Un commentaire

1. IL faut faire front à l’islam avec clairvoyance.
   N’oublions pas qu’en 2010, Kadafi a appelé le monde musulman à la jihad contre la Suisse.

   Cette préoccupation, cette anxiété et cette crainte justifiées des citoyens clairvoyants ne sont pas de l’islamo-phobie. Une phobie est une maladie caractérisée par une peur irréaliste. Une telle crainte que de nombreux Suisses clairvoyants expriment est raisonnable et n’est pas irréaliste, preuve en est ce qui est écrit dans les écritures de l’islam et les 270 millions de morts en 1.400 ans de colonisation islamique. Cette peur ressentie par les Suisses à l’égard des musulmans est fondée, légitime et surtout rationnelle. Comme les juifs qui ont fui le nazisme, ces Suisses ne sont pas atteints d’une phobie. De plus, la critique d’une religion ou d’une idéologie n’est pas la critique d’une race. Pour des citoyens libres, dans une démocratie, ne pas avoir peur de ce qui est enseigné dans les écritures de l’islam et prêché dans les mosquées et les écoles coraniques est une folie; tout comme c’était une folie de nombreux juifs allemands de ne pas avoir eu peur du nazisme dès les années 20 et de fuir de l’Europe avant 1934, ou de le combattre. Comme on a pu l’observer pour les juifs pendant la deuxième guerre mondiale, la clairvoyance nécessite du courage. En Suisse les angéliques et passionnés du politiquement correct manquent d’intelligence et les clairvoyants et lucides manquent de courage. Pourtant dès 1920, Hitler a exprimé sa haine contre les juifs et leur éradication par émigration et expulsion. Entre 1933 et 1941, le gouvernement nazi d’Hitler a encore laissé sortir légalement d’Allemagne 570.000 juifs. En 1933, Hitler fit un dernier accord avec les Zionistes d’Israël (ce qui n’a pas plu du tout à son admirateur et inspirateur le grand mufti al-Husseini) pour permettre, chaque année, à 60.000 juifs d’émigrer en Israël, cela pour 6 ans et en échange de un tiers de leur fortune.

   Pourquoi tant de Suisses accordent-ils d’avantage d’importance et de confiance à l’islam qu’ils ne l’ont fait pour Hitler, Staline ou Mao? Même si des Suisses angéliques ne peuvent pas s’imaginer, que toute une soit-disante « religion » avec d’autres valeurs que les leurs, ordonnent à ses fidèles de tuer les non-croyants et les athées, les citoyens suisses, soit le Souverain et les résidents de Suisse non-musulmans ou athées, doivent se préoccuper de ces écritures et de ces prêches haineux de l’islam et surtout exiger de leurs gouvernants d’en être protégés sans retard et efficacement.

   Ces menaces sont bien réelles et augmentent exponentiellement avec la croissance de la population musulmane, comme on peut le constater en France, en Belgique et en Angleterre, pays où, dans certaines régions et quartiers, le renouvellement de la population, les mauvaises manières et la violence ont, vraisemblablement, déjà atteint un point de non retour; preuve en est les zones de non-droit.

   Pour ceux qui ne semblent toujours pas s’inquiéter, le fait qu’un pays prétendument laïque et candidat à l’Europe, la Turquie, ait pu passer en moins d’un siècle, et surtout comme si de rien n’était, d’un tiers de population chrétienne à 0,1% devrait les inquiéter. Le président turc Erdogan, qui voulait d’une part que la Turquie entre dans l’Europe, a d’autre part déclaré lors d’une visite en Europe que l’assimilation de musulmans en Europe est un crime contre l’humanité. L’humanité a donc bien un tout autre sens pour lui que pour les citoyens occidentaux du XXI ème siècle.

   Pendant ces 24 ans que dure la guerre que les USA mènent en Iraq, 3 chrétiens sur 4 d’Iraq ont disparus; ce n’est que tout récemment en été 2014 que les USA se sont préoccupés de la jihad contre les non-musulmans d’Iraq et de Syrie.

