En France, il est possible d’être légalement reconnu comme femme tout en ayant un pénis. Des hommes se disant femmes remportent des compétitions sportives féminines. Des enseignants perturbent des gamins avec des théories nuisibles à la formation de leur personnalité. Et des médicastres se livrent à des expérimentations de transition sur des enfants. Tout cela au nom d’un trouble psychique, la dysphorie de genre qui concerne 0,005 % de la population.
Pour Dora et Marguerite, c’est le plus gros casse conceptuel du XXIe siècle. L’idéologie transgenre s’est infiltrée dans toutes les sphères de la société. Elle se présente comme un mouvement pour les droits d’une minorité se disant opprimée, alors qu’elle fait pression pour modifier radicalement nos codes et nos institutions, et dispose de nervis prêts à tabasser ou pire, quiconque ne partage pas leurs vues.
Une organisation qui a pignon sur rue profère des menaces de mort, mais Retailleau hésite à la dissoudre car il craint d’être désavoué par le Conseil d’État
Voilà où on est en France, après avoir abandonné le pouvoir de décision à des juges, des fonctionnaires, des comités Théodule et des associations subventionnées. Tous gauchisants et opérant souvent de concert. Des gens qui n’ont aucune légitimité démocratique, et ne devront jamais rendre compte de leurs exactions, sauf improbable révolution.
Le site «Paris Luttes Info» a publié un texte intitulé « trans ultraviolence », appelant explicitement à éclater les têtes des deux jeunes femmes. Ces militants d’ultragauche sont tellement sûrs de l’impunité pour eux-mêmes, en espérant qu’un déséquilibré suivra leurs injonctions, qu’ils se permettent d’écrire :
« Nous ne combattons pas les transphobes fascistes dans le monde du débat des idées (…) Nous nous opposons physiquement et violemment à leur existence toute entière (…) Cela ne pourra se faire que par la force et la violence, et donc par l’éclatage des têtes en question. Dans cette optique, une matraque télescopique semble être un pas dans la bonne direction »
Face à cet appel explicite au meurtre, les deux cibles ont porté plainte. Sans grand espoir que la police et la justice s’intéressent à leur cas. Elles sont du mauvais côté de la barrière dans notre société de dégénérés.
Marguerite Stern confie au Figaro avoir ressenti pour la première fois de sa vie le sentiment pénible que des gens veulent vraiment la tuer. Par ailleurs l’adresse de Dora Moutot a été dévoilée sur Internet et de courageux anonymes lui ont écrit pour lui annoncer qu’ils allaient venir lui régler son compte.
Dans un plaidoyer virulent signé par « une bande armée de travelos qui veulent en découdre», les auteurs revendiquent l’appartenance au groupe de militants d’ulta-gauche arrêtés à Paris le 5 octobre dans le 5e arrondissement, alors qu’ils avaient commencé à agresser les participants à une séance de dédicaces du livre Transmania.
Une petite armée gauchiste en action. Dont un commando de 63 nervis placés en garde à vue, de façon prolongée pour 6 d’entre eux, en particulier ceux qui étaient armés de matraques télescopiques et de crans d’arrêt, et dans le véhicule desquels on a découvert des explosifs.
Mais dans une campagne de presse savamment orchestrée par la suite, des médias complaisants ont présenté ces dangereux voyous comme d’aimables pacifistes.
Les médias, sans essayer de s’informer honnêtement, ont relayé servilement la parole des militants interpellés, présentés comme des non-violents par le site Streetpress. Qui les disait victimes d’agressions «transphobes» dans les commissariats où ils avaient été retenus.
Or le texte publié par « Paris Lutte Info » renie ce pacifisme salonard et confirme que ses militants antifas et transactivistes étaient déterminées à l’action violente. « Nous sommes venus pour en découdre à l’arme blanche et aux explosifs » se vantent-ils.
Écrivant au féminin alors que ce sont des hommes (sans doute écouillés ?) ces énergumènes tempêtent : «Nous sommes violentes et dangereuses car ce monde est violent et dangereux. Nous sommes violentes et dangereuses car nous vivons la violence de la transphobie, du sexisme, de l’hétérosexualité et du capitalisme au plus profond de nos chairs.»
