Entretemps, notre petit pays compte désormais 9 millions d’habitants. Et bien que la Suisse soit pleine à craquer, l’immigration de masse continue. Rien que l’an dernier, ce sont 180°000 personnes supplémentaires qui sont arrivées en Suisse. Comme le souligne clairement le conseiller national Thomas Matter (ZH) au cours de la conférence de presse organisée pour le lancement de l’initiative pour la durabilité : « La cause principale des graves problèmes, tous urgents, auxquels est confrontée la Suisse, c’est l’immigration de masse sans aucun contrôle. »
L’immigration de masse des 15 dernières années n’a fait qu’aggraver considérablement la situation du peuple suisse dans pratiquement tous les domaines de la vie quotidienne :
– Crise du logement : en raison de l’augmentation massive de la demande due à l’immigration, il n’y a pratiquement plus de logements libres et abordables dans notre pays. Et les personnes qui souffrent le plus de cette situation, sont les personnes qui gagnent normalement leur vie, les familles, les familles monoparentales et les seniors.
– Consommation d’énergie et d’électricité : l’immigration des 20 dernières années engloutit à elle seule autant d’électricité que ce que produit la centrale nucléaire de Gösgen. À l’heure actuelle déjà, nous disposons d’une électricité insuffisante et beaucoup trop chère. Une situation qui va encore continuer à s’aggraver en raison de la politique de l’énergie entachée d’idéologie et déconnectée de la réalité de la majorité de centre-gauche.
– Infrastructures à bout de souffle : le nombre d’heures d’embouteillages sur les routes a doublé en 10 ans. Mais plutôt que d’enfin s’attaquer à la régulation de l’immigration, on prévoit d’agrandir nos autoroutes à coup de milliards payés par nos impôts, tandis que la gauche, avec sa politique anti-voiture, crée encore plus de chaos en ce qui concerne le trafic. Des coûts se chiffrant en milliards sont également ce qui nous attend dans les transports publics. Car là-aussi, nous avons atteint les limites pour ce qui est de leurs capacités – encore une fois, en raison de l’immigration de masse.
– Secteur de la santé : là aussi, l’immigration de masse est la raison première de la hausse des coûts. Les 180°000 personnes supplémentaires qui sont arrivées chez nous l’an dernier réclament des médecins, des dentistes, des hôpitaux, des résidences pour personnes âgées, etc. Ce qui a une autre conséquence très claire : le manque de personnel qualifié, tout particulièrement dans le secteur de la santé, est auto-induit.
– Éducation : dans les salles de classe, transmettre le savoir devient toujours plus difficile – alors que dans le même temps, dans de nombreux endroits, les enfants qui ne sont pas issus de l’immigration et qui parlent l’une de nos langues nationales ne sont souvent plus que deux ou trois.
– Charges sociales : là encore, les coûts explosent. Les étrangers pèsent beaucoup plus lourdement que les Suisses, par exemple, sur les comptes de l’assurance-invalidité ou de l’assurance-chômage.
– Pénurie de main-d’œuvre qualifiée : la santé n’est pas le seul secteur où règne une pénurie de personnel qualifié, c’est le cas partout – et c’est une conséquence directe de l’immigration de masse. Le fait que la moitié des personnes immigrées n’exerce aucune activité professionnelle et que celles qui travaillent le font de plus en plus souvent en temps partiel aggrave encore la pénurie de professionnels qualifiés.
– Sécurité : proportionnellement à leur nombre par rapport à l’ensemble de la population, les immigrés sont sur-représentés dans les statistiques criminelles – y compris pour les délits graves – et dans les prisons, ainsi qu’en ce qui concerne les cas de violence domestique.
– Prospérité : la prospérité de la population suisse – mesurée en termes de produit intérieur brut par habitant – n’augmente pratiquement plus depuis l’introduction de la libre circulation complète des personnes en 2007.
« Si nous ne contrôlons pas enfin l’immigration maintenant, la Suisse court le risque de se retrouver très bientôt avec une population de 10 millions d’habitants », souligne Thomas Aeschi (ZG), conseiller national et chef du groupe UDC au Parlement. « Ce dont nous avons besoin, c’est d’une immigration qui soit utile au pays. Celle que nous avons aujourd’hui est, quel que soit l’angle sous lequel on la considère, tout sauf durable. » Voilà pourquoi l’UDC, avec le peuple suisse, se doit d’agir aujourd’hui encore – en lançant son initiative pour la durabilité « Pas de Suisse à 10 millions ! ».
Voilà les buts que cette initiative entend réaliser :
- OUI à une croissance démographique durable plutôt qu’à une explosion démographique incontrôlée et non maîtrisée.
- OUI à une Suisse dont la population résidente permanente ne dépasse pas les 10 millions de personnes d’ici à 2050.
L’initiative pour la durabilité « Pas de Suisse à 10 millions ! » est indispensable et urgente pour nous permettre de protéger notre environnement, notre qualité de vie, notre prospérité, et pour assurer notre avenir comme celui de nos enfants.
Le comité d’initiative, représenté par les quatre conseillers nationaux UDC Thomas Matter (ZH), Thomas Aeschi (ZG), Manuel Strupler (TG) et Mike Egger (SG), ainsi que par le président de l’UDC du canton de Zurich, le député au Grand Conseil Domenik Ledergerber, a lancé son « initiative pour la durabilité » ce mardi 4 juillet 2023 à Berne, au cours d’une conférence de presse.
Extrait de: Source et auteur
Que chaque citoyen prenne sa responsabilité !
Il y a ceux qui sont conscients qu’il y aura un grave problème à résoudre et il y a les naïfs qui croient que tout se résoudra tout seul …
Pleine à craquer : le bordel oui !!!