L'ONG publie un rapport pointant une disproportion des moyens policiers employés par rapport aux résultats obtenus, d'autant qu'ont été majoritairement visés des musulmans, alimentant le sentiment d'exclusion qu'ils peuvent ressentir.
L’état d’urgence «a bouleversé des centaines de vies», dénonce ce jeudi Amnesty International France, qui demande aux parlementaires de ne pas prolonger les mesures prises après les attentats du 13 novembre.
L’état d’urgence, décrété dans la foulée des attentats parisiens, renforce les pouvoirs de la police et permet les assignations à résidence et perquisitions administratives de jour comme de nuit, ou l’interdiction de rassemblements. En deux mois, plus de 3 000 perquisitions ont été conduites, 400 personnes interpellées et 400 assignées à résidence, selon les chiffres du ministère de l’Intérieur.
Pour Amnesty, ces «mesures d’urgence brutales, notamment des perquisitions de nuit et des arrêtés d’assignation à résidence, bafouent les droits de centaines d’hommes, de femmes et d’enfants, qui en ressortent traumatisés et stigmatisés».
«Usage excessif de la force»
Dans le cadre d’un rapport publié ce jeudi, l’ONG s’est entretenue avec 60 personnes dont «la majorité a déclaré que des mesures très sévères avaient été appliquées, avec très peu, voire aucune explication à la clé, et parfois un usage excessif de la force». Certaines ont aussi confié à l’ONG «que la stigmatisation liée aux perquisitions leur avait fait perdre leur travail».
«Des pouvoirs exécutifs étendus, assortis de très peu de contrôles sur leur application, ont causé toute une série de violations des droits humains» en France, déplore dans le rapport de John Dalhuisen, directeur du programme Europe et Asie centrale d’Amnesty International. Or, ces mesures «n’ont récolté que très peu de résultats concrets, ce qui pose la question de (leur) proportionnalité», relève l’ONG.
C’est le port du voile qui est contraire aux droits humains
Amnésie internationale ne se soucie pas du sort des Francais vivant en zone islamisée.
Il est vrai que le fait de défendre des non-bronzés n’est pas très porteur.
Mieux vaut se montrer choqué par le sort de migrants agressifs et incultes qui aboient aux portes de l’Europe.
Chers ami, je dois faire mon COMING OUT moi aussi.
J’ai décidé de ne plus avoir honte, de ne plus me cacher, de ne plus tromper mes connaissances, ma famille, mes amis, mes collègues … et je vais vous l’avouer maintenant :
JE SUIS AMNESTYPHOBE ET FIER DE L’ÊTRE !
Oui ! Je suis suis victime d’une Amnestyphobie incurable, au dernier degré, et je n’ai aucune envie de me soigner !
Qui a dit bienvenue au club ? 😉
Une ONG qui s’implique dans la justice ferait bien de s’abstenir de toute critique sur la façon dont les européens veulent se protéger de certains sauvages dignes des hordes de Wisigoths.
De toute façon, Amnesty a perdu toute crédibilité, vendus qu’ils sont à tous les plus gros pourris de la terre.
Un ange passe! AI n’est plus du tout crédible et personne ne l’écoute et c’est bien ainsi. Il ne faut surtout pas soutenir cette ONG calamiteuse.
Amnesty peut-elle enfin comprendre que des cultures/religions aux antipodes l’une de l’autre
ne peuvent se supporter que la partie “envahissante” n’est que minoritaire? Surtout que ces
réfugiés n’ont aucune aspiration à s’intégrer pas plus qu’à s’assimiler. Ce sont leurs coutumes
qui comptent et pas celles du pays d’accueil.
Amnesty : un machin fasciste payé par les monopoles.
Une vague islamophobe ? Mais tant mieux ! Nous ne voulons PAS de l’islam, cette superstition n’est pas compatible avec notre culture.
Un point c’est tout.