Les enfants afghans et syriens en Allemagne racontent qu'ils vont frapper les filles allemandes, et même, je cite, tirer sur la fille si elle porte une jupe à la foire.
C'est cette mentalité qui est importée en masse.
Des remigrations massives sont considérées comme inévitables par certains acteurs politiques et chercheurs. Voir l'entretien ci-dessous.
Afghan and Syrian kids in Germany talk of how they'll hit German girls, even, and I quote; shoot the girl if she wears a skirt to the fair.
This is the mindset being imported en masse.
Mass deportations needed. pic.twitter.com/col40zFOjW
— Tommy Robinson 🇬🇧 (@TRobinsonNewEra) June 22, 2024
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Pourquoi les musulmans ne peuvent pas, ne veulent pas et n’ont pas besoin de s’intégrer Par Nicolaï Sennels
CET ARTICLE EST UNE LECTURE INCONTOURNABLE POUR TOUS CEUX QUI NE SONT PAS ENCORE FAMILIARISÉS - EN PROFONDEUR - AVEC LES PROBLÈMES DERRIÈRE LE JIHAD ISLAMIQUE ET LES NOUVELLES POPULATIONS MUSULMANES EN OCCIDENT.
Voici un entretien passionnant avec un psychologue danois qui a travaillé avec plus d'une centaine de jeunes criminels musulmans incarcérés dans une prison de Copenhague. Il expose les facteurs qui différencient les musulmans et explique pourquoi ils ne parviennent pas à s'intégrer avec succès dans les sociétés occidentales. Son livre Among Criminal Muslims: A Psychologist' Experience from a Copenhagen Municipality, devrait être publié prochainement en anglais.
L'intervieweur est Jamie Glazov de Front Page Magazine (FP). Il y a ici des informations très importantes.
(Pointe du chapeau Al Rowley)
FP: Nicolai Sennels, bienvenue sur Frontpage Interview.
J'aimerais vous parler aujourd'hui de votre expérience de travail avec de jeunes criminels musulmans dans une prison de Copenhague. Commençons par parler de la manière dont vous êtes entré dans votre métier.
Sennels: Merci Jamie.
Eh bien, beaucoup de gens pensent que j'ai accepté le travail en prison parce que je voulais examiner de plus près la mentalité musulmane, l'échec de l'intégration et l'islam. Mais je ne l'ai pas fait ainsi. Je cherchais simplement un emploi et après avoir travaillé comme assistant social auprès d'adolescents pendant plusieurs années à temps partiel tout en étudiant à l'Université de Copenhague pour devenir psychologue, il était naturel pour moi de postuler pour un emploi impliquant des mineurs délinquants. Je ne savais pas que sept adolescents sur dix dans les prisons pour jeunes danois moyens sont d'origine musulmane. Étant donné que j'étais le premier psychologue de l'institution, j'étais très libre de développer ma position de psychologue.
La tâche principale était de connaître les besoins pédagogiques et thérapeutiques des jeunes et de développer des méthodes thérapeutiques adaptées à ces besoins. Et c’est ce que j’ai fait et c’est de cela que parle mon livre. Ce qui est inhabituel dans mon travail, c'est que j'ai découvert que mes clients musulmans présentaient certaines caractéristiques psychologiques que mes clients non musulmans – principalement danois – n'avaient pas.
Ils avaient tous entre 15 et 17 ans, la plupart présentaient un comportement antisocial et une grande partie des deux groupes venait de foyers avec un certain manque de soutien affectif. Je suppose que neuf sur dix étaient des garçons et, même si la plupart venaient de foyers qui fonctionnaient moins bien, j'avais aussi de nombreux clients musulmans et danois dont les parents et les frères et sœurs aînés étaient bien éduqués, avaient un travail normal, etc.
J'ai travaillé dans la prison pendant un peu moins de trois ans et j'avais environ 150 clients musulmans et 100 clients danois. J'ai mené des thérapies de groupe et des thérapies individuelles et, avec un si grand nombre de clients musulmans et non musulmans, j'avais un matériel de base relativement important pour comprendre et comparer leur développement psychologique et les conditions sous-jacentes qui influencent ce développement. Les projets de recherche « réels » normaux de ce type – composés de longs entretiens et de plusieurs entretiens qualitatifs – n’ont le plus souvent que 20 à 30 sujets comme matériel de référence.
