Or, révèle Gian Micalessin dans les colonnes d’Il Giornale, la Tunisie n’a pas vu l’ombre d’un kopek, mettant ainsi le gouvernement italien en porte-à-faux, vis-à-vis de l’UE et de ses partenaires africains. Pourquoi ? Parce que dans les couloirs de la Commission de Bruxelles, la gauche, et singulièrement italienne, s’est activée avec succès pour que ces fonds ne soient jamais envoyés. Brando Benifei, chef de la délégation européenne du Parti démocrate (PD) au Parlement européen, accusait ce pacte d’« énième tentative inutile d’externaliser le contrôle des frontières européennes avec de grands risques pour les droits humains ». Pietro Bartolo, l’ancien médecin de Lampedusa élu au PD, renchérit sur une Union « complice de la chasse aux Noirs ouverte par Saïed ».
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