Ndlr.C’est évidemment une vaste désinformation et le signe d’une grosse peur des futurs succès des partis en réalité patriotes et conservateurs, qui n’ont rien à voir avec l’extrême droite. Cette dernière, la vraie extrême droite, définie par des spécialistes sans intention idéologique, est hostile aux principes démocratiques, fait appel à la violence, voire au terrorisme, stocke parfois des armes, est autoritaire, voire totalitaire, comme le devient l’UE qui prépare un vrai coup d’état en voulant un pouvoir centralisateur, dit fédéraliste! gouvernant par ukases, et qui veut mettre fin aux décisions à l’unanimité des pays, et qui a été fondée par des nazis! La vraie extrême droite est prête à tuer et à assassiner; les médias qualifient à juste titre, pour une fois, des tueurs de masse comme Brevik et autres tueurs de masse ou individuels comme relevant de l’extrême droite. Idem lorsqu’on trouve de véritables arsenaux chez certains groupes d’individus fanatisés idéologiquement. De plus en plus de citoyens se rendent compte de cette tentative continue de disqualification des partis populaires que les désinformateurs ont eux-mêmes créés par leur incompétence et leur soumission aux pires dérives idéologiques destructrices de nos sociétés.
Le commissaire européen au marché intérieur était l'invité du "Face-à-Face" sur BFMTV-RMC ce lundi 13 mai. Après avoir parlé d'économie, Thierry Breton s'est exprimé sans mâcher ses mots sur les partis politiques extrêmes qui siègent au Parlement de Strasbourg.
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Réf., Ndlr.
La nazicophobie est une propension misérable à capituler, avant même que d’engager le combat. Ce besoin de se «justifier» à propos de mouvements politiques et de faits historiques qu’on n’a pas pris la peine d’examiner à leur juste valeur, motif et portée, puisque soulevé(s) d’insane horreur et d’indignation aussi farouche qu’incontrôlée… Se justifier devant une histoire qui ne nous regarde pas, puisque que nous n’avons le courage, non plus que la liberté, désormais, d’étudier et de juger… Cela pour «porter» un patriotisme qui n’existe plus… porter du vent, donc, alors qu’il s’agit plutôt de rebâtir ce que le vent a emporté… Misère et déréliction.
La nazicophobie, véritable lieu commun, passage obligé au travers d’un océan de fantasmes puérils et invalidants, signe et la fin de l’histoire, et la fin du politique des nations condamnées. Comme aussi, d’un manque rédhibitoire de fine et profonde psychologie chez ceux qui s’adonnent à cette «passion triste» (Spinoza) en prétendant par ailleurs, promouvoir la force dans la joie, l’unique voie d’un patriotisme ni chauvin, ni crétin mais généreux et solide.
Mais quoi d’étonnant à cela, quand, parmi des conservateurs n’ayant rien conservé, et de prétendus dissidents, depuis bien plus d’un demi-siècle, l’art du ballon rond consiste à placer des auto-goals, et de rentrer fissa à la niches, au premier coup de trompe du nazique (Nasalis larvatus). Alors on reporte des crimes monstrueux, contemporains ceux-ci, à l’extrême-droite, sans même s’interroger si, collectivement, notre lassitude et notre manque de lucidité et de détermination, n’y serait aussi pour quelque chose…
Et lui en tenant de tels propos il détruit toute l’Histoire de France, les racines des français. NON on oblige pas un peuple contre son gré ! NON sous de fallacieux prétextes d’asservissement déguisé, on n’impose pas ses caprices d’enfant gâté qui regarde ses congénères de haut. Alors Thierry si tu ne veux pas finir toi aussi dans la poubelle de l’histoire, ressaisit-toi !