   Au contraire de ce qu’ont fait nos gouvernants pendant la deuxième guerre mondiale, nos gouvernants actuels n’ont pas fait et ne font pas assez pour nous protéger de ces menaces de l’islam. Ils ont préféré fermer les yeux et les oreilles, laisser l’islam agir sans contrôle. Ils se sont comportés comme des dhimmis. Il leur manque une chose que les islamistes ont en excès et que nous avons perdu depuis la fin de la deuxième guerre mondiale: la détermination. Avec la complicité de nos élus et l’argent de nos impôts, notre système légal protège et récompense depuis trop longtemps ceux qui menacent, abusent, coûtent cher, agressent et exigent avec arrogance passe-droits et privilèges, au lieu de protéger ceux qui sont abusés et menacés.

   Ces crimes de haine et d’honneur commis par des musulmans ne sont pas dus à des détraqués ou des cas psychiatriques, comme veulent nous le faire croire certains politiciens et tribunaux, mais dus à des fervents musulmans qui affirment et prétendent les faire pour des motifs « divins » et « religieux » et pour leur foi; parce que Allah le leur a commandé et a utilisé leurs mains pour satisfaire sa et leur haine.

   L’intégration doit être beaucoup plus exigeante. Il faut faire passer de vrais examens de langue et de culture nationales comme c’est le cas par exemple au Canada. Pour obtenir un permis de séjour, au Canada français, le demandeur doit passer un exigeant examen de français à l’Alliance française, rien que ça, mandatée par le gouvernement canadien pour faire passer cet examen obligatoire. Puis pour s’inscrire, par exemple à la « Toronto University » et y faire des études en anglais, le résident futur étudiant doit en plus passer un examen d’anglais soit précisément le TOEFL, examen qui exige un très bon niveau linguistique.

   Dans les années soixante, dans les pays libres, pour obtenir un permis de séjour puis un permis de travail et les renouveler, le demandeur devait s’intégrer à ses frais, parler la langue du pays et prouver qu’il n’était pas d’idéologie communiste soviétique ou castriste. Tout étranger, pour demander un permis de séjour, doit s’intégrer, à ses frais bien sûr, pas aux frais des contribuables; cela est logique et juste. Certains de nos gouvernants voudraient que les contribuables helvétiques dépensent des millions pour accueillir et intégrer des musulmans, alors que l’Arabie Saoudite et le Qatar dépensent des millions pour qu’ils ne s’intègrent pas, en Europe en particulier. Du reste, depuis un demi siècle, nombre de musulmans ont clairement expliqué que leur intention n’était pas d’être assimilés par la société qui les accueille et de s’intégrer, mais que c’est au contraire la société qui les reçoit qui doit changer. Le vrai pays de chacun est celui dans lequel on vit. Ces émigrés musulmans qui se condamnent à rester des émigrés envers et contre tout, ne profitant finalement ni du pays où sont enterrés leurs parents, ni de leur pays d’accueil, se condamnent à être des malheureux. Nos élus et les citoyens qui doivent élire puis contrôler ces derniers sont-ils si stupides? Quand un étranger demande de séjourner en Suisse (sauf comme touriste évidemment) il faut, dès son entrée, lui faire répondre à un choix de questions clefs concernant nos lois, nos coutumes, notre culture et nos valeurs, comme c’est par exemple judicieusement le cas en Australie.

   La politique d’immigration choisie par le gouvernement australien de gauche est réaliste et juste. Les demandes de visas de résident doivent être accompagnées d’une attestation d’un niveau minimal d’anglais et sont axées sur «le respect de la liberté et de la dignité, la liberté religieuse, à l’engagement envers la suprématie du droit, à la démocratie, à l’égalité des sexes et à un esprit d’égalitarisme ainsi qu’à la recherche de l’intérêt collectif » . Le gouvernement australien a publié un livret d’information « La vie en Australie » et un livret de la citoyenneté « Devenir un citoyen australien». De ce dernier sont tirées les 20 questions aux quelles doit répondre le demandeur de permis de séjour. De plus, tout demandeur doit signer la « Déclaration des valeurs australiennes » dont les termes ci-dessus sont extraits. Non sans raison, aujourd’hui, la politique d’immigration australienne est avant tout qualitative. Judicieusement, elle varie d’une année à l’autre en fonction des besoins en main-d’œuvre, des spécialités professionnelles détenues et de l’âge des demandeurs.

