Luttes paysannes ou comment survivre aux écolos

Luttes paysannes ou comment survivre aux écolos

En ce 17 avril, nous commémorons la journée mondiale des luttes paysannes née au Brésil en 1996 lorsque le mouvement des Sans-Terre a subi une violente répression. Les difficultés de l’agriculture suisse sont bien différentes mais ici aussi, nous nous battons pour notre survie. Le monde agricole est sans cesse confronté aux revendications de plus en plus contraignantes des écologistes qui voient l’agriculteur comme un jardinier-paysagiste chargé d’embellir un paysage où le bobo urbain pourra se resourcer le dimanche. Sous prétexte de protection de la nature, de la biodiversité, de l’eau, les Verts s’en prennent à une profession dont la mission première est de nourrir la population. Les exigences dont souffre le monde paysan augmentent artificiellement le coût des produits indigènes, ce dont ne manquent pas de tirer avantage les importateurs faisant leurs emplettes sur les marchés mondiaux.

Paradoxalement, l’extrémisme écologique dont nous souffrons profite aux producteurs étrangers nettement moins soucieux de l’environnement et des animaux que les agriculteurs suisses dont les normes sont parmi les plus élevées au monde. En s’attaquant régulièrement au monde agricole, les Verts fragilisent la production indigène, rendant notre taux d’auto-approvisionnement dangereusement faible. En cette journée mondiale des luttes paysannes, souvenons-nous que ceux qui prétendent défendre l’environnement sont précisément les mêmes qui nuisent aux hommes et aux femmes dont le métier est de travailler la terre.

Lionel Dugerdil

Député

Président UDC-Genève

3 commentaires

  1. Posté par miranda le

    Est-ce que les écolos peuvent accepter cette réalité :

    CAR L’ARRIVEE DE L’IDENTITE NUMERIQUE
    PERMETTRA A LA CASTE MONDIALISTE
    DE NOUS SOUMETTRE TOTALEMENT
    A SON PROGRAMME TOTALITARISTE
    BASé SUR LE CHANGEMENT CLIMATIQUE.
    Sources de l’article en fin de texte

    Programme ou AGENDA 2030 que beaucoup d’entre nous ne connaissent malheureusement pas et que l’on peut consulter sur le site : https://stopworldcontrol.com/fr/domination/

    Pour mieux comprendre le malthusianisme à l’oeuvre derrière le “Graet Reset” de DAVOS et la “pandémie prétexte”, relire W. Engdahl sur l’arnaque climatique
    Et et en particulier cet article publié en 2018

    « La sombre histoire derrière le réchauffement climatique du GIEC » :

    F. William Engdahl
    image.png
    « Bien peu de gens sont au courant des origines politiques et même géopolitiques de ces théories relatives au changement climatique. Comment en est-on arrivé là ?

    Le soi-disant « changement climatique », acc. (aussi connu comme le « réchauffement mondial »), constitue en fait un agenda de désindustrialisation néo-malthusien qui fut originellement développé par des cercles d’influence autour de la famille des Rockefeller, au début des années 1970, afin de prévenir l’émergence de nouveaux rivaux industriels indépendants, de façon d’ailleurs similaire aux guerres commerciales de Trump quand il fut au pouvoir.

    Dans mon livre, Mythes, mensonges et guerres du pétrole [Myths, Lies and Oil Wars], j’ai détaillé comment le groupe hautement influent des Rockefeller a également soutenu la création du Club de Rome, de l’Institut Aspen, de l’Institut Worldwatch et du rapport du MIT sur les « Limites de la Croissance / Halte à la croissance ? [The Limits To Growth] », ou « Rapport Meadows », de 1972.

    Maurice Strong
    Le personnage clé et organisateur précoce de cet agenda « zéro croissance [zero growth] » des Rockefeller au début des années 1970, fut l’ami de longue date de David Rockefeller : un pétrolier canadien nommé Maurice Strong.

