C’est maintenant au tour du trafic routier : les automobilistes ont depuis longtemps financé les projets d’autoroutes par le biais des impôts et des taxes !

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Il est évident que l’immigration démesurée est la principale raison de l’engorgement des routes (et des trains !). Notre réseau autoroutier date des années 1960, à l’époque où la Suisse comptait 5.3 millions d’habitants. Aujourd’hui, nous en avons 9 millions et de nombreux problèmes en découlent. La principale solution est de lutter contre l’immigration démesurée via l’initiative de l’UDC pour la durabilité « Pas de Suisse à 10 millions ! ».

Nous ne pouvons toutefois pas ignorer les autres problèmes existants. De bonnes voies de communication sont un facteur de positionnement important pour la Suisse ; sans mobilité, pas de prospérité. Plus de 70% des marchandises sont aujourd’hui transportées par la route. Même les citadins de gauche rose-verte ne se fournir en saucisses végétales sans un réseau routier fonctionnel.

Nous en profitons tous

Les autoroutes sont les principales artères de la Suisse. Le 24 novembre, nous voterons sur une étape importante de l’aménagement : il s’agit d’éliminer les pires goulets d’étranglement sur les routes nationales. Grâce à de nombreuses solutions de tunnels, cela ne nécessite que peu de surface de terrain. Le financement est assuré depuis longtemps par le fonds pour les routes nationales et le trafic d’agglomération (FORTA) ainsi que par le biais des vignettes autoroutières et des taxes sur les carburants. Chaque automobiliste, chaque camionneur, chaque pendulaire, chaque artisan – tous paient beaucoup d’argent pour pouvoir utiliser les infrastructures routières avec leur véhicule. Cet argent doit maintenant être investi dans la réduction des embouteillages. Les moyens sont déjà disponibles, ce qui signifie qu’aucun franc d’impôt supplémentaire n’est nécessaire pour l’extension de l’autoroute.

Nous devons éliminer les goulets d’étranglement partout – pas seulement dans les transports publics, mais aussi sur les routes ! Les embouteillages sont néfastes pour l’environnement et pour l’économie, entrainent l’engorgement des routes de campagne et rendent la circulation difficile dans les villages. En votant OUI à l’étape d’aménagement 2023, nous mettons en œuvre les principaux projets autoroutiers dont nous profiterons toutes et tous !

 

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