Les limites de Florence Bergeaud-Blackler, qui n’ose s’en prendre à l’islam

 

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Dans un entretien publié par Le Figaro du 21 décembre 2023, nous pouvons toucher du doigt les contradictions de Florence Bergeaud-Blackler. Elles trahissent son manque de courage intellectuel pour aller au bout de sa propre logique. Cette éminente chercheuse du CNRS fut propulsée sur une orbite un peu plus haute depuis la sortie, très médiatisée, de son livre  « Le Frérisme et ses réseaux: l’enquête ». Les polémiques, les menaces et les honneurs qui n’ont pas manqué d’accompagner cet événement ont constitué une traînée de combustion qui a donné plus d’éclat à ce lancement. Les Frérots et leurs soutiens, projetés, eux aussi, sur le devant de la scène, ont profité de l’aubaine : ils sont devenus, un peu plus, les défenseurs prosélytes et protecteurs de l’islam puisqu’ils donnent, de fait, du grain à moudre à nos chercheurs. « Tu me tiens, je te tiens, par la barbichette !… ». Un jeu d’enfants.

Il n’en demeure pas moins que, depuis les années 70, notre Recherche, soi-disant bienveillante, ne veut plus admettre que tous les musulmans, absolument tous les musulmans, sont les victimes-vecteurs-reproducteurs de cette idéologie belliqueuse, haineuse, antisémite, anti-chrétienne, séparatiste et mortifère qu’est l’islam. J’ai toujours résumé cette idéologie religieuse en deux mots : Coran + Mahomet ; les deux souches pathogènes qui nous rendent malades après avoir infecté et soumis la musulmane, puis toute sa progéniture.

Pour ne pas ‘’essentialiser’’, ne pas ‘’stigmatiser’’ les musulmans, devenus entre-temps nos voisins et nos compatriotes, de l’Outre-Mer à la métropole, les chercheurs se sont transmués en praticiens qui n’avouent jamais à la musulmane sa honteuse maladie congénitale. Et pour faire semblant de toujours chercher l’insondable cause de nos ennuis, nos gynécologues-obstétriciens du CNRS cherchent des poux dans l’intime pilosité des affreux fréristes, salafistes, wahhabites et autres forces maléfiques qu’ils s’inventeront au fur et à mesure de l’avancement de leurs occupations et passe-temps ; aux frais du contribuable français.

Dans cet entretien, Mme Bergeaud-Blackler nous met en garde : «Nous entrons dans une nouvelle ère, celle de la mondialisation du conflit israélo-arabe». Et puis elle nous montre la voie pour éviter cela. Selon la docteur en anthropologie, nous devons comprendre «l’importance de la géographie mentale frériste» de cette guerre si on veut la résoudre.

Reconnaissons que notre chercheuse est assez lucide pour corriger le tir et comprendre, au cours de son entretien, qu’il ne s’agit pas uniquement d’une guerre israélo-arabe, mais bel et bien d’une guerre où la oumma, la communauté musulmane tout entière, est engagée. Je la cite :

« … On le voit par rapport à l’Angleterre, par exemple, où l’on entend des appels très explicites à tuer les Juifs, quand en France c’est plus rare. On se trompe quand on parle de la «rue arabe», ce n’est pas la «rue arabe» qui crie, c’est l’Oumma, la communauté musulmane. En Angleterre ce ne sont pas les Arabes qui sont dehors, ce sont les Indos-Pakistanais, très virulents, comme on l’a vu lors des manifestations contre Salman Rushdie. Ce qui montre que le défi, avant d’être territorial et régional, est profondément religieux et mondialisé. »

Notre chercheuse va un peu plus loin : « Les Frères musulmans ont un ADN antisémite. Ils veulent établir un califat et il faut pour cela que les musulmans reprennent les terres de l’«entité sioniste», Israël, qu’ils ne veulent même pas nommer. »

Elle ose exprimer une autre vérité qu’elle désigne comme une : « Autre difficulté : certains versets coraniques et certains hadiths attribués au prophète Mahomet sont antisémites – on les retrouve dans la charte du Hamas ». Puis elle se pose de bonnes questions pour mieux les éluder : « Peut-on interdire la prononciation de textes religieux ? C’est difficile. En revanche, on peut intervenir sur les discours de haine qui sont tenus au moment où ces versets sont prononcés ».