FP: Ok, alors certaines de vos conclusions?
Sennels: Eh bien, une conclusion importante est qu’avoir été élevé dans un environnement musulman – avec des parents et des traditions musulmanes – comporte le risque de développer certains modèles antisociaux.
Environ deux tiers de tous les adolescents accusés d'actes criminels à Copenhague sont d'origine musulmane. Depuis des années, l'explication de ce phénomène est que les musulmans sont victimes de discrimination de la part des employeurs danois et sont donc incapables de trouver un emploi. La conséquence est que les musulmans sont pauvres – et cette pauvreté est alors responsable du taux de criminalité élevé parmi les jeunes hommes musulmans.
(Note Alan: cela ne rappelle-t-il pas un peu l'analyse des « défis » des communautés afro-américaines aux États-Unis?)
En tant qu'humaniste et psychologue, je dois dénoncer et m'opposer à cette explication erronée. Expliquer le développement psychologique et les schémas mentaux et comportementaux humains complexes en soulignant le montant des couronnes, des euros ou des dollars qui arrivent sur le compte bancaire d'une personne chaque premier jour bancaire du mois est une vision très matérialiste et bidimensionnelle de l'être humain.
Ce qui détermine avant tout nos actions, c’est notre propre libre arbitre et notre motivation – qui sont avant tout influencées par le cadre émotionnel, culturel et, dans certains cas, religieux dans lequel nous avons grandi.
Il est facile d’établir un lien statistique entre la pauvreté et le comportement criminel – mais qu’est-ce qui vient en premier?
J'ai vu beaucoup de jeunes adolescents semer les graines de leur propre chômage futur en n'allant pas à l'école, en salissant leur casier judiciaire et en développant des habitudes sociales peu attrayantes telles que l'agressivité, l'insécurité et le manque de respect envers les autorités.
FP: Avez-vous constaté de réelles différences entre les musulmans venant de différentes parties du monde musulman?
Sennels: Mon expérience de travail avec les musulmans est que la culture développée sous l'influence islamique favorise le développement de certaines caractéristiques psychologiques. J'avais des clients musulmans dans la plupart des pays musulmans: la plupart du Moyen-Orient, les pays musulmans d'Afrique, le Pakistan et l'ex-Yougoslavie. Je n'ai pas enregistré de différences majeures entre les mentalités entre ces pays. La seule véritable importance pour déterminer l'impact de la mentalité musulmane était de savoir si le client lui-même s'identifiait fortement comme appartenant ou non à la société musulmane. Il y avait une différence quantitative entre les musulmans souvent moins islamiques de l'ex-Yougoslavie et les clients du Moyen-Orient qui s'identifiaient pour la plupart fortement comme étant musulmans.
La plupart de mes 150 clients musulmans exprimaient une grande loyauté envers leur Dieu, Allah et leur prophète, mais moins de la moitié pratiquaient activement l'Islam en faisant leurs prières, en étudiant le Coran, etc. le groupe pratiquant et le groupe que l’on pourrait qualifier de croyants loyaux mais passifs. Vu de la salle de thérapie, la mentalité issue de l'influence islamique sur les sociétés où il constitue le système de valeurs dominant est si fortement enracinée dans la culture que les musulmans sont influencés par ses dogmes et ses valeurs, même s'ils prient, ou pas, cinq fois par jour et savent réciter le Coran.
FP: Dessinez-nous un profil psychologique de la culture musulmane. Comment le fait de grandir dans une telle culture façonne-t-il l'esprit et le comportement d'un être humain?
Sennels: Les caractéristiques les plus importantes que j'ai trouvées concernent l'agressivité, la confiance en soi, la responsabilité individuelle et l'identité.
Concernant la colère, il devient rapidement clair que les musulmans en général ont une vision différente de l’agression, de la colère et des comportements menaçants par rapport aux Danois et probablement à la plupart des pays occidentaux.
