Depuis quelques jours, les polémiques s’intensifient. Avant-hier, on découvrait le langage scandaleux d’un requérant débouté (http://www.lesobservateurs.ch/2015/06/16/rencontre-avec-un-requerant-deboute-en-colere-au-foyer-des-tattes-vernier-geneve-le-15-juin-2015/). Hier, c’était une Turque qui extorquait plus de 700’000 francs à l’aide sociale (http://www.lesobservateurs.ch/2015/06/16/fraude-a-laide-sociale-de-727-000-frs-a-zurich/). Et, aujourd’hui, on me fait part, comme un secret de polichinelle, de nombreux cas d’abus: des séjours irrégulièrement - ou anormalement - rendus possibles et largement financés sans que le public n’en entende jamais parler, sans qu’une volonté politique - même minoritaire - n’ait jamais été exprimée dans ce sens.
C’est précisément cela qui est le plus scandaleux: Mourad, le Tunisien agressif des Tattes, a été soldé d’une non-entrée en matière. Que fait-il encore en Suisse? En plus, il se permet de nous présenter ses exigences. On a même appris que tous les requérants déplacés, de fait, avaient tous été déboutés ou soldés d’une même non-entrée en matière. Jamais, concernant la Turque (originaire du Kurdistan), il n’a été question de renvoi. Avant 2005, lors de son arrivée, on était moins rigoureux sur les demandes, mais leur nombre était substantiellement inférieur. Notons tout de même la chose cocasse que, pour exister en tant que peuple, les Kurdes mènent une lutte à mort, qu’on qualifie parfois de persécution à leur encontre, mais qu’ils ne voient aucun problème à se fondre dans un autre peuple pour bénéficier d’avantages sociaux.
Cela ne compte pourtant pas en matière d’asile, où la réflexion est absente, où le bon sens et la logique ne font pas foi. Le marasme administratif permet aux plus habiles et déterminés de rester sans encombre ; le bon sentiment et les détours autorisent toutes sortes de combines surréalistes, à condition qu’on n’en parle pas. Les deniers publics, alors même qu’on vient de voter sur la LRTV (http://www.lesobservateurs.ch/2015/06/17/eclairage-uw-revolte-generalisee-contre-service-public-medias-suisses-r-de-weck-partir-16-06-15/), sont utilisés pour promouvoir la pitié, mais sans jamais parler des abus. La vidéo du requérant abusif des Tattes est largement connue des médias dominants et autres organes de diffusion subventionnés, mais aucun n’a jugé bon d’en parler. On préfère faire l’autruche, comme si cette anecdote n’était révélatrice de rien, alors que, justement, la gestion catastrophique de l’asile et des migrants est la cause principale de cet afflux (http://www.lesobservateurs.ch/2015/06/17/refugies-les-guerres-du-monde-ne-sont-pas-responsables-la-debacle-suisse-de-lasile-est-de-nature-interne/).
La peur la plus bleue de cette doxa politico-médiatique, c’est de se retrouver face à la réalité, qu’on fait alors tout pour étouffer, parce que, si ces choses venaient à se savoir, on serait forcé de mettre de l’ordre dans une problématique qu’il n’est pas compliqué de régler. Il suffit, pour une fois, de faire appliquer la loi et respecter l’autorité ; d’avoir un œil sur les magouilles et de liquider rapidement les recours légaux. C’est une priorité, mais en attendant, on entendra encore les présentateurs financés par le désormais impôt Billag verser leurs larmes de crocodile. Ils se gardent pourtant bien de pleurer les Suisses qui, eux, subissent cette comédie.
Dans la vidéo qui suit, issue du média local subventionné “Léman Bleu”, on voit qu’il n’y a qu’une face de la réalité qu’on ose nous révéler. On nous présente indirectement les limites du territoire et la difficulté qu’ont les Suisses eux-mêmes à se loger chez eux, mais il n’y est pas question de remettre en cause l’accueil et les faveurs qui sont faites à ces gens. Les limites techniques impliquée n’y font rien et on ne pense pas plus, dès lors, à la préservation de la salubrité du pays. C’est totalement irresponsable et on en finance l’approbation, et même la facilitation.
Thomas Mazzone, le 18 juin 2015
Photo: rts.ch
De toutes manières certains pays de l’UE étaient contraints par Bruxelles d’accueillir des réfugiés et beaucoup n’ont pas réalisé cette demande et ceci, on l’apprend de la part d’exilés Suisses partis s’établir dans ces pays
Les Pays de L’UE voient sans doute plus clair que nombre de Suisses qui eux ne se méfient peut-être pas assez de l’emprise de Bruxelles dans leur vie de tous les jours, alors que les Pays de l’UE y sont quotidiennement soumis
On ne peut comparer l’accueil qui était fait aux réfugiés après les deux guerres qui ont mis à genoux toute l’Europe et dans ce domaine il ne faut jamais avoir peur d’aller au delà de l’Angélisme car on a de moins en moins de personnes âgées pour guider intelligemment les jeunes comme l’ont fait tous ces hommes Suisses qui avaient été mobilisés pendant 39-45
En étant mêlés de près aux conflits, ils savaient de quoi ils parlaient car ne parlant jamais pour rien et n’ayant jamais peur de dire haut et clair ce que d’autres n’ont jamais eut le courage de faire .Parler et agir vaut mieux qu’ écrire et réchauffer des articles juste pour nourrir page blanche ou donner du grain à moudre pour l’électorat et ce en vue des élections Fédérales
M Mazzone a une très bonne vision de notre malheur, notre condamnation au bagne par le bal des socialauds.
Je viens de balancer a la poubelle avec délectation un bulletin de versement dAmnisty cet après-midi. Je n’ai pas de clou aux water.
#stopinvasion
C’est le syndrome de l’idéologie appliquée: on constate certes la réalité et les troubles que cette application y impose, mais on ne la remet nullement en question car il faudrait alors faire de même avec l’idéologie elle-même.
Et ceci très peu y parviennent car c’est au pris de leur propre remise en question.
“Il est plus facile de tromper les gens que de les convaincre qu’ils ont été trompés”. Mark Twain
Très bon article! L’Etat a perdu toute crédibilité lorsqu’il traîne à renvoyer les indésirables comme ce Mourad. Les organisations pro-migrantes sont décidément trop puissantes, elles font un véritable travail de sape…