Les auteurs sont généralement arrivés en Europe en tant que « réfugiés ». La Suisse en accueille elle aussi des dizaines de milliers chaque année, souvent sans papiers, avec une identité inconnue. La plupart ne sont pas des réfugiés. Ce sont pour la plupart des hommes originaires de pays musulmans qui traversent de nombreux pays tiers sûrs pour se rendre dans le pays d’asile de leur choix. Ils abusent de notre système d’asile.
Celui qui a foulé une fois le sol suisse y reste : Celui qui n’obtient pas l’asile est admis provisoirement. Ceux qui n’y parviennent pas non plus restent illégaux. Même les criminels qui bafouent nos valeurs peuvent généralement rester : Un renvoi est déjà considéré comme déraisonnable si les hôpitaux du pays d’origine ne sont pas de niveau suisse. C’est inacceptable pour notre population car cela entraîne des coûts exorbitants et nuit à notre sécurité !
Après des cas comme celui de Solingen, les politiciens en Suisse réagissent toujours avec horreur et exigent des mesures. Mais dès que les choses se concrétisent, l’UDC se retrouve seule. Avec cette politique de l’autruche irresponsable, la majorité de centre-gauche met en péril la sécurité de notre population.
Nous sommes à la limite du point de non-retour si nous voulons éviter la même terreur que celle qui gagne l’Allemagne. Des cas similaires se sont déjà produits. Et le Service de renseignement de la Confédération met en garde contre un nombre de musulmans radicalisés supérieur à la moyenne dans notre pays.
Le lien entre criminalité et migration ne doit plus être enjolivé. Les frontières ouvertes, la culture de l’accueil et le romantisme multiculturel ont fait leur temps. Ceux qui abusent de notre droit d’accueil doivent en subir les lourdes conséquences.
La migration incontrôlée des demandeurs d’asile doit être stoppée :
- Les frontières suisses doivent être strictement contrôlées.
- Le droit d’asile pour les personnes provenant de pays tiers sûrs doit être supprimé.
- Les migrants criminels doivent être systématiquement expulsés, y compris vers l’Afghanistan ou la Syrie.
- Il faut mettre fin à l’admission provisoire des non-réfugiés : Ils doivent quitter la Suisse – tout comme les clandestins et les personnes qui ne veulent pas s’intégrer.
- L’accueil des Afghans et des Syriens doit être stoppé.
La sécurité de notre propre population passe avant tout ! Pour que la même terreur qui gagne l’Allemagne n’atteigne pas la Suisse, signez dès aujourd’hui l’initiative pour la protection des frontières !
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