Après une brève liaison avec une femme porteuse de la drépanocytose, il découvre qu’il n’est pas le géniteur du petit, mais reste officiellement son père

Article publié le 06.01.2024

[...] Tout commence en 2014, lorsque l’homme signe une reconnaissance en paternité et s’engage à verser 250 francs par mois à la mère de l’enfant qui vient de voir le jour, né de leur brève liaison. Le petit garçon souffre d’une maladie héréditaire, qui ne peut être transmise que si les deux parents sont porteurs du gène de la maladie. En 2019, le Genevois rencontre une autre femme. Il réalise alors des tests génétiques. Stupeur: il n’a pas le gène transmettant la drépanocytose. [...]

article complet: https://www.20min.ch/fr/story/geneve-il-decouvre-trop-tard-quil-nest-pas-le-pere-de-son-fils-153892426153

Un commentaire

  1. Posté par Serguei le

    C’est ça la justice ?? comme l’on dit et vérifie tous les jours, la justice est une vieille femme pleine de vices…..

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