5 commentaires

1. Salamé est une bécasse, vous avez bien raison, Vautrin. Et cela en de répétées occasions…

2. Finkielkraut, c’est moins mauvais que le reste, mais l’ensemble est déjà tellement à la dérive!
   Il en bidouille du commerce l’animal, alors que le simple bon sens devrait ouvrir le chemin!
   Mais le bons sens est comme l’éducation, cela s’apprend en étant confronté à des réalités objectives et surtout contraignantes!

3. Finkielkraut dixit:
   « face à une nouvelle élite arrogante et barbare, elle incarne avec son respect des formes et son amour de la belle langue la résistance de la civilisation ».
   ‘elle’, c’est l’Académie française. Là, il a raison, tout à fait raison.
   Cela dit, les réserves que je pourrais énumérer à propos de ce personnage sont nombreuses.
   Il pourrait commencer par arrêter de passer son temps sur les plateaux de télévision et dans les studio de radio. Cela lui permettrait d’apprendre la logique moderne (oui, la logique mathématique de premier ordre, avec système de déduction naturelle et arbres de vérité) et la philosophie du langage dans le grand ouvrage d’Ernst Tugendhat “Vorlesungen zur Einführung in die sprachanalytische Philosophie” et dans son petit traité “Logisch-semantische Propädeutik”, rédigé en collaboration avec Ursula Wolf. Il a grand besoin de mettre un peu d’ordre dans sa “pensée” et d’apprendre à écrire et parler plus clairement et moins laborieusement. Et cetera.

4. Très bien : le philosophe académicien répond avec aplomb aux questions vicieuses de la bécasse Salamé. Qui pour sa part prétend que des gugusses comme Sartre, Derrida, faisaient “rayonner” la culture française. A-t-elle seulement lu les propos du sartreux défendant tous les totalitarismes de son temps, et son introduction au bouquin de Fanon ? Sartre était apprécié sur les campus gauchistes américains, pas de doute : ce n’est pas une preuve de “rayonnement” !

   Salamé traite d’entrée, comme si cela allait de soi, le philosophe de “néo-réac”. On sent la charge d’insulte. Mais ne voit-elle pas, cette étourdie, que les “réacs” sont ceux qui ont encore une idéologie issue du Cambrien industriel ? C’est-à-dire ceux qu’elle sert, les socialistes et autres gauchistes ?

   J’aime particulièrement ce qu’Alain Finkielkraut dit de la presse Pigasse (cul de bécasse). Le magnat tient bien en main les journaux de propagande socialiste, et le pire est que le contribuable est forcé d’offrir à cette presse débilitante des subventions par le biais d’un ministère qui est à la culture ce que Bedos est à l’esprit. Pigasse, c’est le genre d’hurluberlu qui allume sa télé dès qu’il voit un homme d’esprit.

   Bref : honneur à Alain Finkielkraut et vive l’Académie !

5. Il dit en peu de mots…et lesquels……. ce que d’autres ne sauraient dire en toutes leurs émissions réunies…
   A.Finkielkraut…merci d’être là ….. une verve et une philosophie admirables.