Revenir aux fondamentaux : l’Ordre, Dieu, famille, patrie, tradition

Louis Jämes, rappel du bon sens :  2 + 2 = 4

 

Pourquoi l'Ordre ?

« L’ordre, et l’ordre seul, fait en définitive la liberté. Le désordre fait la servitude. »

Charles PÉGUY (1873-1914), Cahiers de la Quinzaine, 5 novembre 1905

« J'aime mieux commettre une injustice que de souffrir un désordre. »
Johann Wolfgang von GOETHE

Un exemple, l'Afrique du Sud:

- du temps de l'apartheid, l'ordre régnait, la sécurité et la prospérité en découlaient pour tous [l'apartheid était alors probablement le moins mauvais régime sociétal possible pour tous],

- actuellement, l'apartheid a disparu et ce pays sombre dans un noir et désolant chaos [record mondial du taux de viols, élimination physique des Blancs (souvent accompagnée de tortures), productions agricoles en chute libre, etc].

 

Pourquoi Dieu ?


Diane Ducret poursuit, « L’Homme est un animal crédule qui a besoin de croire. En l’absence de raisons valables de croire, il se satisfait de mauvaises », dit le philosophe, mathématicien, épistémologue et homme politique britannique Bertrand Russel. Une fois assurée sa subsistance, la quête du sens est probablement le plus grand désir de l’Homme, ce « roseau pensant » (Pascal), si fragile qu’une vapeur ou une goutte d’eau suffirait à l’anéantir, mais pensant, doué de conscience et capable de se mettre en perspective par rapport à lui-même et au monde.

Cette quête de sens, plus encore, si l’on y réfléchit, que la capacité de raisonner ou même de parler, est ce qui distingue l’Homme de l’animal et des autres étants.

La recherche de sens n’a pas de qualité morale inhérente. Le sens peut être trouvé dans le mal comme il peut être trouvé dans le bien, dans les pires abominations de l’Histoire et de l’actualité comme dans l’altruisme le plus désintéressé.

Pour la plupart, jusqu’à la dernière génération, la famille, la religion, la communauté, le patriotisme remplissaient ce besoin en Occident, mais ces sources de sens se perdent. On se marie de plus en plus tard, quand on se marie, on a moins d’enfants, de plus en plus de familles sont recomposées ou atomisées, on s’identifie de moins en moins à une religion, les communautés sont de circonstance, quant au patriotisme…

Twain (Mark)
Les deux jours les plus importants de ta vie sont celui où vous êtes né et celui où vous découvrez pourquoi.

Deutéronome 8:3
Et il t'a humilié, et t'a fait avoir faim; et il t'a fait manger la manne que tu n'avais pas connue et que tes pères n'ont pas connue, afin de te faire connaitre que l'homme ne vit pas de pain seulement, mais que l'homme vivra de tout ce qui sort de la bouche de l'Éternel.

 

Il a raison de dire qu’il faut chasser les écrans des écoles et s’en retourner vers les livres. Pas pour réussir sur le marché du travail, mais pour retrouver une vie intérieure. Sa conception utilitaire du savoir ne répond pas à la question essentielle: pour qui ? pourquoi nous cultivons-nous ? Est-ce pour atteindre le sommet de la hiérarchie sociale, pour mener la guerre des cerveaux face aux Chinois, ou parce que la lecture des classiques nous rend meilleur, nous permet de nous déchiffrer nous-mêmes et de nous relier à un mystère qui nous dépasse ? Sans spiritualité, sans gratuité de la connaissance, nous sommes voués à la tyrannie du divertissement.
Eugénie Bastié. Le Figaro

