Ça barde de l’autre côté du Rhin. Des milliers d’agriculteurs sont partis en guerre au volant de leurs machines, envahissant routes et autoroutes.
Ils sont déterminés, on les comprend. C’est une question de vie ou de mort. L’UE a décidé de faire mourir les Européens, de les condamner à ne vivre que de ce qu’ils pourront acheter à la Chine, à la Nouvelle-Zélande, faisant des terres fécondes de France, notamment, des déserts voués à faire pousser du sorgho pour les Africains vivant en France… Adieu blé, maïs, orge et avoine. Bonjour la disette. Bonjour tristesse. Quant aux vaches, elles pètent, les malheureuses, les écolos les ont condamnées à mort et nous avec. Adieu lait, beurre, fromage… Adieu nos campagnes, adieu la vie.
Vous vous êtes regardé dans la glace, ce matin ? Y avez-vous vu le reflet de ce que vous serez dans quelques mois ? Gris, hâve, triste, affamé, interdit de centre-ville, interdit de voyager, mis à la porte de chez vous pour y loger des migrants.
Les Allemands aussi se sont regardés dans la glace et… ils ont cassé le miroir. Ils ont dit non et ils ont monté sur leurs chars d’un nouveau genre. Les mondialistes avaient réussi à faire taire les agriculteurs hollandais, au bout de plusieurs semaines de manifestations, pas sûr que les Allemands se couchent aussi vite.
Ils voient clair, les Allemands, et eux qui depuis des décennies élisent des Verts se révoltent devant l’augmentation du prix du diesel… Il est parfois des ironies de l’histoire qu’il faut savourer.
Admirons le bras de fer historique qui commence ! Car aux agriculteurs se joignent chaque jour de plus en plus de professions et de citoyens qui se révoltent.
ALLEMAGNE – La colère gronde dans les champs allemands. L’Allemagne s’est réveillée, ce lundi 8 janvier, avec des milliers de tracteurs sur ses routes, alors que les agriculteurs ont appelé à « bloquer » le pays contre un projet de suppression des subventions du diesel dans l’agriculture.
À la veille de cette mobilisation soutenue par la Fédération des agriculteurs allemands (DBV), principal syndicat agricole, les autorités allemandes appréhendaient auprès du quotidien Bild « peut-être la plus grande manifestation de l’histoire d’après-guerre ». Déjà, le 18 décembre dernier, des tracteurs venus des quatre coins du pays s’étaient rassemblés devant la Porte de Brandebourg à Berlin.
Les tracteurs ont commencé à circuler dès l’aube, lundi, pour converger vers plusieurs villes, sous la surveillance des forces de l’ordre. Une longue file d’engins agricoles est aussi présente dans la capitale.
Selon France Bleu Alsace, le mouvement se répercute jusqu’à la frontière franco-allemande, où des tracteurs et des camions bloquent complètement la circulation, occasionnant des perturbations aux postes-frontières du Bas-Rhin.
Un compromis insuffisant
L’automne dernier, la colère des agriculteurs s’était enflammée à la suite de la décision du gouvernement de réduire des subventions au secteur en raison d’un rappel à l’ordre des juges constitutionnels portant sur les strictes règles budgétaires de l’Allemagne.
Face aux protestations, le gouvernement a adouci jeudi dernier ses projets : l’avantage fiscal accordé sur les quantités de gazole consommées sera ainsi supprimé progressivement jusqu’en 2026 et non d’un coup, comme prévu initialement. De plus, l’avantage fiscal sur les véhicules pour la sylviculture et l’agriculture sera maintenu. Mais ces compromis sont jugés insuffisants par la profession.
Le ministre des Finances Christian Lindner a vertement critiqué samedi la forme des protestations d’un secteur qu’il juge par ailleurs déjà « hautement subventionné » et a jugé les actions de blocus « disproportionnées ».
La ministre de l’Intérieur Nancy Faeser (social-démocrate) a exhorté les agriculteurs à ne pas bloquer les voies pour les ambulances. « Nous devons aussi souligner que les extrémistes de droite infiltrent les manifestations » afin « de s’en prendre à l’État et de diffamer certains responsables politiques », a-t-elle également estimé auprès du journal Rheinische Post dimanche.
À noter que les agriculteurs ne sont pas les seuls dans la rue ce lundi. Selon Bild, des bouchers, boulangers et autres artisans manifestent aussi « contre les charges fiscales élevées, par exemple la levée du plafonnement des prix de l’électricité et du gaz et l’augmentation de la TVA (19 %) dans les restaurants ». Les conducteurs de train ont aussi appelé à une grève de trois jours à partir de mercredi, après l’échec de négociations sur les salaires et le temps de travail avec l’opérateur public Deutsche Bahn (DB), a annoncé dimanche le syndicat GDL.
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Si la vidéo ci-dessus ne s’affiche pas, allez la regarder sur dailymotion.On remarquera que beaucoup de manifestants sont des syndicalistes… qui depuis 6 ans soutiennent Macron et l’UE et tapent à coups redoublés sur les politiques patriotes.
Moi je dis ça, je dis rien….
Christine Tasin
Extrait de: Source et auteur
C’est toute la population Européenne qui doit ce levé contre ces mondialistes qui dirigent l’Europe , contre ces écologistes dogmatique qui veulent nous faire régresser en prenant le réchauffement climatique comme excuse , alors que l’on sait que c’est dans l’ordre des chose, que cette planète a eu a plusieurs reprise des réchauffement et des refroidissements.
Stop a la domination de ces milliardaires qui veulent nous imposer leurs bouffes industriel fabriquer dans des usines ou ce n’est que du chimique 100%.
Stop a la prise des gouvernances des pays par les LGBTP+++ qui méprisent le sexe mâle au point de vouloir les mettre au même niveau que les porcs.
Stop a cette immigration sauvage orchestrer par les mondialiste avec les pseudo ong qui ne sont en réalité que des esclavagistes.
Les Européens doivent reprendre leur destin en main, par la force si il le faut, si le sang doit couler alors qu’il coule.