Un peu d’histoire nous paraît indispensable pour nous ramener au présent et nous mettre, si possible, en alerte rouge !
Le nazisme, et son leader Adolf Hitler, n’ont pas été un accident passager de l’histoire contemporaine de notre monde. Ils n’ont pas surgi par un hasard du néant. Ils viennent bien de quelque part !
Lorsque Adolf Hitler accède à la chancellerie, le 30 janvier 1933, il est soutenu par son parti, le NSDAP, qui n’avait obtenu que 4 % des suffrages aux élections de 1928.
Alors posez-vous la question. Comment a-t-il pu passer, en 5 ans, des 4 % de 1928 aux 33 % de 1933 ?
Après sa défaite de 1918, l’Allemagne n’existe pratiquement plus en tant que Nation mais ce qui continue à exister en Allemagne ce sont les « riches familles capitalistes » du Reich d’avant 1914, associées à l’aristocratie prussienne militaire. Elles sont toujours présentes avec leur fortune considérable et leur premier souci est de ne pas la perdre.
Elles veulent redonner très rapidement à l’Allemagne son lustre industriel d’avant défaite. Elles subventionnent très largement le parti hitlérien et lui permettent de se constituer une très forte milice privée, Les chemises brunes, et misent sur elle pour imposer leur politique de relance de l’industrie lourde du pays.
Cela explique la réunion des puissants groupes industriels Krupp Ag., Thyssen, Preussac et bien d’autres, représentant le capitalisme rhénan, avec le “petit leader” Adolf, et ils parviennent à le porter au pouvoir lorsque le président Hindenbourg le nomme à la tête du gouvernement.
En moins de sept ans, grâce à eux, l’Allemagne retrouve toute sa puissance industrielle militaire. Une magnifique réussite qui a tourné bien des têtes, en Allemagne bien sûr, mais également dans toute l’Europe, y compris l’URSS mais aussi la France.
Un simple coup d’œil sur ces chiffres donne un exemple de cette réussite spectaculaire : en 1940 l’Allemagne construit 10.200 avions et 2200 chars. Les États-Unis 2100 avions et 350 chars et l’URSS moins de 1000 avions et 2800 chars.
Mais dès 1942 les chiffres s’inversent : Allemagne 15.400 avions et 9400 chars, États-Unis 47.900 et 25.000 chars et URSS 25.500 et 25.500 chars.
Cependant l’Allemagne conserve une avance technologique grâce à la mécanographie « Dehomag », que s’approprieront les « Alliés » après la victoire.
Justement, après cette victoire, obtenue rapidement grâce surtout au sacrifice de l’armée soviétique, l’Allemagne vaincue bénéficie du soutien des USA, afin de contrer le “nouvel ennemi” soviétique et, aussi rapidement qu’entre 1933 et 1940, elle redevient une puissance économique, financière et industrielle dominante en Europe.
Sans guerre, sans nazisme, sans armée, alors qu’Hitler et l’armée allemande avait échoué, l’Allemagne réalise la construction européenne et, après la chute de De Gaulle, la France et sa puissante oligarchie mettent notre souveraineté nationale au service de cette Union européenne et de sa nouvelle monnaie, l’euro.
Actuellement l’Europe est ouverte à tous les marchés et à toutes les migrations et le peu de souveraineté qui reste à la France s’incline devant la souveraineté européenne. N’est-ce pas l’objectif premier du président Emmanuel Macron !
Mais au fait ! Comment a-t-il été élu ce président ? Uniquement par 2 Français sur 10 mais, surtout, avec l’appui de l’oligarchie internationale aux puissants capitalistes qui ont largement financé sa campagne. N’est-ce pas Patrick Drahi et quelques autres ?
N’ayez aucune crainte, il n’y aura plus de guerre mondiale, de nazis, de milices brunes, d’holocauste, ce n’est plus nécessaire pour atteindre le pouvoir, et le conserver, seule la finance suffit.
Mais suffira-t-elle à repousser le plus grand danger qui nous menace : l’Islam radical ?
Suffira-t-elle à endiguer cet autre grand danger qui, également, est une menace : l’immigration clandestine ?
Ces deux “ennemis” qui bénéficient également de la puissance financière internationale, n’est-ce pas Georges Soros ? N’est-ce pas Arabie Saoudite, Qatar, Iran, Turquie, Afghanistan, Maroc, Tunisie, Algérie, etc. ?
L’arme de la finance internationale, ce n’est plus le nazisme et l’Adolf d’une époque révolue mais l’islamisme et l’immigration nécessaire pour mettre l’Europe à genoux, avec l’aide bien plus insidieuse d’une certaine écologie dévastatrice pour nos économies.
Ne nous trompons pas d’allié, notre ennemi ce n’est pas la Russie mais, pour le moment, la Turquie ou l’Iran : la première aurait dû avoir sa place dans l’Europe (les USA ne l’ont pas voulu !).
Nous sommes sur le chemin de devenir demain un pays “soldé”, comme la Grèce qui fut mise en pièces par la finance internationale et par la Turquie, et “obligée” de se vendre à la Chine.
L’Angleterre, grâce au “Brexit”, ne semble plus concernée par notre situation dramatique actuelle, mais confrontée à un changement de civilisation bien plus contraignant pour son devenir.
Pour nous défendre contre cette fin programmée, ce n’est pas un président comme Emmanuel Macron qu’il nous faut, mais un président dont l’unique objectif sera de sauver la France du désastre.
Quant à l’Union européenne moribonde, elle attend celui qui nous a coulé, dont le seul et l’unique objectif est de devenir son premier président élu.
Manuel Gomez
Extrait de: Source et auteur
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