La tyrannie du divertissement, Olivier Babeau, Buchet-Chastel, 252p
CITATIONS et COMMENTAIRES:
- Au détriment du loisir studieux, du temps pour les autres, de la construction de soi, on préfère la fuite en avant dans le plaisir immédiat des réseaux sociaux, des séries télévisées, des jeux vidéos, des loisirs prêts à consommer, du tourisme de masse. Et malheureusement, à l'image de la malbouffe, ce sont les classes sociales les plus défavorisées, se noyant littéralement dans des divertissements infinis qui condamnent toute possibilité de s'élever, qui en souffrent le plus. Les classes mieux éduquées gardant mieux le contrôle sur cette tyrannie des écrans. D'autant que les enfants y sont soumis dès le plus jeune âge.
- On regarde ces vidéos comme on se remplit au fast-food. La satiété que les deux activités procurent est la même: grossière et éphémère.
- Pour l'auteur, c'est l'utilisation intelligente, voire studieuse, de ce temps libre depuis l'enfance et tout au long de la vie qui fait en grande partie les différences sociales.
Par ailleurs, nous nous laissons manipuler par les divers remplisseurs d'écran qui exploitent notre ennui et notre plaisir immédiat pour nous amener à consommer.
- Mais et c'est le paradoxe, fournir des écrans en classe est une fausse solution, d'ailleurs il est à remarquer que les patrons de la Silicon Valley ont tendance à mettre leurs enfants dans des écoles sans écrans !
- Le divertissement est comme une drogue. Plus on s'amuse, plus on vide le temps de sa substance, plus l'amusement est convoqué comme illusoire solution. Il est comme une boisson maudite qui attiserait la soif qu'elle serait censée étancher.
-
Nous n'avons jamais autant tous fait la même chose que depuis que nous avons la possibilité d'agir différemment. Le grégarisme règne en maître. Les réseaux sociaux sont de vastes plaines où des gens s'agrègent en troupeaux d'affinités, pour mieux s'opposer à d'autres.
- Petit, je pensais mon père ennuyeux et austère. Il m'a fallu plus de maturité pour comprendre qu'il était en fait un homme passionné, éperdument épris des délices de l'esprit.

- Les loisirs s'affirment plus que jamais comme le creuset où se préparent les inégalités de demain. Les destins s'y cristallisent.
Toutes les politiques scolaires ne pourront rien pour faire contrepoids à l'influence néfaste des différences d'usage des loisirs entre classes sociales.
- Difficile de ne pas remarquer la coïncidence du développement des écrans et un affaiblissement scolaire d'autant plus catastrophique qu'il touche en priorité les enfants issus des milieux les plus modestes. « Ce qui se produit en ce moment est une expérience inédite de décérébration à grande échelle », dit encore Demsurget.
-
Si l’on pense qu’enlever de l’argent aux classes sociales supérieures suffit à égaliser la société, c’est qu’on n’a rien compris aux causes profondes des inégalités. La vraie transmission est moins celle de l’argent que celle des valeurs, des méthodes, du savoir et du capital social. Entre le riche et le pauvre, il n’y a pas que l’argent. Si c’était le cas, la différence ne durerait guère. L’essentiel est ailleurs et plus difficilement manipulable : le capital intellectuel, culturel et social. Cela, on le sait depuis longtemps. Mais on n’a pas assez souligné de quelle façon concrète il s’accumule, et surtout que ces modalités évoluent avec les nouvelles technologies.
- « Je ne critique pas le divertissement en lui-même, je critique la tyrannie », explique en entrevue Olivier Babeau, 47 ans, économiste libéral, professeur à l’Université de Bordeaux et cofondateur en 2017 de l’Institut Sapiens, un laboratoire d’idées. « C’est un problème d’équilibre, en fait. On a tous besoin, de temps en temps, de se délasser, de faire autre chose, de zapper. Le problème, c’est quand on y passe l’intégralité de notre temps libre. »
- Surtout à l’ère du numérique, qui a favorisé le plaisir immédiat, la recherche du moindre effort, la superficialité, le divertissement, et… l’isolement. Au détriment de la culture qui enrichit, de l’ouverture aux autres, de l’équilibre personnel. [...]

Temps accéléré, rencontres décousues, engagements momentanés, obsession de la forme, recherche de la sensation vraie, déplacements incessants, rencontre de l'étranger faite dans le tourisme ou la xénophobie, commerce de la violence, surveillance de la vie et toute-puissance technique : voilà ce qui compose notre vie contemporaine décomposée, « en miettes ».
La vie en miettes  Zygmunt Bauman (10/11/2003)

 

Pourquoi la famille ?

