Jusqu'à 2000 immigrés clandestins à bord de douze canots devaient être recueillis. D'autres sources avancent une évaluation moindre, de 1200 à 1300 personnes.
Un incident «alarmant» a par ailleurs eu lieu près de la côte libyenne. Une vedette des garde-côtes italiens, qui secourait dans l'après-midi un de ces canots, a été approchée par une vedette rapide venue de la côte. Quatre hommes armés de kalachnikovs ont contraint sous la menace les secouristes italiens à leur abandonner le bateau vidé de ses occupants, a souligné le ministère des Transports dans un communiqué.
Continuez à brader notre liberté pour assurer votre rentes, technocrates nihilistes, et vos enfants comme les nôtres auront bientôt a combattre et à mourir.
J’ai une difficulté de lecture en ce qui concerne l’actualité au sujet de ces débarquements.
Historiquement, se une population étrangère débarquait sur le sol d’un Pays en souhaitant s’y installer et vivre de ses ressources, cela était considéré comme une invasion. Aujourd’hui on l’appelle migration.
Or, de nos jours, à renfort de médias, les habitants du Pays jadis considérés comme envahi sont considérés dans l’obligation d’assister les envahisseurs. Ceci est soutenu par le fait qu’un grand décalage entre le style de vie du Pays d’origine des envahisseurs et celui qui subit l’invasion. Tout cela sans considérer de la moindre façon que cette différence de bien être provient du fait que des génération précédentes se soient battues afin de construire un minimum d’ordre social et aient affronté moult sacrifices afin de constituer un minimum de moyens de production leur permettant de se nourrir et de se doter de ce que l’on considère comme confort.
On peut se permettre de croire que lors des invasions précédentes, dans l’histoire, ce qui motivait les envahisseurs n’était pas uniquement l’envie de posséder ou d’élargissement du territoire, mais le besoin matériel de se nourrir aussi.
Ce qui accompagne une invasion, ce sont souvent des pillages et des actes de violence, sans compter la destruction des valeurs des peuples envahis et des symboles qui les représentent.
Les médias se gardent bien de nous relater les épisodes de pillages ayant eu lieu à Lampedusa, maintenant à Agrigente et dans plusieurs localités du sud de l’Italie où ces débarquement ont lieu et où les habitant sont contraint de voir des cohortes de gens venues s’installer. Les cas de maisons squattées (avec les habitants à l’intérieur!), animaux domestiques volés, jardins potagers saccagés se multiplient, sans que cela ne soit rapporté.
Des envahisseurs, (in-)opportunément instruits par des bienpensants, réclament avec véhémence (sans compter le nombre d’épisodes où des cailloux sont lancés dans les rues), la régularisation de leur situation, voir l’expulsion de celles qu’ils considèrent déjà comme leurs villes de ceux qui s’y opposent, taxés de racisme pour avoir voulu mettre un frein à cette invasion.
Aujourd’hui, je lis que ces envahisseurs se présentent armés.
Je me demande ce qu’il faut attendre pour se rendre compte que nous sommes en situation de légitime défense.
Il n’y a pas de sous-marins armés de torpilles, en Italie ?
Mais qu’est ce que les garde-côtes italiens vont faire près des côtes libyennes ???