Le prévenu, de nationalité tunisienne, sans papiers et sous le coup d’une obligation de quitter le territoire français, est condamné pour un vol et des violences [NdeFds : six mois ferme], à Gallardon. Au tribunal, les larmes aux yeux, il semble ne plus savoir quoi faire pour se faire pardonner.
Tout au long de son procès pour vols et violences, au tribunal judiciaire de Chartres, le prévenu, 30 ans, garde la main sur le cœur. Les larme aux yeux, il assure : “Jamais en Tunisie, je n’ai fait des choses comme ça !” (…)
(Merci à Julien pour sa proposition.)
Extrait de: Source et auteur
Encore un exemple des problématiques qui peuvent résulter des migrations lorsque certains migrants originaires de régions moins développées ou en guerre civile se trouvent en difficulté d’intégration par leur exposition à la désorientation culturelle, voire, à une indigence intellectuelle, et parfois à une austérité matérielle et par suite à l’impossibilité d’une réelle sociabilité – c.-à-d. en conflit avec des conditions de vie sociétale d’un pays d’immigration plus développé, pouvant induire une haine viscérale envers ce qui leur paraît étranger et inaccesible, voire, pour certains une violence destructrice individuelle ou collextive jusqu’aux pires crimes.
Le pôvre chéri, il se croit tout permis en France …