    MAURICE STRONG
    Strong fut en effet l’un des premiers propagateurs de cette théorie infondée scientifiquement selon laquelle les émissions d’origine humaine provenant des véhicules de transport, des centrales à charbon et autres structures agricoles étaient la cause d’une accélération dramatique de l’augmentation de la température mondiale, susceptible de menacer la civilisation : le soi-disant « réchauffement climatique ».

    En tant que président de la Conférence des Nations Unies sur l’Environnement de Stockholm de 1972, Strong promut un agenda de réduction de la population et d’abaissement des niveaux de vie….. partout dans le monde, afin de « sauver l’environnement ».

    Quelques années plus tard, le même Strong a réitéré sa prise de position écologiste radicale : « n’est-ce pas le seul espoir pour la planète, que les civilisations industrialisées s’effondrent ? N’est-ce pas notre responsabilité de faire en sorte que cela se concrétise ?

    LA FRAUDE REVELEE

    Dr. Alexander King

    [13] Le cofondateur du Club de Rome, le Dr. Alexander King, a admis la fraude dans son livre : « La première révolution mondiale [The First Global Revolution] » (1991). Il a déclaré : « en recherchant un nouvel ennemi afin de nous unir, nous sommes arrivés à l’idée que la pollution, la menace d’un réchauffement mondial, les pénuries d’eau, les famines et autres correspondraient tout à fait à ce but […] tous ces dangers ne pouvaient être causés que par l’intervention humaine […] le vrai ennemi devient alors l’humanité elle-même. »[14]

    Relisez Ce passage, et imprégnez-vous-en : “C’est l’humanité qui est la faute et pas uniquement les ….147 banques et multinationales mondiales”…. qui déterminent notre environnement aujourd’hui, mais c’est seulement l’humanité qui doit porter cette responsabilité et devient donc l’ennemie.

    Plus tard après ce Sommet sur l’Environnement, Maurice Strong fut nommé Assistant Secrétaire général des Nations unies et conseiller politique en chef [Chief Policy Advisor] auprès de Kofi Annan [NdT : Secrétaire général des Nations unies de 1997 à 2006] Il fut l‘architecte clé du protocole de Kyoto (1997-2005) qui déclara que le réchauffement climatique d’origine humaine était réel d’après le « consensus », et qu’il était « extrêmement vraisemblable » que les émissions de CO2 d’origine humaine en aient été la cause prédominante.

    En 1988, Strong avait entre-temps été un personnage clé de la création du GIEC (les pseudo savants du changement climatique) de l’ONU, et plus tard de la Convention cadre sur le changement climatique, le Sommet de Rio qu’il présida en 1992, et qui approuva son Agenda 21 de l’ONU, d’inspiration mondialiste.[15

    ]Ainsi, le GIEC de l’ONU et son agenda sur le réchauffement climatique, constitue un projet politique et non pas scientifique. Son dernier rapport est comme les précédents, basé sur une science fausse et sur une fraude complète.

    Richard S. Lindzen du MIT
    Le professeur Richard S. Lindzen du MIT, a critiqué dans un récent discours les politiciens et activistes qui clament que « la science est fixée définitivement », et qu’elle exige « des changements sans précédent dans tous les aspects de la société. » LINDZEN a remarqué surtout qu’il était totalement impossible pour un tel « système climatique multifactoriel » comme le climat, de pouvoir être résumé par juste …..une seule variable……, celle du changement dans les températures moyennes mondiales,et qu’elles puissent être contrôlées de façon primaire par une simple variation de 1 à 2 % dans le budget énergétique[16] due au CO2.