Pour la plupart des Occidentaux, c’est un signe de faiblesse embarrassant si les gens se mettent en colère. Cette vision de la colère est probablement déjà consolidée dans la petite enfance. Je travaille comme psychologue scolaire depuis plusieurs années et le harcèlement est un problème persistant dans les écoles dans lesquelles je travaille.
Ce qui est intéressant, c’est que les enfants les plus susceptibles d’être victimes d’intimidation sont ceux qui se mettent le plus facilement en colère. Si les gens se mettent en colère, nous avons tendance à perdre tout respect à leur égard et, dans de nombreux cas, nous essayons de les taquiner pour les provoquer encore plus – dans le but pédagogique d'aider la personne à prendre conscience du caractère enfantin de son comportement.
Essayer d'obtenir sa volonté en agissant de manière agressive ou en recourant à des menaces est considéré comme immature et notre réaction est souvent de les ridiculiser ou simplement de les ignorer. Ainsi, le moyen le plus court de perdre la face dans notre culture occidentale est de manifester de la colère.
C’est complètement le contraire dans la culture musulmane. Alors que la plupart de mes clients danois qui avaient des problèmes de colère s'en sentaient gênés, aucun de mes clients musulmans ne semblait jamais comprendre notre point de vue sur la colère. J'ai passé d'innombrables heures à suivre une thérapie de gestion de la colère avec des clients danois et musulmans et j'ai donc eu de très bonnes occasions de découvrir les différences culturelles concernant cette émotion spécifique, les façons de la gérer et d'y réagir.
Dans la culture musulmane, on s’attend à ce qu’une personne fasse preuve de colère et ait un comportement menaçant si elle est critiquée ou taquinée. Si un musulman ne réagit pas de manière agressive lorsqu’il est critiqué, il est considéré comme faible, indigne de confiance et perd ainsi immédiatement son statut social.
Ce cocktail de différences culturelles a déclenché le débat en cours sur la liberté d’expression partout dans le monde. Les critiques et les plaisanteries du monde libre à l'égard de l'Islam suscitent colère et menaces de terreur. Lorsqu'un caricaturiste danois montre le prophète des musulmans avec une bombe dans son turban pour illustrer le fait que Mahomet a perpétré des dizaines de massacres et appelé au jihad mondial violent contre les non-musulmans, la réaction des dirigeants musulmans et de leurs partisans a précisément été de confirmer le dessin de Westergaard. : Ils ont répondu par le jihad à tous les niveaux possibles – menaces de génocide, terrorisme, boycott économique, poursuites judiciaires et recours aux systèmes démocratiques de nos pays, de l’UE et de l’ONU pour contester et détruire nos lois sur la liberté d’expression.
La sagesse et le courage de n'importe quel enfant dans n'importe quelle cour d'école face à des personnes utilisant l'agressivité pour cacher leur propre insécurité à cause d'un simple dessin conduiraient à davantage de plaisanteries et de logique comme moyen de souligner pédagogiquement les faiblesses humaines évidentes. Malheureusement, la plupart de nos politiciens ne sont pas aussi sages et courageux que l’écolier moyen.
FP: Développez un peu les différences entre les cultures musulmanes et occidentales en termes de confiance en soi.
Sennels: Le concept d’honneur dans la culture musulmane est – tout comme dans le cas de la colère – à l’opposé de notre vision occidentale. Il est courant dans la culture musulmane d'être extrêmement conscient de son statut dans le groupe, de l'opinion que les autres ont de lui-même et de tout signe de critique de quelque nature que ce soit. La réaction agressive à tout ce qui peut mettre une personne en danger est considérée comme l’expression d’un comportement honorable.
Mais qu’y a-t-il d’honorable là-dedans? Quel genre d'honneur doit être défendu par tous les moyens nécessaires – y compris l'abolition des droits humains des femmes, comme le droit de choisir ses propres partenaires sexuels, ses vêtements, son mari et son style de vie? Qu’y a-t-il d’honorable dans la colère et dans l’incapacité à ignorer les provocations et à gérer les critiques de manière constructive?
