Ndlr. Pour renforcer les médias dominants, de grand chemin, politiquement corrects, bref de gauche et d’extrême gauche, on nomme un personnage politique de gauche, voire d’extrême gauche, en prétendant vouloir le faire, comme d’habitude, au nom de la qualité, de la diversité , de la pluralité, contre le fake news, etc., cela avec des sommes d’argent faramineuses. Tout cela encore au nom de l’intérêt public, d’une culture du débat, pour une société démocratique, de la véracité, et d’un narratif national commun. Et, l’heure est grave! Oui mais pas pour les raisons avancées ici. C’est quoi l’info de qualité? demande la journaliste : plusieurs sources, une diversité de regards, la distinction entre fait et opinions. Mdr. Oui, mais manque la mise en pratique! Et ça ne changera pas, même avec des dizaines de millions à l’appui. Les acteurs resteront les mêmes. L’ennemi : les médias de droite! évidemment, Blocher! Bolloré en France qui dicterait la ligne éditoriale! alors qu’il n’intervient jamais chez Cnews, une des meilleures TV d’information, ouverte à tous, OUI, mais les gauchistes, l’extrême gauche et les communistes refusent, en nombre les invitations; ils ont peur du débat. Et se révèlent ainsi dans leur vraie nature. Oui la Suisse romande a besoin de pluralisme médiatique, comme c’est le cas en Suisse alémanique, mais pas avec encore des responsables de gauche, voire d’extrême gauche. Il fallait que ce soit un média allemand qui évoque le “désert médiatique” de la Suisse romande, avec nous aussi qui le disons avec preuves à l’appui, et depuis longtemps, très longtemps.