Chaque être humain grandit avec sa dette, à la fois non choisie et impayable. Impayable parce que immense : chacun de nous trouve dans son berceau une culture, une langue, un capital de soin et d’affection sans lesquels il ne deviendrait jamais un adulte. Non choisie parce que par définition nous ne choisissons ni notre langue ni l’apport éducatif qui nous est donné.

BurjBabil   15 novembre 2020:

La perte des repères traditionnels
Cette perte des repères traditionnels est sans doute la principale raison de l’épidémie de solitude qui afflige tant de personnes en Occident.
Qu’est-ce qui peut se substituer à ces anciens repères dans la recherche de sens ?
Pour beaucoup, ce sont les idées de gauche. » […] »

Diane Ducret : « L’idéologie s’installe sur le vide de la pensée »

La foule innombrable des moutons défilant pour ‘SAUVER LA PLANÈTE’, ‘SAUVER LE CLIMAT’, ou ces mêmes foules défilant au nom de la défense des femmes, seins nus pour certaines, nous font penser irrésistiblement aux foules moutonnières galvanisées par le führer du moment.

Un banal rappel de psychologie : Pierre Debray-Ritzen (pédopsychiatre) dans Ce que je crois page 118 :
« Savez-vous ce qu’est la « névrose politique » ? Mon maître Arthur Koestler l’a décrite sur lui-même et il s’en est guéri.

[…] C’est la projection d’un mal-être personnel dans une cause. Et la cause une fois embrassée vous cache – en la prenant en relais – votre dysaptitude à vivre… […] ».

 

Cette « névrose politique » dont les jeunes voulant ‘SAUVER LA PLANÈTE’ sont atteints. En effet, comment masquer autrement sa dysaptitude à vivre, lorsque d’une part on vit douillettement chez papa et maman, ou bien au moyen de leurs sous, et que parallèlement on a l’ambition démesurée de sauver la planète.

Et, allez savoir pourquoi, c’est immanquablement ‘la Gauche’ qui finit par en tirer des bénéfices, ne serait-ce que parce que l’état finit toujours par ouvrir largement son porte-monnaie.

 

Philippe Muray, a bien décrit cette période d'autocélébration. L'Empire du Bien n'allait cesser de se féliciter d'être si permissif, si festif, si tolérant, si bienveillant. le délire n'a pas duré plus de trois décennies. C'est ça d'oublier l'enseignement des religions ou, dans une autre veine, c'est ça d'oublier la psychanalyse freudienne ; c'est ça de croire que c'est la société qui crée la contrainte alors que c'est parce que l'homme est structurellement lié à la contrainte qu'il forme une société. Enlevez-lui artificiellement ses contraintes, il les fera ressurgir d'ailleurs, encore plus contraignantes, encore plus délirantes.

 

Pourquoi la patrie ?

- […] La patrie, loin d’être un absolu fantasmé, est une chose temporelle et terrestre, un moyen parmi d’autres (le syndicat, la corporation, la région) qui permet d’atteindre ce  « besoin le plus important et le plus méconnu de l’âme humaine » qu’est l’enracinement. […]
Simone Weil, prophète pour notre temps Eugénie Bastié -  9 février 2014

- L'État social n'a laissé derrière lui que la carcasse d'une "république" dépouillée de tous ses atours. (...) La signification de la "citoyenneté" a été vidée de son contenu, réel ou imaginé, et les institutions étatiques qui la rendaient crédible ont progressivement été démantelées. L'État-nation, nous l'avons vu, n'est plus le réceptacle naturel de la confiance populaire. La confiance a perdu le foyer qui l'avait abritée pendant la plus grande partie de l'époque moderne. Elle erre en quête de nouveaux points d'ancrage, mais jusqu'à présent aucune des alternative proposées n'a su remplacer la stabilité et l'apparente "naturalité" de ce havre qu'était l'État-nation.

Simone Weil, prophète pour notre temps

Identité  Zygmunt Bauman L'Herne (01/01/1900)
- “Un homme peut gravir l’Everest pour lui-même, mais, au sommet, c’est le drapeau de son pays qu’il va planter.”  Margaret Thatcher Congrès du parti Tory, octobre 1988

- Comme le souligne Bernard Ingham, qui fut dix ans son attaché de presse, « elle [Margaret Thatcher] avait une qualité rare chez un politicien : elle se souciait peu d’être aimée ».