Toujours la même rengaine de l’inversion accusatoire qui fonctionne si bien avec les médias, et à la barre des tribunaux quand on se réclame de l’ultra-gauche. Reconnaître publiquement des délits dont on est fiers, devient une circonstance atténuante, sinon un excuse légitimante !
« Nous sommes celles qui ont formé un black bloc le 6 mai dernier devant Assas, pour perturber la conférence de Stern et Moutot et en découdre avec leurs copains fachos. Nous sommes celles qui ont cramé le compteur électrique et fracassé les vitres de l’école de Marion Le Pen, contre la venue de Stern et Moutot en conférence le 19 septembre, et nous n’aurions pas hésité à en découdre avec ses copains fachos. »
Il y a quand même du rififi entre des canailles qui ne voudraient pas être poursuivies pour leurs sales coups, car qui sait, demain la politique peut changer. Et des crapules qui revendiquent ouvertement leurs délits.
Les seconds désavouent le discours victimaire qui tend à présenter les personnes interpellées comme des militants pacifistes, et se sentent insultés (sic) par toute tentative d’apaisement des tensions. « Il y a eu, et il y aura encore appel à l’insurrection » clament ces chacals enragés.
S’ils ne les tuent pas tout de suite, ils dissuadent les gens de se rendre à leurs dédicaces
Ils ont beau se dire « antifas », leurs méthodes d’intimidation pour faire taire ceux qui ne pensent pas comme eux sont typiquement fascistes. Déjà, leurs menaces ont incité des collectivités publiques et des propriétaires de salles privées à annuler des conférences de Marguerite Stern et Dora Moutot. À Versailles, dans le 17e arrondissement de Paris, et au Café Laïque de Bruxelles, prévu le 22 octobre.
Outre la plainte déposée par leurs avocats, les deux jeunes femmes ont également demandé au ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau de dissoudre les groupements « Paris-Luttes.info » et « Assemblée antifasciste Paname » qui les ont directement menacées, ou ont relayé les menaces de mort à leur encontre. Mais jusqu’à présent, avec la bénédiction du Conseil d’État, les dissolutions ne concernent que les groupes de patriotes qui dénoncent les gabegies et forfaitures du pouvoir.
On leur a promis une surveillance policière chaque fois que cela sera nécessaire pour sécuriser la promotion de leur livre. Mais pour le moment pas question d’une protection permanente, bien que leurs vies soient menacées par des individus dangereux. Conformément à l’adage que nul n’ignore : « Ne vous défendez pas, laissez-vous assassiner, et après on examinera votre plainte avec la plus grande attention. »
À part le soutien de J.K Rowling, la mère de Harry Potter, menacée de mort pour les mêmes raisons, on a assisté à un festival des lâchetés
Ainsi, au cours du week-end du 13 octobre, plusieurs milliers de personnes se disant LGBTQ, venues pour beaucoup de Germanie, ont scandé à Strasbourg « Dora Moutot au fond du Rhin ! ». Elle avait osé écrire sur X : « Je soutiens qu’être une femme n’est pas un sentiment mais une réalité biologique ». Encore des menaces de mort qui n’ont guère secoué la flicaille et le Parquet.
D’autres rassemblements ont eu lieu au cours du week-end à Lyon, Marseille et Montpellier mais aussi en Belgique à Bruxelles et Liège. L’appel à l’émeute et à l’autodafé a été lancé par une ribambelle d’intellos tarés et d’artistes ratés, on a l’habitude, mais aussi par La France insoumise et le Parti socialiste. L’alliance des politicards avec la racaille, c’est ce qu’on appelle l’arc républicain.
L’Hidalgogole mairesse de Paris est allée jusqu’à exiger le retrait de l’ouvrage des vitrines qui le présentaient. Tandis que circulent sur les réseaux sociaux des vidéos où l’on reconnaît des élus de gauche qui entrent dans des librairies pour bousculer les clients et les empêcher d’acheter « Transmania ». Ce qui ne l’empêche pas d’être depuis six mois parmi les meilleures ventes sur Amazon. Effet Streisand ? Merci les cenSSeurs !
Christian Navis
Extrait de: Source et auteur
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