Même si la conférence du Bürgenstock débouche sur des résultats mitigés, l’engagement des deux ministres récolte, en Suisse, des commentaires bienveillants – excepté à l’UDC. La présidente Viola Amherd a cependant mieux tiré profit de la visibilité que son collègue libéral-radical
Le sommet international du Bürgenstock s’achève, et pour deux dirigeants, la pression retombe encore plus que pour les autres. Viola Amherd et Ignazio Cassis, car c’est bien d’eux qu’il s’agit, ont porté et échafaudé l’organisation durant près de six mois, au fil de dizaines de rencontres, de visites, d’entretiens téléphoniques et de séances avec leurs homologues du monde entier. Leurs équipes de collaborateurs les ont bien sûr considérablement soutenus. Mais la pression pesait sur la présidente de la Confédération et le ministre des Affaires étrangères. Ceux-ci ont affronté les critiques et le scepticisme, que ce soit à l’intérieur ou à l’extérieur de nos frontières, et ont servi de cible, si l’on pense aux attaques verbales primitives de la Russie contre Viola Amherd.
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C’est en 2014 qu’il aurait fallu organiser ce genre de réunion pour la Paix en Ukraine.
Au début d’un conflit, c’est plus facile de faire venir à la table de négociation tous les protagonistes.
Reste à savoir : quelle était la volonté en 2014 de nos gouvernements … !! Mystère.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Guerre_du_Donbass