En Suisse, les infractions ont explosé, avec une hausse globale de plus de 5% en un an. Plus inquiétant encore : une part significative de cette criminalité est imputable à des personnes étrangères sans statut de résidence durable – autrement dit, des requérants d’asile ou des immigrés illégaux. À Zurich, les autorités relèvent que les Afghans sont neuf fois plus impliqués dans les agressions sexuelles que la moyenne.
Et qui sont les premières victimes de cette insécurité importée ? Les femmes. En Suisse, le nombre de viols a bondi de près de 30% en 2024, et plus de la moitié des meurtres ont été commis dans un cadre domestique. Derrière chaque chiffre, une victime, un visage, un drame évitable.
L’UDC défend celles que le système laisse tomber
Pendant que certains partis s’obstinent à banaliser le problème, l’UDC refuse de détourner le regard. Car nous savons que la sécurité n’est pas un luxe, c’est un droit. Et que l’asile doit rester une protection pour les personnes réellement persécutées — pas une porte d’entrée pour des agresseurs, ni un alibi humanitaire pour une violence tolérée.
L’UDC le rappelle :
- Le droit d’asile ne doit pas profiter à ceux qui bafouent nos lois.
- Les auteurs de violences doivent être renvoyés sans délai.
- La sécurité des femmes doit redevenir une priorité absolue.
Tant que les autres partis continueront de faire l’autruche, l’UDC restera la seule voix qui défend sans compromis la sécurité des nôtres en général et des femmes en particulier. C’est pourquoi l’UDC a lancé l’initiative pour le chaos de l’asile et pour la protection des frontières. Signez et faites signe cette initiative.
nitiative pour la protection des frontières Stop aux abus de l’asile !
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