Un demandeur d’asile profane une statue de la Vierge : il faut en finir avec la fausse tolérance !

post_thumb_default

 

On prend la défense du « pauvre » demandeur d’asile, on dit qu’il est « confus » et qu’il a des problèmes de santé. Mais le soi-disant requérant d’asile afghan confus a trouvé sans problème le monastère d’Einsiedeln et s’est attaqué à une statue de la Vierge Marie. La gauche rose-verte a quant à elle joué la carte de la victimisation avec Sanija Ameti en affirmant qu’elle faisait l’objet d’une campagne « xénophobe ».

Voulons-nous une situation comme celle de l’Afghanistan ?
La majorité de la population ne croit plus à ces excuses depuis longtemps. Dans le cas de Sanija Ameti, il s’agit d’une jeune femme bien formée qui a grandi en Suisse. Ces dernières années, elle a toujours délibérément cherché à repousser les limites de la provocation. En tant que professionnelle de la communication, elle savait pertinemment ce qu’elle faisait.

Nous devons cesser d’accepter de tels actes par fausse tolérance. Comment peut-on avoir l’idée de profaner la figure de la Vierge la plus importante de Suisse ? Personne appréciant nos valeurs ne tirerait plusieurs balles dans la tête sur la représentation d’un enfant de Jésus (ou d’un enfant tout court d’ailleurs).

En Afghanistan, de nombreuses filles ne peuvent plus aller à l’école. En Irak, on voudrait introduire le mariage des enfants pour les filles à partir de 9 ans, parce que Mahomet a finalement aussi pris une fillette de 9 ans pour épouse. En Iran, les femmes sont battues parce qu’elles ne portent pas le foulard. De telles perspectives me font peur en tant que père d’une fillette de quatre ans.

Protéger les frontières, c’est protéger la Suisse
Nous devons nous opposer résolument à ces courants islamiques radicaux ; la tolérance aveugle ne mène à rien. Nous devons définir clairement la manière dont on doit se comporter dans un pays de tradition chértienne, sinon, nous vivrons à terme des situations comme en Afghanistan et dans d’autres pays. Nous voyons déjà dans les villes européennes où cela mène. Si nous ne fixons pas de limites claires maintenant, nous ne maîtriserons bientôt plus la situation.

Nous devons à nouveau contrôler nous-mêmes qui peut entrer dans notre pays et qui ne le peut pas. Avec notre initiative sur la protection des frontières, nous luttons contre l’immigration illégale ; qui ne respecte pas nos valeurs et nos lois doit être immédiatement expulsé. Les nombreuses ONG qui, avec leurs avocats gratuits, protègent les délinquants au lieu de protéger les victimes, peuvent tout de suite suivre le mouvement. Nous devons protéger notre patrie, pour nous et surtout pour nos enfants !

 

Extrait de: Source et auteur

Suisse shared items on The Old Reader (RSS)

Un commentaire

  1. Posté par Jean Rage le

    Comme indiqué dans l’article:
    Il est “confus” mais pas assez pour savoir à quelle statue il s’attaque…
    Les malades atteint du gauchismes oublient facilement que la première chose qu’ont fait les talibans en Afghanistan a été le dynamitage des statues du Bouddha, que dans l’État islamique ça a été de même pour tout ce qui n’était pas muzz-il-ment et que c’est partout pareil où que soit les adeptes de cette religion du diable….
    Le gauchisme est une maladie mentale, preuve en est encore… et sous couvert de bien-pensance, il préfère de s’occuper des étrangers que de leurs compatriotes qui meurt de faim et de froids, surtout s’ils s’attaquent à la religion.
    L’histoire ne leurs à pas servi de leçon à l’image des pays où ils se sont alliés aux muzz-il-ments, ils ont été les premiers à en subir les conséquences comme en Iran par exemple…
    Quand on dit que c’est une maladie mentale!….

Et vous, qu'en pensez vous ?

Poster un commentaire

Votre commentaire est susceptible d'être modéré, nous vous prions d'être patients.

* Ces champs sont obligatoires

Avertissement! Seuls les commentaires signés par leurs auteurs sont admis, sauf exceptions demandées auprès des Observateurs.ch pour des raisons personnelles ou professionnelles. Les commentaires sont en principe modérés. Toutefois, étant donné le nombre très considérable et en progression fulgurante des commentaires (259'163 commentaires retenus et 79'280 articles publiés, chiffres au 1 décembre 2020), un travail de modération complet et exhaustif est totalement impensable. Notre site invite, par conséquent, les commentateurs à ne pas transgresser les règles élémentaires en vigueur et à se conformer à la loi afin d’éviter tout recours en justice. Le site n’est pas responsable de propos condamnables par la loi et fournira, en cas de demande et dans la mesure du possible, les éléments nécessaires à l’identification des auteurs faisant l’objet d’une procédure judiciaire. Les commentaires n’engagent que leurs auteurs. Le site se réserve, par ailleurs, le droit de supprimer tout commentaire qu’il repérerait comme anonyme et invite plus généralement les commentateurs à s’en tenir à des propos acceptables et non condamnables.

Entrez les deux mots ci-dessous (séparés par un espace). Si vous n'arrivez pas à lire les mots vous pouvez afficher une nouvelle image.