Foued Boukhari, envoyé spécial de la RTS à Dubaï pour la COP28 – Merci pour la redevance! Merci pour les subventions!

RTS: Fanny Petit, une des responsables de l'ONG Care France, participe à cette COP28 à Dubaï.
Fanny Petit: Enfin un fonds pour les pertes et dommages des pays les plus vulnérables face au changement climatique!
Le problème est qu'il n'y a QUE des centaines de millions de dollars alors qu'il faudrait des centaines de milliards!
Les pays historiquement émetteurs, USA, UE, Australie, n'ont mis dans le fonds que des cacahuètes.
La première manifestation des ONG sur place était en faveur de GAZA, pour faire le lien entre changement climatique et droits humains.
A partir d'aujourd'hui, il y aura 5-6 manifestations d'ONG par jour.
Foued Boukhari, envoyé spécial de la RTS à Dubaï, demande à Fanny Petit si elle se sentait totalement libre à Dubaï.
– Oui, totalement, répond la jeune fille, bien foulardée pour la circonstance...
Une manifestation d'ONG sur le financement de l’action climatique se tient à Dubaï : https://www.rts.ch/audio-podcast/2023/audio/le-12h30-presente-par-agathe-birden-27449488.html?id=27449463  1 min 50 sec.

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Albert Coroz: Bien entendu, au moins toute cette nuée d'ONG et de journalistes subventionnés se sont rendus à la nage à Dubaï pour assister à cette action de sauvetage du climat à nos frais.
Une semaine de bon temps à Dubaï, qu'on peut faire rembourser via les frais généraux, pensez donc!
D'autres militants, qui n'ont pas eu la chance de se voir offrir une semaine au soleil, se sont rabattus sur un bâtiment classé à Lausanne, et pour sauver la planète, ils ont aspergé la façade de peinture. Il s'agit de rien moins que le bâtiment de l'UBS à Saint-François, un édifice historique. Les petiots reprochent à la banque – méchants capitalistes – de ne pas respecter le climat, alors qu'eux-mêmes sont sans le moindre respect pour ceux qui seront chargés d'effacer ces souillures, ni pour le bâtiment, ni pour notre argent....
Le dénominateur commun de tous ces activistes, c'est de réussir à nous nuire et à nous coûter bonbon, sans jamais rapporter quoi que ce soit de positif à la collectivité.
Il y a toute une armada d'avocats pour défendre gratuitement ces atrophiés du bulbe, et de juges engagés qui les acquittent.

 

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3 commentaires

  1. Posté par antoine le

    Et c’est là qu’il y a un problème :
    ”Il y a toute une armada d’avocats pour défendre gratuitement ces atrophiés du bulbe, et de juges engagés qui les acquittent.”
    Avocat gratuit égale à des exactions gratuites par des zécolos sans éducation ni bon sens.
    Juges ”engagés” égale ”j”ustice qui applique le 2 poids 2 mesures !
    Je n’ai plus du tout confiance dans cette ”j”ustice-là !!

  2. Posté par antoine le

    Il suffit de très peu de temps (une génération de zécolos assoiffés de $$$) pour DÉTRUIRE la planète !
    La monoculture est la pire des solutions (sensible aux insectes, maladies et météo).
    Ceux qui font commerce de crédits CO2 encouragent par leurs actions irresponsables l’appauvrissement de la Nature.
    Idem pour les cultures d’huile de palme … !!

  3. Posté par miranda le

    ET quand la Nouvelle Zélande ECOLO joue à l’apprenti sorcier. Après avoir créer les fermes de carbones.
    https://www.youtube.com/watch?v=8Ppq8LyWylU

    RESUMé :

    En Nouvelle Zélande, on les appelle les « carbon farms », les fermes de carbone. Des forêts entières dédiées à l’absorption du dioxyde de carbone et qui offrent en échange des crédits CO2, rachetées ensuite par de grandes entreprises internationales polluantes, pour compenser leurs propres émissions de gaz à effet de serre.

    Des sociétés comme Ikea, Shell ou Boeing peuvent donc s’offrir une sorte de « droit à polluer », pour le plus grand bonheur du gouvernement néozélandais et de l’industrie forestière.
    Depuis une vingtaine d’années, ce pays du sud-ouest de l’océan Pacifique s’est imposé comme l’un des leaders mondiaux des crédits CO2. Chaque année, il revend plus d’un milliard d’euros de compensation carbone…

    Mais ces « carbon farms » ont des effets catastrophiques sur l’environnement et les communautés qui vivent aux alentours. Pour la plupart, ces forêts sont constituées uniquement DE PINS EXOTIQUES QUI NE SONT PAS ORIGINAIRES de Nouvelle-Zélande peu résistants aux tempêtes et aux cyclones australs.

    A chaque catastrophe naturelle, des milliers d’arbres entraînés par les rivières en crue finissent dans les fermes, les habitations et sur les plages de la région. Bridget et Mike Parker, des producteurs de kiwis, passent ainsi leur temps à nettoyer leurs terres des milliers de troncs d’arbres qui s’y échouent.

    Dans l’Est de la Nouvelle-Zélande, particulièrement touché, les Maoris s’élèvent contre cette fausse bonne idée écologique qui détruit leur environnement et leur pratiques ancestrales, de la pêche à l’éducation.
    En moins d’une génération, les paysages de cette région ont été dévastés. Renée Roroa, une activiste, qui lutte pour protéger les forêts natives, est allée porter leur revendication jusqu’à l’ONU.

    Les fermes de carbones seraient-elles un nouveau fléau écologique ?

Et vous, qu'en pensez vous ?

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