Vidéo du 26 novembre 2015
Moment de haute tension mercredi soir sur Paris Première. Daniel Cohn-Bendit était l'invité de "Zemmour et Naulleau", en prime. Le ton est monté d'un cran après une heure d'émission, quand le sujet des migrants a été abordé. "Tant qu'on n'aura pas réussi à faire comprendre à nos populations, allemandes, italiennes, etc, que nous avons besoin des uns des autres pour répondre aux problèmes d'aujourd'hui, ces problèmes seront beaucoup plus difficiles pour les Français", estime dans un premier temps le chroniqueur d'Europe 1. Zemmour l'interrompt : "C'est faux, c'est l'Europe qui a aggravé tous les problèmes depuis trente ans !".
"Le chantage à l'extermination des Juifs, c'est indigne"
Du "baratin" pour Dany le rouge, qui persiste : "Sur le problème des réfugiés, aucun pays seul n'arrivera à répondre d'une manière humanitaire à ce problème". Il rappelle 1938, "un chantage aux Juifs" pour Eric Zemmour. "1938, 37 pays doivent se poser la question, les Juifs allemands, qu'est-ce qu'on en fait ? Il n'y a pas qu'eux, il y a aussi les Juifs polonais, roumains, plusieurs millions, et là on a dit une chose, les Français, les Américains, on ne peut pas absorber tous les Juifs qui sont en déshérence ! Aujourd'hui, une solution humanitaire réhausse l'humanité et abaisse ceux qui ne la veulent pas", lâche Cohn-Bendit.
"Je préfère l'humanitaire à l'arrogance"
"Le chantage à l'extermination des Juifs, c'est indigne, renchérit Zemmour, ça fait quarante ans que ça marche comme ça, c'est du sentimentalisme à deux balles et ça ne marche pas". Eric Naulleau et Valérie Brochard, animatrice de l'émission, tentent alors de mettre fin au clash, sans succès. "Je préfère l'humanitaire à l'arrogance, c'est indigne", s'énerve Daniel Cohn-Bendit. Pour Zemmour, qui cite les 130 morts des attentats à Paris, c'est cette situation qui "mène le pays à la destruction et à la guerre".
Un peu plus tôt dans l'émission, Daniel Cohn-Bendit avait ironisé : "Quand Zemmour ou Marine Le Pen proposent quelque chose, je ne suis pas capable d'écouter. De toute façon, en France, il n'y a qu'Eric Zemmour qui pense !". puremedias.com vous propose de revoir un extrait de ce débat si vous l'avez raté.
“L’Allemagne en Automne” de Fassbinder…(années 80)…va se transformer en “Isis…l’hiver”
Pour une fois….le “Ta gueule” de Dany pourra s’adresser aux fous furieux..
Cohen Bendit ou Dany le rouge est toujours prisonnier de son idéologie gauchiste de 68 qui a détruit les murs porteurs de la nation Française.
Toute personne souhaiterait être un humaniste pour sauver tous les réfugiés du monde. Mais est-ce possible avec un moyen orient qui au nom de l’Islam interdit tout planing familial . Et cette Afrique noire qui, après avoir doublée depuis 1980 malgré le sida, la famine , les maladies et les nettoyages ethniques, est en train de doubler à nouveau pour aller vers les 2 milliards.
Même si on avait les capacités pour accueillir 3 milliards de réfugiés, comment on peut assimiler, intégrer et gérer les problèmes religieux, ethniques, culturels, communautaires etc…avec la violence des conflits qu’on aura importé chez nous.
Là Cohen ne fait pas le poids à côté du réalisme de Zemmour. Evidemment , ce sera la guerre civile et l’Europe sera détruite…
Ben, Cohn Bendit en fait d’arrogance, on fait pas mieux
J’aime beaucoup l’émission Zemmour et Naulleau mais franchement je ne peux pas comprendre comment on peut inviter cohn-bendit qui n’apporte rien à un débat, d’une bêtise incommensurable qui s’étouffe dans sa médiocrité, qui n’a que des arguments complètement cons et indéfendables c’est pourquoi il ne laisse jamais parler son interlocuteur. Et dire que cet individu était parlementaire européen jusqu’en 2014, il incarne parfaitement cette europe désastreuse.
Dany le Rouge avec sa rétorique dépassée, bien qu’aujourd’hui il n’est pas bienséant de parler de l’occupation outrancière des territoires palestiniens ou les mêmes allusions aux années sombres de la 2ème guerre par le chef rabbin de la colonie du Kiryat en Cisjordanie en rapport avec les morts du Bataclan.
Godwin sinon rien. Qu’on l’archive. Avant de le juger.