Après avoir écouté plus d'une centaine d'adolescents musulmans raconter leurs histoires sur leurs sentiments, leurs pensées, leurs réactions, leur famille, leur religion, leur culture, la vie dans leurs ghettos musulmans et dans leur pays d'origine, il m'est apparu clairement que pour un musulman, un tel comportement est l'essence même du maintien de son honneur.
Mais vu par les yeux de la psychologie occidentale, tout cela n’est que l’expression d’un manque de confiance en soi.
Selon nous, la base pour être authentique et honorable est de connaître ses forces et ses faiblesses – et de les accepter. La capacité de penser « votre opinion sur moi, pas la mienne – et la mienne comptent à mes yeux » lorsqu’on vous provoque et d’être suffisamment mature pour gérer les critiques de manière constructive est une source de statut social dans le monde occidental.
Malheureusement, la conception musulmane de l'honneur transforme, en particulier les hommes, en personnalités fragiles, semblables à du verre, qui ont besoin de se protéger en effrayant leur entourage par leur attitude agressive.
(Note d'Alan : comme on le voit dans les coups de poitrine des gorilles ou dans les attitudes purement menaçantes d'un petit éléphant)
Les manifestations de colère dite narcissique sont très courantes chez les musulmans. La peur des critiques n’est - dans bien des cas - pas loin de la paranoïa. Ce n’est pas sans raison que l’auto-ironie et l’autocritique sont totalement absentes des sociétés musulmanes. Vu d'un point de vue psychologique – dont le but est de produire des individus sûrs d'eux, heureux, libres, aimants et productifs ; et non de plaire à un Dieu haineux ou à des traditions culturelles – la culture musulmane est à bien des égards psychologiquement malsaine pour grandir.
FP: OK et comment la responsabilité individuelle s’intègre-t-elle dans tout ça?
Sennels: Pour discuter de la responsabilité individuelle, je dois d'abord présenter aux lecteurs le terme psychologique « lieu de contrôle ».
Le lieu de contrôle concerne le fait que les gens voient leur vie principalement influencée par des facteurs internes ou externes. Dans notre culture occidentale, nous considérons les facteurs intérieurs comme plus importants que les facteurs extérieurs. Notre point de vue, notre façon de gérer nos émotions, notre façon de penser, notre façon de réfléchir, notre façon de réagir sont tous considérés comme des façons dont nous décidons de notre propre vie. Nous ne sommes peut-être pas toujours conscients de notre façon de penser, etc… et toute une industrie est apparue de ce fait. En effet, les psychologues, thérapeutes, psychiatres, coachs ainsi que d'innombrables livres et magazines d'auto-assistance regorgent dans nos sociétés et visent tous à nous aider à prendre conscience de la manière dont nous décidons de notre propre vie.
Rien de tout cela n’existe dans le monde musulman. Les quelques psychiatres dont ils disposent sont souvent formés en Occident et la psychologie et la pédagogie qui existent dans les pays musulmans n'ont pas de racines dans la culture musulmane mais sont des idées importées de l'Occident.
Ainsi, lorsqu’un Occidental rencontre des problèmes, il se demande : « Que puis-je changer en moi/ma vie pour devenir plus heureux ? » Cette mentalité s'est clairement manifestée chez mes clients danois. Il était profondément ancré en eux que parler de soi peut être un moyen de trouver de meilleures façons de gérer sa propre vie.
Avoir des clients musulmans sur mon canapé, c'était dans la plupart des cas comme si quelqu'un d'une autre planète me rendait visite. Dans des conditions normales, Occidentaux et musulmans peuvent communiquer relativement facilement – à condition que cela n’implique pas de critiques. Mais dans un contexte où tout le concept est centré sur le fait que le client musulman doit parler de ses propres sentiments et pensées parce que le psychologue pense que cela l'aidera à devenir plus heureux et capable de vivre de manière constructive, la « chaîne du vélo tombe» comme on dit au Danemark.
Ils hochent la tête : comment pourraient-ils devenir plus heureux s'ils exposent les faiblesses qu'on leur a appris depuis leur naissance à cacher pour conserver leur honneur ? Pas question, José. J’ai finalement réussi à développer une méthode thérapeutique qui pourrait dans une certaine mesure répondre à ces difficultés culturelles, mais la thérapie et la mentalité musulmane ne deviendront probablement jamais de véritables alliés/amis.
