Un journaliste de watson a une nouvelle fois été prié de remettre ses notes. C'était mardi à l'Université de Genève. Un confrère du Temps raconte sa mésaventure au même endroit.
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Un journaliste de watson a une nouvelle fois été prié de remettre ses notes. C'était mardi à l'Université de Genève. Un confrère du Temps raconte sa mésaventure au même endroit.
Pour la deuxième fois en une semaine, votre serviteur s’est vu prier de remettre les pages de notes qu’il avait prises sur son calepin. Une première fois, vendredi, à l’Unil (Lausanne), une seconde fois, mardi, à l’Unige (Genève). Et ce, chaque fois après qu’une personne de la team médias, seule habilitée à parler à la presse, fut intervenue lors d’un entretien avec un tiers, alors que l’anonymat de ce dernier pouvait être garanti. Ces procédés sont attentatoires aux usages démocratiques.
Extrait de: Source et auteur
La gauchiasse dans toute sa splendeur de médiocrité.