 

Pourquoi la tradition, les traditions ?

- On pourrait définir la tradition comme une extension du droit de vote au passé. Elle consiste à accorder le droit de suffrage à la plus obscure de toutes les classes, celle de nos ancêtres. C'est la démocratie des morts. La tradition refuse de se soumettre à la petite oligarchie arrogante de ceux qui ne font que se trouver par hasard sur terre.
G. K. CHESTERTON dans son livre Orthodoxie

Le passé, aux yeux de la nouvelle classe cultivée, n’est qu’une longue suite de stéréotypes et les bien-pensants devraient, toutes affaires cessantes, lire L’Enracinement, le livre de Simone Weil publié par Camus après-guerre. « Il serait vain de se détourner du passé pour ne penser qu’à l’avenir. C’est une illusion dangereuse de croire qu’il y ait même là une possibilité. L’opposition entre l’avenir et le passé est absurde. L’avenir ne nous apporte rien, ne nous donne rien, c’est nous qui, pour le construire, devons tout lui donner, lui donner notre vie elle-même. Mais pour donner, il faut posséder et nous ne possédons d’autre vie, d’autre sève que les trésors hérités du passé et digérés, assimilés, recréés par nous. De tous les besoins de l’âme humaine, il n’y en a pas de plus vital que le passé. »
https://www.causeur.fr/alain-finkielkraut-elisabeth-levy-causeur-hannah-arendt-wokisme-230456

Pour conclure, je dirais donc que le conservatisme n’est pas une histoire d’avortement, de sexe, ou de drogue. Le conservatisme, c’est simplement la conscience de la fragilité des institutions humaines, et de la valeur du passage du temps sur celles-ci. Le conservatisme, c’est la « mos maiorum » [littéralement: mœurs des anciens], comprise dans un sens philosophique et politique, et non telle ou telle position particulière sur tel sujet de société du moment.

Pour les écologistes, la notion de peuple, cet intermédiaire entre l’individu et l’humanité, cimenté par des souvenirs communs, n’a ni réalité ni légitimité.

De l’écologisme faisons table rase!

 

 Magyar Nemzet le 5 juillet 2021


– Dans l’un de vos articles, vous écrivez que le libéralisme n’est pas viable. Sur quoi s’appuie ce jugement ?

– Le libéralisme est capable de floraison quand il n’est pas chimiquement pur, mais mélangé à des éléments non-libéraux. Car en réalité, les traditions sur lesquelles le libéralisme s’est construit sont, notamment, la famille, des communautés soudées, la religion et la nation. Telles sont les pré-conditions du libéralisme, et les véritables sources nourricières de la coexistence des hommes. Or le libéralisme affaiblit toutes ces sources, en tant qu’institutions qui limitent notre liberté. Ce qui, donc, rend le libéralisme inviable, c’est qu’il tranche ses propres racines, dont il aurait besoin pour se perpétuer.

 

[...] Quant à Chantal Delsol, distinguant la démocratie d’autres systèmes comme la monarchie ou l’autocratie, entre autres, elle y voit comme une promesse, plutôt qu’un universalisme que l’on aurait tort de vouloir imposer, même si elle s’inquiète de l’abandon de l’idée d’universel au profit du particulier avec la fin des idéologies et l’effondrement des religions.

 « La démocratie à l’inverse réclame la tolérance, la confiance dans le bon sens populaire, l’équilibre des pouvoirs, la remise en cause de soi, toutes choses si difficiles, qui exigent des qualités complexes. Et en même temps, elle réclame le respect de la personne individuelle, la vision du peuple en tant que personne et non en tant que masse – et j’ai la faiblesse de croire que cela exige un niveau de civilisation plus sophistiqué (décadent peut être, diraient nos amis chinois), une éthique spécifique. La démocratie n’est pas « naturelle » du tout : elle relève d’une certaine anthropologie et d’une certaine éthique, qui sont nées chez nous. Cela veut dire qu’elle n’est pas acceptable par toutes les cultures. » [...]
https://www.contrepoints.org/2023/09/10/427070-la-democratie-est-elle-vouee-a-disparaitre

 

Michel Poniatowski: C’est une tragique illusion que de vouloir faire coexister dans un même pays des communautés ayant des civilisations différentes. L’affrontement est alors inévitable.

