme donnent naissance à des enfants, par amour—, ce modèle reste le vrai, l’enviable.
Toute imitation est sans valeur: le simili n’est pas du cuir; le plexiglas n’est pas du verre; et les strass ne sont pas des diamants.
Le Matin: “Capsules à café virées des bureaux”
Consommation — Hambourg bannit les produits qui génèrent trop de déchets. En Suisse, pas d’interdiction. Par Pascale Bieri.”
La Suisse plonge dans le chômage, nos PME et notre industrie souffrent et que fait une journaliste bien grassouillette du groupe milliardaire Tamedia elle veut détruire encore notre industrie, rien que ça!
Madame Pascale Bieri, faire autant de déchets papiers, déboiser les forêts topicales pour vous permettres d’écrire de telles idioties est proprement scandaleux. Quand allez-vous être, comme vous dite, virée Madame? En plus du papier que vous salissez, vous nous pompez l’air.
Vous me donnez l’envie de boire un petit .expresso bien de chez nous à votre santé “what else!”.
Cette pimprenelle devrait engager certains journalistes de Bilan nostalgiques de la future-ex-UE. Celui ferait l’affaire. Avec ces analyses “très pointues” sur l’UE et les causes de sa décente aux enfers:
http://www.bilan.ch/alain-campiotti/affaires-exterieures/paisible-suicide-de-leurope
il paraît que le nivellement par le bas est l’un des buts visé par la manipulation des masses…..
https://www.youtube.com/watch?v=dNGF2LDqMcc
“c’est fou ce qu’on se souvient soudain qu’on a une épouse et des enfants lorsque ça nous arrange”
Déclaration extravagante, éminemment la projection de son inconscient ?
La seule fois que cette gourde n’a pas été pistonnée mais a été soumise au jugement des lecteurs, lors de la création du journal Saturne, elle s’est cassée la figure. Et elle a un clone, militante socialiste, co-rédactrice en chef de l’Hebdo (fonction que la pistonnée en question a déjà occupée). Le pouvoir aux médiocres, rappel :
http://lesobservateurs.ch/2016/02/07/en-politique-comme-dans-les-entreprises-les-mediocres-ont-pris-le-pouvoir/
…avec des profils toujours à la marge du parti, et des parcours sans relief. Si braves qu’ils vous fichent une panne de désir .
Madame qui écrit cela a fait tout son parcours dans la droite ligne du pseudo-journalisme bien-pensant, et compte tenu de son gros pétard elle ne manque pas de relief. Vous avez dit panne de désir ?!?
Personnellement, cela fait un bail que je n’ai ni lu, ni acheté le moindre canard quotidien fut-il dominical. Je ne m’en porte pas plus mal.
Si chacun boycottait vraiment ces torchons quelques mois, il auraient vite fait de tirer la langue.
Et si les annonceurs pouvaient aussi sentir une chute de popularité lorsqu’ils passent des pubs dans ces merdias, ce serait magnifique.
Une fois de plus je regrette qu’en Suisse romande il n y a que ce torchon comme lecture de dimanche, qui empoisonne le lecteur romand faute d’alternative. S’il y avait, comme en Suisse alémanique, plusieurs journaux dominicaux, AD ne ferait plus le poids avec sa plume arrogante et méprisante. On la croyait définitivement cachée en Valais avec son magazine Saturne, qui était un échec total. C’est une femme frustrée qui n’a pas sa place en tant que rédactrice en chef et devrait chercher une autre occupation où elle ferait moins de dégât.