Un aspect important de cette différence concernant le lieu de contrôle est que les personnes qui voient leur propre vie principalement guidée par des facteurs extérieurs – un Dieu redoutable, un père puissant, des imams influents, des traditions culturelles anciennes mais fortes – développent très facilement une mentalité de victime.
Ce n’est donc pas sans raison que les complots et le fait de blâmer les non-musulmans occupent une place si centrale dans la rhétorique et la politique des dirigeants musulmans. Cette mentalité de victime domine également la mentalité des immigrés musulmans, qui réclament souvent un soutien économique et une islamisation de nos sociétés pour satisfaire leurs besoins personnels.
FP: Eh bien, il devient assez évident pourquoi les musulmans ne peuvent pas s'intégrer dans notre société occidentale. Cristallisons nos raisons.
Sennels: Mon expérience est qu'il faut trois choses pour pouvoir s'intégrer. Vous devez le vouloir, vous devez y être autorisé et vous devez en être capable. Très peu d’immigrés musulmans remplissent ces trois critères.
Nous devons d’abord nous demander : pourquoi les immigrés musulmans devraient-ils vouloir s’intégrer ?
Ils peuvent vivre leur culture, recevoir suffisamment d’argent et mener une vie sociale pleinement opérationnelle avec leurs amis musulmans sans même apprendre notre langue – ni même travailler.
Il n’y a vraiment rien qui nécessite une intégration.
Bien sûr, il existe des immigrés musulmans qui souhaitent s'adapter au mode de vie et à la mentalité de leur nouveau pays, mais ils sont très peu nombreux.
En France, seuls 14 % des millions d’immigrés musulmans se considèrent comme « plus français que musulmans ». En Allemagne, seuls 12 % des musulmans s’identifient comme plus allemands que musulmans.
Une enquête menée au Danemark a montré que seulement 14 pour cent des musulmans vivant ici peuvent s'identifier comme étant danois et ayant un esprit démocratique. D’après mon expérience, mes clients musulmans ne considèrent pas leur identité musulmane comme compatible avec un style de vie occidental. Être musulman signifie également que vous vous considérez comme très différent et même comme une meilleure personne que les non-musulmans. Cette mentalité mène facilement à l’apartheid et au racisme.
C'est probablement la raison pour laquelle, même si les immigrés musulmans sont cinq fois plus violents que les Danois de souche – selon les statistiques de la criminalité – trois victimes de violence sur quatre sont danoises.
Le deuxième critère – pouvoir s’intégrer – n’est pas non plus très courant. Il existe un contrôle social extrêmement fort dans la société musulmane.
Tout le monde surveille tout le monde et si quelqu’un ne respecte pas le codex culturel ou religieux, il fait l’objet de vives critiques et risque d’être exclu de sa société – souvent même de sa propre famille. Dans le pire des cas – et il y en a beaucoup – en particulier les femmes musulmanes – vivent sous une menace constante de mort qui les empêche d'entrer dans notre style de vie occidental qui inclut des droits humains tels que celui de choisir ses propres partenaires sexuels, son style vestimentaire, ses amis, sa religion et son style de vie en général. La plupart de mes clients musulmans considéraient leur origine religieuse et culturelle comme le summum de la civilisation et de la moralité – les quitter serait perçu comme une sorte d’apostasie culturelle et religieuse par leurs proches.
De tels actes ont souvent de graves conséquences, non seulement au sein des gangs comme les Hells Angels et d’autres communautés tribales, mais aussi – et surtout – parmi les musulmans.
Finalement, il faut avoir les capacités requises pour s'intégrer dans une autre culture. Cela implique de changer une partie de l'identité d'une personne, passant de l'appartenance à un groupe, à l'appartenance à un groupe ayant des valeurs et des traditions culturelles complètement différentes.
Il ne s'agit pas simplement de changer une mauvaise habitude comme arrêter de fumer : l'intégration va bien plus loin dans la psychologie de l'individu. J'ai rencontré quelques filles musulmanes qui, dans le cadre d'une rébellion d'adolescentes d'inspiration occidentale, voulaient s'intégrer et ne se souciaient pas de ne pas y être autorisées. Ces filles ne possédaient pas les capacités requises et se sont retrouvées dans des crises d’identité complètes, se déchaînant, se droguant et ayant des relations sexuelles aléatoires avec toutes sortes d’hommes étranges, etc.
