Stop au pillage fiscal : défendons notre prospérité !

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L’initiative prétend cibler les « ultra-riches ». En vérité, elle frappe au cœur les familles, les entrepreneurs et les PME. Les grandes fortunes helvétiques ne sont pas des coffres remplis d’or : elles reposent souvent sur des entreprises familiales, des exploitations agricoles, des ateliers, des industries ou des start-ups, dont la valeur se trouve dans le travail, l’innovation et le capital productif.

Si cette dernière devait aboutir, ces entreprises devraient vendre des parts, voire se séparer de leur activité pour payer l’impôt exigé. C’est une attaque directe contre le tissu économique qui assure des centaines de milliers d’emplois. Et quand les propriétaires suisses seront contraints de vendre, qui rachètera ? Des investisseurs étrangers, animés non par l’attachement à notre pays mais par la spéculation et le profit rapide. Ainsi, ce projet « pour l’avenir » conduirait à une perte dramatique de souveraineté économique et à la destruction de valeurs bâties sur des générations.

Une fausse justice, un vrai désastre

Les Jeunes Socialistes prétendent financer la transition écologique grâce à ces milliards extorqués injustement. Mais l’histoire montrent le contraire : les politiques de surtaxation provoquent la fuite des talents, la perte de compétitivité et la baisse des recettes fiscales. Selon les estimations officielles, la Suisse pourrait perdre jusqu’à 3,7 milliards de francs par an.
Dans les faits, cet impôt n’épargnerait pas la classe moyenne : quand les grands contribuables partent, c’est le reste de la population qui paie la note. Les familles, les retraités et les employés verraient leurs impôts et leurs coûts de la vie augmenter.

La gauche propose, comme à son habitude, une écologie punitive, déconnectée, étatique et inefficace – une idéologie du contrôle, non du progrès : en somme, l’antithèse de nos valeurs de liberté, de mérite et de travail qui ont façonnées la Suisse.

Cette initiative n’a rien à voir avec l’avenir ; elle est le symbole d’un passé idéologique d’égalitarisme forcé et de jalousie sociale. La Suisse n’a jamais bâti sa réussite sur l’envie ou la confiscation, mais sur le travail, la responsabilité et la liberté d’entreprendre. Il s’agit de défendre bien plus que nos entreprises : défendre le modèle suisse, celui d’une économie de proximité, de stabilité et d’innovation est une priorité absolue. Protégeons nos PME, nos familles et notre prospérité.

Le 30 novembre, disons NON à la spoliation fiscale, NON à la destruction de nos emplois, NON à l’idéologie punitive.

 

Extrait de: Source et auteur

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Un commentaire

  1. Posté par antoine le

    Encore eux !
    ”Les Jeunes Socialistes prétendent financer la transition écologique grâce à ces milliards extorqués injustement”
    – Les Jeunes Socialistes prétendent : Ils peuvent prétendre beaucoup de choses mais ce qui compte pour eux qui ont des poches profondes est de pouvoir dépenser des sous qu’ils n’ont pas ! La création de richesse, faciliter le développement économique et de favoriser les start-up, ça ils ne connaissent pas … !!
    – la transition écologique : cette transition est une arnaque monumentale ! Ils veulent sauver la planète Terre en soi-disant produire et consommer écologiquement … Ont-ils voyagé ces ”jeunes” ? Ont-ils constaté de retour de leurs voyages en avion ”écologique” comment notre pays est dépollué avec des routes propres et des cours d’eau avec des poissons et des écrevisses ?
    – ces milliards extorqués injustement : c’est le point principal, cette extorsion devrait leur permettre de bien vivre sans se fouler … et avec bonne conscience …
    Vouloir sciemment détruire le fruit de générations est une aberration complète !

Et vous, qu'en pensez vous ?

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