   De telles méthodes claires pour informer les demandeurs de permis de séjour et les requérants d’asile sur ce que nous attendons d’eux est le seul moyen efficace de prévenir les malentendus et l’arrogance, après qu’ils aient obtenu un permis de séjour et soient déjà installés en Suisse. Ainsi, si par la suite, ils ne respectent pas notre culture, nos valeurs et nos lois, par exemple si l’un veut l’application de tout ou partie de la charia, confiner sa femme à la maison, voir même l’enfermer chez lui quand il part travailler, empêcher sa fille de suivre certaines classes, ou encore ne pas accepter la séparation entre la mosquée et l’Etat etc, et donc se parjure, notre police des étrangers a toute raison et arguments pour l’expulser sans tarder, et à ses frais. En faisant signer un tel questionnaire d’immigration qui informe que tous les problèmes familiaux et toutes les disputes, sans exception doivent être traités en Suisse selon nos lois, si tel immigrant ou tel requérant d’asile demande l’application de la charia lorsqu’il divorce, s’il bat sa femme, s’il a ou veut avoir plus d’une épouse, si son fils sodomise sa soeur, si il discrimine les femmes ou n’accepte pas que les femmes aient la même liberté sexuelle et les mêmes droits que les hommes, si dans la rue, il traite une femme de viande exposée ou offerte à la vue de tous, qu’il faut la niquer, si il ne se soumet pas au dessein de toute immigration qui est l’intégration dans notre société démocratique et notre culture, sans tarder et sans recours, il devra être expulsé lui et ses proches.

   Ni l’Arabie Saoudite, ni le Qatar ne se pressent pour donner leur nationalité aux musulmans palestiniens et autres, bien au contraire, ni ne donnent de l’argent pour instruire et aider vraiment les pauvres palestiniens et autres pauvres musulmans. Ils leur donnent de l’argent pour la guerre « sainte » ou jihad, le terrorisme contre Israël, des bourses pour porter le voile à Paris, etc, et pour construire des mosquées et des écoles coraniques ou madrasas. L’idéologie fasciste qu’est l’islam tient à utiliser tous ces musulmans de la rue pour que leurs puissants restent au pouvoir et aient quatre épouses, et pour exterminer les juifs et détruire Israel comme le leur a ordonné Mahomet au VII ième siècle dans sa « divine » fatwa. Plus les gens sont pauvres, misérables, racistes et pleins de colère et de haine, plus on les commande facilement. Ce n’est pas avec des citoyens cultivés et éclairés qu’on commet des attentats terroristes et des massacres; il faut de la haine, de l’aveuglément, du chômage, de la misère, du despotisme et une idéologie fanatique. Pour piloter au doigt et à l’oeil les jeunes de la cité et les arabes de la rue, il faut leur boucher l’avenir. les appauvrir, faire du bruit et leur faire croire qu’ils vont se rapprocher du paradis où Allah les attends avec des vierges qui se renouvellent par enchantement.

   En outre, sans que cela soit réciproque, les pays musulmans n’accordent jamais la nationalité si le candidat étranger, préalablement, ne se convertit à l’islam; il en est de même lors de mariage avec une étrangère.

   Réciprocité, réciprocité, réciprocité voilà le premier principe à appliquer pour une démocratie occidentale directe et participative qui a l’obligation de respecter ses citoyens, de les protéger et de les écouter. Réciprocité signifie aussi demande d’accès pour accès comme par exemple construire des synagogues, des églises chrétiennes, des cimetières chrétiens dans tous les pays musulmans, créer des départements d’étude du christianisme et du judaïsme dans les universités des pays musulmans, et bien évidemment le droit réciproque de prosélytisme religieux dans les pays musulmans. Cela signifie aussi tolérance pour tolérance et intolérance pour intolérance; comme le Japon l’a, lui, fort bien compris et appliqué. L’islam-idéologie, elle, est toujours intolérante. Il y a même un hadith qui ordonne aux musulmans que, si ils sont témoins d’un acte, coutume ou moeurs non-musulmans, ils ont toujours l’obligation de les combattre par la force. Si ils ne peuvent pas y mettre fin par la force, alors ils se doivent de la condamner dans leur coeur.