C’est pour ces raisons que je suis totalement convaincu que l’intégration musulmane ne se réalisera jamais dans la mesure nécessaire.
FP: Quelle est votre vision de l’avenir de l’Europe compte tenu de l’augmentation fulgurante de la population musulmane ?
Sennels: Nous nous trouvons dans une situation historiquement embarrassante dans laquelle nous avons invité sur notre continent des millions de personnes qui ne veulent pas et ne sont pas en mesure de s'intégrer.
Puisque l’intégration des musulmans n’aura jamais lieu – un fait qui, je pense, a déjà été prouvé il y a des années – nous nous retrouverons avec une partie importante de notre population qui œuvrera activement à l’islamisation de nos sociétés.
Il existe des musulmans et des non-musulmans qui considèrent cette islamisation comme un jihad islamique – mais c’est bien plus que cela : c’est la nature humaine.
Les personnes qui ne se sentent pas chez elles là où elles vivent s’efforceront naturellement de changer d’environnement.
Les tentatives des musulmans pour islamiser nos sociétés ne font que commencer – car ils se sentent de plus en plus forts en puissance et en nombre. Ce processus est poussé par les dirigeants musulmans à l’intérieur et à l’extérieur de l’Europe et soutenu dans son cheminement par une sorte de lâcheté collective appelée le politiquement correct.
Le Forum économique mondial a publié une vaste enquête menée dans 12 pays musulmans et 12 pays non musulmans dans son rapport « L’Islam et l’Occident : rapport annuel sur l’état du dialogue, janvier 2008 ». Le rapport montre dans son ensemble une grande méfiance entre les deux groupes de pays et révèle de forts sentiments d'inimitié.
La dernière question de l’enquête est : « Pensez-vous que les conflits violents entre les mondes musulman et occidental peuvent être évités ou non ? »
Le rapport montre qu'une majorité des populations des 24 pays estiment qu'un tel conflit peut être évité. Mais dans le même temps, une majorité des 22 pays pensent que « l’interaction entre le monde musulman et occidental s’aggrave ».
La majorité des gens n'ont toujours pas perdu espoir, mais en même temps, une majorité voit cet espoir devenir de plus en plus petit.
Alors que les immigrants musulmans poussent à l’islamisation et que les Européens de souche se sentent de plus en plus exploités et menacés par des communautés musulmanes croissantes et toujours plus violentes, une guerre civile à l’échelle du continent pourrait devenir inévitable.
Nous sommes déjà en route vers nos propres bandes de Gaza islamiques européennes où les autorités non islamiques se heurtent à des jets de pierres et à des foules en colère tandis que les autorités islamiques telles que les imams, les groupes d'hommes âgés et les tribunaux de la charia instaurés [ndlr sans aucune base légale] sont libres d'exercer leur pouvoir. .
De tels développements sont très alarmants et devraient être confrontés à des effectifs policiers importants, à des lois strictes, à des réductions du soutien économique aux familles ayant plus d'enfants que la moyenne du pays et à des exigences pour que les organisations et dirigeants musulmans réforment leur version de l'Islam.
Je suppose que nous verrons davantage de policiers morts et d’enlèvements comme moyen de négocier la libération des religieux musulmans ou des chefs de gangs emprisonnés, des bombes terroristes, un soutien économique et pratique des pays musulmans aux communautés musulmanes ici en Occident.
Les ressources économiques et policières sont déjà épuisées par les nombreuses conséquences de l’immigration musulmane et la nécessité d’une réforme en profondeur de notre système de protection sociale et d’une implication de l’armée qui est inévitable à long terme.
Le sentiment de sécurité et de cohérence sociale a déjà disparu depuis longtemps dans de nombreuses régions de centaines de villes européennes en raison du comportement antisocial des musulmans et de leur hostilité envers les non-musulmans.
