Au lieu de nommer le problème par son nom, Monsieur Blättler demande plus de personnel pour la poursuite pénale. Bien sûr, il faut suffisamment d’enquêteurs et de procureurs pour lutter contre la criminalité. Mais il ne suffit pas de s’attaquer aux symptômes ; la racine du problème reste l’immigration incontrôlée des demandeurs d’asile, qui permet de faire entrer dans le pays des islamistes, des djihadistes, des personnes dangereuses et des criminels. L’UDC l’a toujours dit, mais elle a été ridiculisée et diffamée par les autres partis et les médias.
L’Etat de droit ne fonctionne plus aussi bien que le prétend Monsieur Blättler. La criminalité a augmenté de 14% l’année dernière. Les expulsions ne sont exécutées qu’à 40%, même dans les cas obligatoires. Beaucoup trop de criminels restent ici parce qu’ils sont considérés comme des « cas de rigueur ». La justice place le bien-être personnel des criminels au-dessus du bien-être de la population, au mépris de la volonté populaire.
La sécurité des Suisses et de toutes les personnes qui travaillent et paient des impôts ici doit être une priorité absolue. Les frontières doivent être protégées de manière conséquente. Les personnes qui arrivent par des pays tiers sûrs ne doivent plus déposer de demande d’asile. L’immigration d’asile en provenance de pays non-européens doit être réduite de manière drastique. L’admission provisoire, par laquelle les faux réfugiés obtiennent de facto un droit de séjour durable, doit être abolie. Les étrangers criminels, les clandestins et ceux qui ne peuvent pas s’intégrer doivent quitter le pays. Celui qui ne respecte pas nos règles n’a rien à faire ici.
La situation est grave. La sécurité intérieure de notre pays est menacée, à un niveau extrêmement critique. Faut-il des situations comme celles de Stockholm, Berlin ou Paris avant d’enfin agir ? Finie la tolérance naïve ! Finis les beaux discours ! Qui met la tête dans le sable se rend de facto complice.
Un changement de cap est nécessaire ; la politique migratoire de centre-gauche nuit à notre population. Nous ne cesserons pas de dénoncer les dysfonctionnements et d’exiger des changements, comme nous le faisons avec l’initiative pour la protection des frontières, qui apporte le changement nécessaire et urgent. Vous aussi, signez dès maintenant l’initiative pour la protection des frontières !
Extrait de: Source et auteur
Et vous, qu'en pensez vous ?