Aristote: L'absence de communauté nationale est facteur de guerre civile, tant que les citoyens ne partagent pas les mêmes valeurs de civilisation. Une cité ne se forme pas à partir de gens pris au hasard, et elle a besoin de temps pour se coaguler. C'est pourquoi, parmi ceux qui ont accepté des étrangers pour fonder une cité avec eux, et pour les intégrer à la cité, la plupart ont connu des guerres civiles. Par exemple, les tyrans de Syracuse, en ayant naturalisé les immigrés, ont dû subir des révoltes. Citoyens et étrangers en sont venus à se combattre.

 

[…] «La morale de l’histoire est simple, a déclaré M. Farage [en février 2023]. Il y a dans ce pays une grande majorité silencieuse favorable au bon sens. La raison pour laquelle la gauche radicale est en mesure de changer notre langage — même de suggérer que nous changions le sexe de Dieu — la raison pour laquelle ils sont autorisés à faire tout cela est la lâcheté des leaders «conservateurs». Lui-même fût membre du Parti conservateur jusqu’en 1992, date à laquelle il le quittera en raison du soutien de celui-ci au traité de Maastricht.

«Nous n’avons pas de vrai parti conservateur, mais nous avons tous notre mot à dire. Nous pouvons dire ce que nous pensons, nous pouvons dire aux sondeurs d’opinion quand ils nous appellent ce que nous pensons. La leçon de la situation de Mme Sturgeon est que le pendule peut revenir en arrière, nous pouvons obtenir des victoires du bon sens.» […]

17 janvier 2018 at 0 h 30 min

@BrunoJ
[...] Comme vous le dites, il faut qu’il y ait une « culture commune », ne serait-ce que parce qu’il faut qu’une majorité soit convaincue que le respect du Droit est meilleur que la loi du plus fort. Si le libéralisme est effectivement l’héritier du Droit Romain, de la Bible (pensez aux premiers des 10 Commandements), du Christianisme et des philosophes de la Renaissance aux Lumières, c’est à dire de l’Occident, il n’en demeure pas moins que le même Occident a produit récemment en son sein les nouvelles justifications du socialisme que sont le marxisme, le nazisme, le fascisme, la social-démocratie, l’écologisme, toutes doctrines politiques négatrices du Droit. Le socialisme est lui-même une doctrine très ancienne qui a dominé l’histoire du monde depuis la nuit des temps, avec de brèves parenthèses locales. Parmi les traditions « solidement établies » par « la valeur du temps passé sur elles », quelques une sont libérales, la plupart sont socialistes. Si le temps passé était en lui-même le garant d’une valeur, le socialisme serait infiniment supérieur au libéralisme.
https://www.dreuz.info/2023/02/le-premier-ministre-progressiste-decosse-demissionne-sa-loi-wokiste-et-raciste-a-ete-rejetee-278048.html

Assemblage de ces quelques vérités premières effectué par Louis Jämes

Un commentaire

  1. Posté par antoine le

    Ordre : Nous sommes nés dans une société sans connaître ni la guerre ni le chaos !
    Dieu : La croyance en une puissance supérieure est basée sur le bon sens car nous ne sommes ”que” des humains faillibles …
    famille : sans elle pas de joie partagée entre frères et sœurs et surtout les fêtes de Noël
    patrie : nous faisons partie d’un peuple aux nombreuses origines (germanique, latine, etc …)
    tradition : sans fondue, sans raclette, sans accordéon ni lancé de drapeaux et sans nos 4 langues nationales et les nombreux dialectes, nous ne serions pas les mêmes !
    Sachons apprécier nos différences, c’est notre force !
    Tout le reste, LGBTXYZ, wokisme, etc ce n’est que du vent !!

Et vous, qu'en pensez vous ?

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