À mon avis, le plus grand danger est que l’Européen commun sombre dans de forts sentiments négatifs et que la population et nos autorités se sentent obligées de compromettre nos propres valeurs humanistes afin de surmonter la catastrophe.
Plus tôt nous traiterons les problèmes, plus grandes seront nos chances de conserver nos valeurs humaines importantes et uniques.
FP: C'est assez déprimant de voir ce que le politiquement correct et la gauche ont accompli en engendrant et en supervisant cette infiltration musulmane dans notre société.
La gauche voulait détruire sa société d’accueil et elle a astucieusement trouvé comment y parvenir grâce à l’arme du « multiculturalisme ». Parlons un peu des domaines dans lesquels tout cela n'est peut-être pas désespéré, de la manière dont ceux d'entre nous qui se soucient des valeurs de la société peuvent riposter. Que pouvons-nous faire pour éviter la capitulation dans laquelle l’Occident est engagé à l’heure où nous parlons ?
Sennels: Eh bien Jamie, permettez-moi d'abord de souligner que notre « capitulation » pour ainsi dire ne serait pas suffisante.
Seule une conversion massive satisferait aux règles du Coran et de ses prédicateurs.
Et même si les dirigeants musulmans prétendent sans cesse que la seule façon d’assurer la paix et la moralité mondiales est que l’humanité entière devienne les disciples de leur prophète, je n’en suis pas si sûr : les pays musulmans sont nettement moins pacifiques et moins moraux en ce qui concerne la liberté d’expression, les droits de l’homme et la moralité. Le respect de la vie humaine est clairement moins présent sous le régime islamique que partout ailleurs.
Outre mes suggestions mentionnées ci-dessus, le monde occidental doit mettre un terme complet à l’immigration musulmane et aux immigrants non occidentaux qui n’ont pas encore obtenu la citoyenneté.
Ils doivent soit remplir une longue série de critères concernant l’intégration, soit quitter le pays. Les réfugiés musulmans ne devraient pas pouvoir obtenir la citoyenneté permanente.
Je voudrais mentionner que le prix moyen pour héberger un demandeur d'asile au Danemark est de 33 000 euros (45 000 dollars américains) par an. Selon le HCR, le prix pour aider un réfugié dans un camp de réfugiés proche de son propre pays est de 33 euros (45 dollars américains).
Nous devrions en général rendre la situation si désagréable et le désavantage économique si grand que les conséquences de la non-intégration motiveraient les résidents musulmans à émigrer – de préférence vers un pays musulman où ils peuvent vivre dans une culture dont ils connaissent déjà la langue, la culture et la religion. et ne vivent pas sous la pression de l'intégration et ne se sentent pas stigmatisés par les organisations anti-immigration et les critiques de l'Islam.
(Note d'Alan : les pays arabes ont refusé d'accepter des réfugiés musulmans « palestiniens » dans leur pays, de leur donner la citoyenneté et de les intégrer, de sorte qu'ils sont plus durs dans leurs actions islamiques que ne l'a été l'Occident, même avec cet ensemble radical de suggestions).
Les amoureux et protecteurs responsables de notre culture occidentale devraient s’efforcer d’écrire des lettres aux éditeurs, et les blogueurs Internet doivent s’assurer que les informations que nos principaux médias évitent consciemment de publier soient connues. Nous devons créer une ONU exclusivement réservée aux pays démocratiques et le pouvoir de l'UE d'imposer l'immigration à ses États membres doit être supprimé.
Le pétrole ne devrait être utilisé que pour le transport, tandis que le chauffage devrait être remplacé par l’énergie verte et l’énergie nucléaire – pour éviter de dépendre du pétrole arabe.
FP: Nicolai Sennels, merci de vous joindre à nous. Vous avez partagé avec nous de sombres réalités et des avertissements. Je prie pour que l’Occident finisse par acquérir la volonté et la capacité de se défendre.
(Note d'Alan : l'humour d'autodérision et les taquineries existaient et, dans une certaine mesure, restent vivants en Iran parmi la population issue de millénaires enracinés dans la culture préislamique).
Source : http://noiri.blogspot.com/2010/12/why-moslems-cannot-will-not-need-not.html
Et vous, qu'en pensez vous ?