Autrement dit : nous devrions avaler des couleuvres lorsque les musulmans nous les présentent comme sacrées et comme plat principal, mais il ne faut surtout pas avaler les condiments qui les accompagnent. Et c’est ainsi que Madame Bergeaud-Blackler fait son entrée dans le règne de l’hypocrisie et de la contradiction qui est tout simplement celui de l’islam.

Comme tant de nos pleutres chercheurs et politiciens, elle ne veut pas comprendre qu’un discours de haine l’est encore plus s’il est sacralisé, mis hors d’atteinte. C’est la fonction même de l’acte de sacralisation par les croyants : ils savent parfaitement qu’il s’agit d’une clé de voûte de leur édifice. Si elle tombe, leur monde s’écroule. Il y a donc lieu à ne pas avoir les mains qui tremblent et signifier clairement aux musulmans (et aux autres croyants s’il le faut) que la violence de leur texte n’est pas sacrée et qu’ils doivent et peuvent s’en débarrasser, la déclarer caduque, y toucher, la désacraliser. Que le monde ne s’écroulera pas pour autant !

Pour être un peu plus clair, je formule le questionnement de notre chercheuse d’une autre façon pour qu’elle voie qu’elle manque de courage. Sachant que l’islam (= Coran+Mahomet) prescrit le jihad armé et qu’il est ouvertement anti-chrétiens, anti-juifs, anti-païens… que faut-il faire pour débarrasser les musulmans de cette haine islamique belliqueuse qui rend impensable tout vivre-en-paix avec les autres? 

Les musulmans interdisent qu’on y touche, faut-il qu’on se couche ? Cela signifierait une mort inutile de tous les Charlie. Rappelons-nous tout simplement la bombe sous le turban de Mahomet. Nos artificiers du CNRS ont le devoir de la désamorcer !

Notre chercheuse aurait pu rappeler, tout simplement, que nous sommes face à un conflit de civilisation et qu’il faut en choisir une et puis la défendre contre l’autre qui lui est antinomique. Salman Rushdie est devenu, à son corps et son œil défendant, le symbole de cette civilisation occidentale qui chérit la liberté d’expression et la beauté du nu divin. L’islam chérit plus que tout la soumission et l’absence de liberté ; surtout celle des femmes, des écrivains, des penseurs, des sculpteurs et des créateurs.

Contrairement à ce qu’a écrit Madame Bergeaud-Blackler, nous n’entrons pas “dans une nouvelle ère”, nous n’en sortons pas ! Rien de nouveau sous le soleil puisque cela a commencé à Médine, lorsque Mahomet y est entré puis a massacré tous les Juifs alentours.

La conquête de Jérusalem sous le khalifat d’Omar, digne successeur de Mahomet, n’est que la continuation de cette guerre pluriséculaire ! La conquête de Constantinople, passée par pertes pour la chrétienté et par profits pour l’islam, n’est rien d’autre que la suite logique de cette percée historique et géographique inaugurée par Mahomet. Mais nos chercheurs sont encore incapables de comprendre cette Géographie-là, qui n’a rien de mental, incapables de nommer correctement ce phénomène de l’Histoire au long cours. Samuel Huntington l’a bien résumé : il s’agit du clash ou du choc des civilisations.

La question n’est plus de finasser et de chercher les tenants et aboutissants de ce conflit. Nous savons parfaitement où l’islam veut en venir. La seule question qui vaille est la suivante : comment en sortir vainqueurs avant que nous ne soyons renvoyés aux oubliettes de l’Histoire ?

Voilà la seule question que nos têtes pensantes devraient se poser si elles avaient encore quelque honnêteté et courage intellectuels.

La Reconquête, sinon rien !

Pascal Hilout, né Mohamed




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Un commentaire

  1. Posté par antoine le

    Elle noircit du papier mais à la fin, en conclusion il faudra interdire l’islamisation de la France … sinon …!!

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