Donald Trump a signé la « Loi Laken Riley » permettant de détenir et d'expulser les clandestins accusés de crimes violents avant même leur condamnation.
Laken, 22 ans, a été tuée en 2024 par un migrant illégal vénézuélien.
Sa famille a pris la parole :pic.twitter.com/WKfxNE6YMd
— Fdesouche.com est une revue de presse (@F_Desouche) January 29, 2025
Le premier texte de loi signé par le président Trump se concentrait sur l’une des principales priorités de son second mandat : l’immigration. La loi Laken Riley, comme on l’appelle, ordonne aux autorités de détenir et d’expulser les immigrants accusés – mais non encore condamnés – de crimes spécifiques, s’ils se trouvent illégalement dans le pays. (…)
La loi Laken Riley énumère les délits spécifiques qui peuvent entraîner la détention et l’expulsion d’une personne se trouvant sans autorisation aux États-Unis. Il s’agit notamment du cambriolage, du vol, du vol à l’étalage, de l’agression d’un policier et de tout délit entraînant la mort ou des blessures corporelles. La loi impose la détention des personnes arrêtées, accusées ou admettant avoir commis un tel délit, sans qu’il soit nécessaire qu’elles soient d’abord condamnées.
Elle donne également aux procureurs généraux des États le droit de poursuivre le procureur général des États-Unis ou le secrétaire à la sécurité intérieure si un immigrant au statut juridique incertain ou contesté qui est libéré sur parole dans le pays commet un crime qui porte préjudice à l’État ou à l’un de ses résidents physiquement ou financièrement, si la valeur du préjudice est supérieure à 100 $. (…)
(…) Le projet de loi porte le nom d’une étudiante infirmière de Géorgie qui a été tuée l’année dernière par un Vénézuélien aux États-Unis sans statut légal. Sa mort est devenue un cri de ralliement pour les républicains qui critiquaient l’approche de l’administration Biden en matière de sécurité aux frontières.
L’homme, José Ibarra, a ensuite été condamné à la prison à vie sans possibilité de libération conditionnelle. Il avait déjà été accusé de vol à l’étalage à New York (…)
Les parents et la sœur de Riley étaient présents à la Maison Blanche pour la signature du projet de loi. La mère de Riley, Allyson Phillips, a pris la parole brièvement, remerciant les législateurs et le président d’avoir poussé le projet de loi au nom de sa fille jusqu’à son terme. (…)
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