    Lindzen a également détaillé comment « une conjecture impossible soutenue par de fausses preuves, incessamment répétée, a pu prétendre devenir de la ‘connaissance’ utilisée ensuite afin de promouvoir le renversement de la civilisation industrielle ».[17]

    CONCLUSION

    Notre monde a en effet besoin d’une « transformation sans précédent », mais une transformation qui serait plutôt de nature à promouvoir la santé et la stabilité de l’espèce humaine plutôt que de vouloir la considérer comme l’ennemie… »

    Publié par Olivier Demeulenaere
    https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2020/06/15/
    comprendre-malthusianisme-great-reset-
    pandemie-pretexte-relire-engdahl-arnaque-climatique

  2. Posté par miranda le

    Certains scientifiques nous aident à ouvrir les yeux , mais certains écolos préfèrent continuer à être abusés par des serviteurs du faux changement climatique. Ce qui évidemment aura de graves répercussions sur de nombreux secteurs vitaux de notre économie. L’agriculture, nous le voyons, est pour le moment le secteur le plus en danger.

    Est-ce que cette scientifique pourrait les aider à se “desempétrer” de l’idéologie et de finir par comprendre que nous sommes, au contraire EN CARENCE DE CARBONNE. Et elle n’est pas la seule à le déclarer.

    Valentina Zharkova, Diplômée en première classe avec distinction en mathématiques appliquées de l’Université nationale de Kiev, a fait son doctorat en astrophysique “Transfert par radiatif des prominences solaires”, professeur à l’université de Northumbria à Newcastle, en Grande-Bretagne, nous met même en garde :

    “Nous avons une carence en CO2 dans le monde, et elle est trois à quatre fois inférieure à ce que les plantes souhaiteraient », explique-t-elle. Dans le passé, la proportion de CO2 était nettement plus élevée et a connu une réduction progressive au cours des 140 derniers millions d’années. Ce n’est que maintenant que cette proportion recommence à augmenter légèrement.

    Le chiffre est actuellement d’environ 420 parties par million (ppm), soit 0,042 % de l’atmosphère. Il y a 140 millions d’années, elle était estimée à 2 500 ppm soit 0,25 %, environ six fois plus élevée. Et cela signifie également un monde plus vert et plus riche en biodiversité, estime la professeur.

    Si le CO2 tombait en dessous de 150 ppm (0,015 %), cela signifierait l’extinction de la végétation et de toutes les autres formes de vie. Une valeur dont le monde s’est dangereusement rapproché lors de la dernière période glaciaire avec 182 ppm (0,018 %).

    2/2 « Nous n’avons pas besoin d’éliminer le CO2, car nous en aurions en réalité besoin de davantage. C’est de la nourriture pour les plantes qui produisent de l’oxygène pour nous. Ceux qui disent que le CO2 est mauvais ne sont évidemment pas très bons dans les universités ou partout où ils ont étudié. Seules des personnes sans instruction peuvent proposer des propos aussi absurdes selon lesquels le CO2 devrait être éliminé de l’air », déclare le professeur Zharkova.

    En s’appuyant sur des recherches antérieures, le professeur estime que la température moyenne de la Terre diminuera d’un degré Celsius au cours des 30 prochaines années, plutôt que d’augmenter, comme nous le prévient le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) de l’ONU.

    « Pendant le minimum de Maunder, il y avait des années où il n’y avait pas d’été du tout – il y avait un printemps court, puis un automne et à nouveau un hiver. Et s’il y a de la neige sur vos panneaux solaires ou si le ciel est nuageux, ils ne servent à rien “, dit-elle.

    https://report24.news/astrophysikerin-aenderung-der-s..

  3. Posté par ant le

    ” …l’extrémisme écologique dont nous souffrons profite aux producteurs étrangers nettement moins soucieux de l’environnement et des animaux que les agriculteurs suisses dont les NORMES sont parmi les plus élevées au monde.”
    Les normes suisses pour la paysannerie sont contraignantes ! Elles coûtent chers à déployer.
    La concurrence étrangère devient de fait déloyale pour tous les producteurs européens et suisses car les conditions de production et d’élevage ne sont pas égales.
    Soit on accepte la concurrence étrangère mais à des conditions d’élevage similaires, soit on refuse l’importation de marchandise qui ne correspondent pas à NOS normes.
    Ce n’est pas le consommateur lambda qui peut connaître toutes ces normes en vigueur, c’est notre gouvernement qui DOIT faire les contrôles nécessaires !

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