   Une vraie démocratie participative est le meilleur barrage contre l’islam; mais la démocratie est en recul dans l’Union européenne, aux USA et en Amérique latine où le politiquement correct inspiré par la peur et le souci de ne pas exacerber les tensions entre la communauté occidentale, qui est montrée comme prête à capituler, et la communauté musulmane, qui elle fait des ravages. Ce politiquement correct, qui dévaste les partis politiques, nos religions, les milieux de l’enseignement et du social, va jusqu’à l’absurdité hypocrite, puisqu’en Algérie par exemple, prononcer en public le terme « terrorisme » est condamnable d’amende ou de prison et que la peine est même alourdie si le coupable a parlé de « terrorisme islamiste ».

   Pour protéger les citoyens suisses, il y a bien longtemps que les fabricants de cigarettes doivent inscrire sur chaque paquet de cigarettes que les cigarettes sont dangereuses pour la santé. Il n’y a pas de différence avec les dangereuses écritures de l’islam. Elles ne sont pas bonnes pour la santé physique, mentale et spirituelle des Suisses et des résidents de Suisse. Nos gouvernants doivent ordonner d’enlever de tous les écrits de l’islam ou d’une autre « religion » tout vers, versets, commandement, affirmation qui, entre autres menaces, encouragent leurs fidèles à la haine, à tuer ceux qui ne croient pas comme eux, qui ont quitté leur religion et se sont convertis à une autre, qui sont athées, ou encore qui ont, soit-disant, déshonorés l’homme de la famille ou un quelconque musulman.

   Il est grand temps, qu’un échantillon de citoyens suisses et de résidents portent plainte contre notre gouvernement (« class action » ou plainte groupée), voir lancent une initiative populaire pour que nos vies, nos lois, notre culture, nos valeurs et notre morale soient protégées. Notre confédération a été crée premièrement pour assurer la sécurité de ses citoyens. Il faut s’allier pour porter plainte et exiger que tout appel et encouragement à tuer, torturer, esclaviser, humilier et mentir, en particulier de terroriser les non-musulmans, soient enlevés de tous les écrits de l’islam importés, envoyés, vendus, enseignés dans les écoles coraniques et prêchés dans les mosquées en Suisse. Tant que cette mesure n’est pas mise en vigueur, l’islam ne peut aucunement être assimilé à une secte ou une ONG, l’islam ne peut avoir ni passe-droits, ni écoles privées islamiques remplaçant nos écoles publiques, ni réduction ou exemption d’impôt, ni subsides des contribuables, ni aumôniers en particulier dans les prisons et à l’armée, et doit être considéré comme une idéologie totalitaire et fasciste qui est une menace pour les citoyens, la sécurité nationale, notre constitution fédérale, nos constitutions cantonales et nos lois. Quelques angéliques crieront que c’est introduire une censure et manquer de tolérance, mais que font les pays musulmans chez eux? Le principe de réciprocité doit être strictement appliqué; ce qui est loin d’être le cas actuellement. Comment nos dirigeants acceptent-ils que l’islam, pour construire une mosquée en pays chrétiens, se fonde sur la liberté religieuse de ces mêmes pays, alors que justement l’islam n’accepte pas la liberté religieuse dans les pays musulmans?

   Les musulmans doivent comprendre que notre droit humain à la vie, à la liberté et au bonheur est au dessus du droit de n’importe quelle religion ou idéologie, en particulier l’islam-idéologie qui veut nous prendre ce droit. Les musulmans ont besoin d’entendre un non ferme, afin que leur « religion » de l’islam cesse d’être la justification obscurantiste du VII ème siècle d’un statu quo politique, social et idéologique. Les musulmans doivent se poser la question de savoir si la charia est encore tolérable au XXI ème siècle, parce que l’islam ne parviendra jamais à la démocratie, ni au respect des droits de l’homme, de la femme et des minorités, aussi longtemps qu’il s’en tiendra à la charia et qu’il n’y aura pas de séparation entre la mosquée et l’État.