Allemagne : rassemblement dans le parc dans lequel Philippos Tsanis, un gréco-polonais de 20 ans, a été battu à mort par un groupe de jeunes la semaine dernière ; l’auteur principal est un Syrien arrivé en 2016 en tant que demandeur d’asile

 

Philippos Tsanis (20 ans) a été brutalement battu et roué de coups de pied par un groupe d’hommes inconnus après le bal de sa petite sœur. Il est mort de graves lésions cérébrales. BILD montre la photo avec le consentement de sa famille

Selon les informations de BILD, le principal auteur présumé est un Syrien de 18 ans qui vit dans une maison d’asile au centre de la ville thermale et dont la famille est arrivée en Allemagne en 2016. « Focus » rapporte que la famille a déménagé de Pforzheim à Bad Oeynhausen en 2021. 

Il est 1h30 du matin dimanche soir lorsque la société de bal Abitur du Minden Ratsgymnasium se réunit au Kaiserpalais de Bad Oeynhausen (Rhénanie-du-Nord) se dissout lentement. Alors que les autres continuent de faire la fête dans le « Adiamo Dance Club » au sous-sol de l’immeuble, Philippos Tsanis (20 ans) se bat pour sa vie à quelques mètres de là.

Le suspect syrien Mwafak A.

Le samedi soir, le natif de Minden accompagne sa jeune sœur à son bal de fin d’année. C’est censé être son grand soir – toute la famille est là. Philippos la prend fièrement en photo, capture chaque seconde.

Puis Philippos quitte la fête avec son meilleur ami vers 1h30 du matin. On ne sait pas si les jeunes se rendront à la discothèque ou s’ils voudront rentrer chez eux. À quelques mètres seulement du lieu de la célébration, ils rencontrent ensuite une escouade de voyous brutaux de dix hommes.

Une dispute s’ensuit, qui dégénère rapidement. Encore et encore, les hommes ont battu Philippos et son ami. L’ami n’est que légèrement blessé. L’un des voyous, un jeune homme à l’allure méridionale avec une moustache et une veste Adidas orange fluo, traîne Phillippos à l’écart et l’avoir battu pendant si longtempsjusqu’à ce que sa victime reste inconsciente au sol. Les témoins ne voient que les voyous brutaux s’enfuir et composent le numéro d’urgence.

BILD / FAZ / GreekCityTimes / BILD

 

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